Enfant heureux : gardez en mémoire les bons moments !
La psychologie positive est un état d'esprit qui se transmet ! Ainsi, vous pouvez amener votre enfant à prendre du recul sur son quotidien mais aussi à en apprécier les bons côtés en lui demandant par exemple chaque jour quels ont été les bons moments de la journée.
Pour lui permettre de s'épanouir et donc d'être heureux, l'enfant a besoin de partager des moments de joie avec ses proches. Par le biais de sorties, de jeux ou d'instants de complicité avec ses parents, il crée des ancres auxquelles il pourra inconsciemment se raccrocher ensuite. Il en est de même avec les repas.
Une irritabilité, des difficultés de concentration et de sommeil. Cela peut parfois s'accompagner d'une attitude “régressive”, les parents ayant l'impression que leur enfant retrouve un comportement qu'il avait à un âge plus jeune (pleurs, caprices, attitude adhésive, pipi au lit…). Un état de nervosité.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
Elle peut être déclenchée par la séparation, la perte ou la distance. L'enfant qui est triste est en train d'assimiler une situation douloureuse. Physiquement, cela se traduit par une baisse de régime, une perte d'enthousiasme, de désir; le corps se recroqueville sur lui-même.
Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Il n'a plus envie de ses assauts de câlins parce qu'il grandit et qu'il veut affirmer son tempérament. C'est surtout vers deux ans qu'il va ressentir un besoin d'autonomie et qu'il va vouloir se détacher de vous pour partir à la découverte du monde qui l'entoure et vos bisous sont une entrave.
Ainsi, la majorité d'entre eux considère que pour être le plus heureux possible, il faut d'abord réussir sa vie familiale (54 %), loin devant sa vie amoureuse (24 %), sa vie intérieure (10 %) ou encore sa vie professionnelle (8 %) et sa vie sociale (4 %) ».
Les pâtes arrivent en tête des aliments préférés des enfants. Elles plaisent quelle que soit leur forme et se cuisinent à toutes les sauces. Pas besoin d'être un chef pour réussir ce plat simple et rapide, il suffit de concocter des pâtes à la bolognaise ou bien faire un gratin avec des pâtes et des légumes.
Embrasser vos enfants, les câliner, sont donc d'excellents moyens de leur montrer votre amour. Mettre de la tendresse dans vos regards, de la douceur dans vos gestes envers eux, leur fera bien comprendre leur importance à vos yeux !
Le comportement d'un enfant est souvent le baromètre émotionnel de ses parents : stress, dépression, colère ou chagrin. Ses cris et ses colères peuvent être un moyen d'extérioriser la tension familiale. Le stress et les émotions se propagent, y compris de manière non verbale.
À quel âge un bébé fait-il des câlins ? C'est à partir de 5 mois qu'il fait de véritables étreintes. Il va alors poser la tête sur l'épaule de ses parents. Ce geste ne dure bien souvent qu'une fraction de seconde, faisant de cet instant un moment court, mais intense.
Tous les enfants sont naturellement désireux de sécurité affective, c'est pourquoi ils vont mettre en place différentes habitudes pour construire cette sécurité intérieure, ce qui peut passer par coller l'adulte", note la psychothérapeute.
Pour aider votre enfant à se calmer, suggérez-lui de visualiser un souvenir qui lui fait du bien. Rappelez-lui aussi ses succès. Soyez un modèle pour votre enfant. Assurez-vous d'exprimer vos émotions calmement.
Pour faire diminuer le stress de votre enfant, vous pouvez lui proposer des activités calmes, comme le yoga ou la méditation, par exemple.
Chez l'enfant, les critères de l'épisode dépressif caractérisé sont les mêmes que pour les adultes. Les enfants déprimés éprouvent des sentiments persistants de tristesse, d'impuissance, de vide, de désespoir et de dévalorisation. Ils perdent leur intérêt pour la vie et n'ont plus de plaisir au quotidien.
Vous pouvez ne rien dire pour ne pas trop le stimuler. S'il pleure davantage c'est qu'il a besoin de vous entendre : essayez de lui parler d'une voix douce et calme qui lui permettra de s'apaiser. A l'inverse, si vous lui parlez et qu'il n'en peut plus, il faudra savoir garder le silence pour l'apaiser.
Il faut encourager la situation, booster ses gestes, ses mots, mais ne pas rester vague avec des propos bateaux et peu personnalisés. Evitez les "Sois un homme mon fils" mais dites-lui plutôt : "Je sais que tu es capable de le faire, je serais fière de toi si tu arrives à faire un tour en vélo !"
Commencez la conversation en disant : « As-tu déjà entendu parler d'un pays qui s'appelle Haïti? » ou « Que penses-tu de ce qui se passe en Haïti? » Si l'enfant ne semble pas vouloir en parler, n'insistez pas. Laissez l'enfant exprimer ses inquiétudes. Vos réponses doivent être factuelles, brèves et simples.