Cacher une partie de la plaque: sans être totalement dans l'illégalité, il est possible de dissimuler une partie de sa plaque en installant un attelage volumineux (mais homologué) à l'arrière de sa voiture. Pour un masquage maximal, certains optent pour la balle de tennis coupée placée sur la boule de l'attelage.
Pour demander la radiation de votre plaque de l'ancien modèle ou de format européen: Apportez votre plaque officielle (plaque "arrière" munie du logo de la DIV), sans emballage, dans un bureau de bpost ou un point poste.
Il s'agit de la solution anti-flash la plus répandue sur Internet. Le conducteur doit appliquer un vernis sur leur plaque auto, permettant ainsi de refléter la lumière des flashes des radars et donc, d'éviter que le numéro d'immatriculation puisse être visible sur la photo prise, même par les nouveaux radars.
Comment est-ce possible? Selon le fabricant, le PhotoBlocker réfléchirait la lumière du flash du radar photo et créerait une zone surexposée sur la plaque d'immatriculation. Nous avons appliqué une couche de PhotoBlocker sur une plaque, et quatre couches sur une autre plaque.
On peut également utiliser des réflecteurs radar, un objet à plusieurs faces réfléchissantes. Enfin, il est aussi possible d'utiliser des leurres, des objets volants télécommandés qui permettent de tromper l'opérateur radar, plutôt utilisés par les avions militaires.
Les LiDAR à illumination flash, en particulier, offrent une illumination instantanée et intégrale de la scène. Ils captent un grand nombre de subtilités des objets tout en utilisant beaucoup moins de données que les méthodes à nuage de points, ce qui rend le traitement très efficace.
Ce système consiste en un boîtier installé sur le tableau de bord, qui peut détecter les radars fixes ou mobiles, grâce à leurs ondes électromagnétiques émises ou au laser des jumelles des forces de l'ordre. Il émet une alerte sonore dès qu'un radar est en approche.
L'une des applications GPS les plus complètes sur smartphone, Waze rencontre depuis peu de sérieux obstacles par les forces de l'ordre pour que les points de contrôles et les radars ne soient plus affichés.
Mais l'administration admet une marge d'erreur, elle varie en fonction de la vitesse à laquelle vous roulez. Si la vitesse est comprise entre 50 et 90 km/h la tolérance est de 5 km/h. Ainsi vous ne serez flashé qu'à partir de 56 km/h en agglomération. Ou 76 km/h pour une vitesse limitée à 70 km/h.
Vous disposez déjà d'un autre véhicule (B)
Certains enlèvent en pareille situation les plaques d'immatriculation de leur autre voiture pour les poser sur le nouveau véhicule. Attention, ce n'est pas admis au niveau de l'immatriculation et vous vous exposez à une amende en cas de contrôle.
Vous devez enlever la plaque d'immatriculation officielle, c'est-à-dire la plaque arrière munie d'un sceau. Celle sans le sigle n'est pas acceptée pour radiation. Soit vous vous rendez auprès d'un bureau de la Poste et, moyennant frais, votre plaque sera renvoyée pour vous auprès de la DIV.
En changeant vos plaques d'immatriculation, nous vous recommandons surtout de ne JAMAIS jeter vos anciennes plaques immatriculation à la poubelle ! Mieux vaut les détruire en les cassant en 2 afin que personne ne puisse les réutiliser sur un autre véhicule.
Autocollant plaque d'immatriculation = plaque non conforme
Pour conclure, la règle est simple. Tout autocollant apposé sur une plaque d'immatriculation est synonyme de plaque non conforme. Que cela concerne une voiture, moto ou tout autre véhicule. Cela vous expose donc à une amende de 135 € (90 € au tarif minoré).
Notez la présence d'un gros boîtier sur le tableau de bord : les voitures-radar banalisées sont équipées d'une caméra pour flasher les infractions routières. Cette caméra est identifiable grâce à sa forme de gros boîtier posé sur le tableau de bord de la voiture.
Laisser sa plaque d'immatriculation visible sur une annonce, c'est s'exposer à une possible usurpation d'identité du véhicule. Grâce au modèle et au numéro de la plaque, il est facile de réaliser une réplique, presque exacte, du véhicule sur une photo. Ce phénomène très répandu, est communément appelé, une doublette.
Le Conseil constitutionnel a tranché : les contrôles de vitesse ne font pas partie des opérations des forces de l'ordre dont le signalement est désormais interdit sur les applications telles que Coyote et Waze. Publié le 25/11/2021 - 15:59 Mis à jour le 25/11/2021 - 16:27.
Coyote : la référence des assistants d'aide à la conduite
Tous les boîtiers Coyote et l'application mobile sont reconnus par les autorités françaises et européennes. Ils répondent aux normes NF et sont donc parfaitement légaux.
CamSam. CamSam c'est l'un des avertisseurs de radars les plus efficaces du Google Play Store. L'application est gratuite et assure la signalisation des radars fixes et mobiles, des embouteillages, accidents, travaux et d'autres dangers de la route en temps réel.
Pour rappel, depuis 2011, les applications d'aide à la conduire comme Coyote, Waze ou TomTom n'ont plus le droit d'afficher l'emplacement exacte des radars. Celle-ci a été remplacé par ce qu'on appelle une zone de danger plus ou moins grande selon le réseau routier (généralement elle s'étend sur une distance de 4 km).
L'article R413-15 du Code de la route prévoit 1 500 d'amendes (contravention routière de 5ème classe), une suspension du permis pouvant aller jusqu'à 3 ans, le retrait de 2 points sur le permis, la saisie du matériel, voire du véhicule, en cas de détention ou de transport d'un détecteur de radars.
Détecteurs de radars : risques
confiscation de l'appareil ainsi que possibilité de saisie du véhicule ; peine de suspension du permis de conduire pour 3 ans au plus ; suppression de 6 points du permis de conduire ; amende de 1 500 € au plus.
La manière la plus efficace pour savoir si l'on a été flashé ou non, c'est tout simplement d'attendre de recevoir votre PV. Le temps de réception d'une amende dépend du type de radar mis en cause, mais la procédure est la même pour tous.
Il ne peut donc flasher les deux sens de circulation qu'à condition d'être installé sur le bord de la route. Pour que cela fonctionne, il ne faut pas de terre-plein central ou de muret au milieu des voies. Si le radar lui-même est installé sur un terre-plein central, il ne pourra contrôler qu'un sens de circulation”.