Commencez par ne rien faire ! Il ne s'agit pas de demeurer dans une attente passive et dépressive, mais d'exercer sa réceptivité. D'accueillir le monde, de l'observer, de le goûter… Ce temps de contemplation et d'ouverture à ses sensations est absolument nécessaire pour retrouver le contact avec soi-même.
Souvent, si on n'arrive pas à avancer dans la vie, c'est tout simplement parce qu'un élément appartenant à notre passé est suffisamment fort pour entraver notre développement personnel. C'est une erreur que de penser que le passé reste derrière nous, et qu'il ne compte plus.
Prendre sa vie en main commence par adopter une attitude positive orientée vers l'action d'une part et vers l'acceptation d'autre part. En effet, travaillons sur nous afin de changer ce qui ne nous convient pas et qui est en notre pouvoir, et acceptons ce sur quoi nous ne pouvons agir.
C'est souvent le signe de la fin d'un cycle.
L'idée qu'une mue sert à changer d'état, de situation, et que c'est une étape naturelle de la vie. Pourquoi pas se demander alors « vers quoi ai-je envie d'aller ? », « à quoi ma vie pourrait ressembler si je faisais peau neuve ? »
Rater, c'est échouer à atteindre le but que l'on s'était fixé. Le sentiment de «ratage» est donc subjectif: il dépend des objectifs de chacun, des critères qui constituent à nos yeux la réussite d'une existence.
Réfléchissez à l'état actuel de votre situation, mettez par écrit vos objectifs pendant 15 minutes au moins par jour. Tâchez de définir des objectifs à atteindre dans un mois, un an, cinq et dix ans. Prenez l'habitude de réévaluer vos objectifs régulièrement et de les modifier s'il le faut.
S'occuper de sa santé mentale et physique. Faites de l'exercice régulièrement. L'exercice est bon pour la santé physique, mais il a également des bienfaits sur la santé mentale. Ne vous mettez pas à faire 5 heures de sport du jour au lendemain, commencez doucement...
Le changement de vie est parfois issu d'une décision personnelle, signe d'une aspiration forte à vivre autre chose, d'une envie (en-vie) irrépressible d'une nouvelle expérience, d'une prise de conscience de la vacuité de notre réalité quotidienne. Il peut nous être aussi imposé par les circonstances.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Le fait de stagner signifie que, même si vous ne vous en rendez pas compte, il y a quelque chose à résoudre dans votre vie. La dépression cachée est comme un petit animal qui ronge constamment et vous vole votre énergie vitale.
Ces derniers peuvent être très nombreux : l'argent, le pouvoir, la prise de responsabilités, l'accomplissement intellectuel, une meilleure connaissance d'un secteur, la reconnaissance sociale, la qualité de la vie, l'appartenance à un grand groupe, la possibilité d'apprendre quelque chose, la réalisation de projets ...
5 – S'écouter et se faire confiance. Pour changer de vie à 40 ans, il est essentiel de s'écouter et de se faire confiance. Mais cela fait peut-être 40 ans que tu ne t'écoutes pas et que tu ne te fais pas confiance. Autrement dit, c'est difficile en ce moment pour toi.
Le secret pour réussir à changer de vie : accepter le déséquilibre : Pour réussir à changer de vie, pas de miracle : il faut se faire violence. Oser le déséquilibre. Accepter la mise en danger.
Bien souvent, on trouve un événement traumatisant à la base de cette phobie. Cet événement est souvent lié à une honte ou une humiliation en lien avec un moment où une joie a été contrariée, bafouée, moquée de façon suffisamment forte pour que le sujet refuse ensuite tout accès à la gaieté dans sa vie relationnelle.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).