Le premier réflexe à adopter est d'en parler. Que ce soit à vos proches, dans un groupe de parole réservé aux parents, ou à un psychologue, évacuer cette pression est nécessaire pour aller mieux. Si le regard des autres peut brider la parole, la situation est dans la majorité des cas comprise.
La première chose à faire quand on ne supporte plus ses enfants : recharger les batteries et prendre soin de soi ! Si l'on ne se sent pas bien soi-même, il est difficile d'être bien avec ses enfants. Prendre soin de soi peut paraître être un luxe, mais j'ose dire que c'est une nécessité !
Il n'est pas rare que les parents arrivent à un point d'épuisement tel qu'ils n'en peuvent plus de leurs enfants. Cela n'est en aucun cas synonyme de moins d'amour, c'est simplement une sonnette d'alarme. Ne plus supporter ses enfants est un sentiment très difficile à gérer, mais qu'il s'agit de prendre au sérieux.
Toutes sortes de raisons peuvent nous faire perdre patience avec notre enfant, sans faire de nous un mauvais parent. La fatigue, le stress, la surcharge sensorielle, la charge mentale peuvent parfois nous amener à perdre le contrôle de nos émotions.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Et selon notre environnement familial et professionnel, de nombreux facteurs peuvent amplifier ce phénomène. De nombreux signes peuvent alerter sur cette dépression parentale. Car oui, ce n'est pas à prendre à la légère. En avoir marre de ses enfants est une chose, cela finit par passer.
Le plus souvent, il s'agit bien sûr des parents, parfois de la mère en particulier. Plus l'enfant perçoit ce lien d'attachement comme étant inconditionnel, plus il est à l'aise avec son environnement, pour tester ses interactions, ses limites et ses émotions.
Une perte d'épanouissement par rapport à son rôle de parent qui se manifeste davantage chez les personnes perfectionnistes et qui ont eu tendance à idéaliser leur vie de famille.
L'enfant qui ne respecte pas les règles
Votre enfant peut désobéir ou adopter un comportement inapproprié pour différentes raisons. Par exemple, il vit une forte émotion, perçoit une menace ou a un besoin particulier, comme se reposer ou bouger.
Ne pas aimer son propre enfant, même pendant un instant fugace, est une chose monstrueuse que les femmes ont beaucoup de mal à admettre. On parle rarement de ces émotions négatives qui étranglent les mères. Pour la psychanalyste Barbara Almond, il est courageux de reconnaître l'ambivalence d'une mère pour ses enfants.
La cause de cette mésentente est souvent liée au sentiment d'amour pour cet enfant, et à la peur de le voir commettre d'éventuelles erreurs. Résultat : le parent se sent obligé de dire ce qu'il pense, pour protéger son enfant, même si celui-ci est un adulte libre de prendre ses propres décisions.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
L'épuisement causé par l'éducation de l'enfant et l'irritabilité dûe aux troubles du sommeil conduit souvent à des conflits entre les partenaires. S'occuper des enfants devient une tâche compliquée à gérer pour les deux parents, et devient la cause de nombreuses disputes.
Généralement, le traitement du burn-out parental consiste en une psychothérapie. Celle-ci peut être complétée par un traitement médicamenteux, mais cela dépend des cas. Si vous êtes en détresse un arrêt de travail ou arrêt maladie pour burn-out peut vous être délivré, si nécessaire.
Les symptômes du burn-out se caractérisent par une fatigue prononcée, voire extrême, sur une période prolongée, résultant d'un investissement excessif dans la vie professionnelle.
Une perturbation sociale et affective persistante, accompagnée d'au moins deux des comportements suivants : absence d'attention aux autres, affect positif limité, comme le plaisir ou l'émerveillement, épisodes inexpliqués d'irritabilité, de tristesse ou de peur lors d'interactions avec des adultes non menaçants.
Les enfants qui se sentent aimés et considérés par leurs parents témoignent aussi d'une plus grande estime de soi et se sentent mieux dans leur peau, ils s'aventurent plus facilement vers le monde extérieur, sont en général moins anxieux et plus joyeux.
Un corps qui dit stop se traduit par un épuisement physiologique et mental résultant d'une surcharge mentale ou physique. Elle résulte bien souvent d'un investissement émotionnel trop important et trop long. Nous nous retrouvons alors avec divers maux troublant notre quotidien.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
L'agressivité fait partie de la croissance normale et ordinaire des enfants. Avant l'âge de 3 ans, c'est souvent une impulsion qui est à l'origine de l'agressivité et non le désir de blesser quelqu'un. L'enfant est en apprentissage de la maîtrise de ses émotions.