Leur profondeur dépend de la nature du terrain. Car idéalement, il faut aller chercher une couche perméable de sol. La profondeur dépend également des végétaux que vous allez faire pousser : Pour une pelouse, une profondeur de 30 à 50 cm sera suffisante. Pour un jardin d'agrément ou potager, descendez à 50 ou 80 cm.
Tout d'abord, il faut creuser une fosse dans le jardin ou autour de la maison, avec une certaine pente pour pouvoir évacuer les eaux pluviales. Ensuite, il faut couler un peu de béton dans la tranchée ou poser un film géotextile pour éviter que la terre ne bouche le drain, puis compléter avec des graviers.
Cette solution consiste à simplement creuser des trous de plantation beaucoup plus larges et surtout profonds que la motte qui viendra s'y loger : Vous placerez, au fond du trou, des pierres (ou galets) sur 30 ou 40 cm d'épaisseur. Vous pouvez également apporter du gravier par dessus pour améliorer encore le drainage.
Pour drainer un morceau de terrain vous devrez creuser une ou plusieurs tranchées de 60 cm environ de profondeur sur 40 à 50 cm de largeur et la remplir ensuite de un ou plusieurs graviers (grossier et fin). Il s'agit donc d'une opération assez physique qui demande une bonne forme et un peu d'endurance.
Le saule est un arbre qui boit beaucoup d'eau. Si vous habitez dans un terrain où l'humidité est abondante, cet arbre peut s'avérer très pratique. En effet, le saule vous débarrasse de l'humidité en absorbant l'eau souterraine.
Les cailloux de drainage sont de gros gravillons 20/40 mm à 40/80 mm utilisés pour assurer le drainage des terrains et la collecte des eaux dans un drain perforé à la périphérie d'un bâtiment, ou pour éviter la remontée d'humidité sous un dallage (on parle alors le plus souvent de hérisson).
Le terrain drainant est un sol sablonneux ou caillouteux (en bref avec des cailloux plus ou moins gros) ne gardant pas l'eau stagnante. Les pluies sont rapidement essuyées rendant le sol idéal pour les plantes de rocailles.
Je conseille souvent d'incorporer du sable dans les terreaux du commerce afin de les rendre plus drainants car beaucoup se compactent facilement.
Pour un drainage périphérique d'une maison, un drain d'un diamètre de 10 centimètres est la norme. Des drains de 60 à 80 mm peuvent être suffisants dans certains contextes. La section des drains est généralement circulaire, il est toutefois possible d'utiliser des "drains routiers" à fond plat.
En règle générale, le drain se pose le long des fondations de la maison, à 1 m environ des murs. Le principe du drainage repose sur l'évacuation des eaux grâce à une légère pente (1 % = 1 cm pour 1 m) sur la totalité du parcours.
Il peut être préférable de creuser une tranché au centre de la cour d'environ deux pieds de profondeur par deux pieds de largeur, d'y installer un drain perforé et de la pierre concassée et de diriger cette eau vers un puits plus profond d'environ quatre pieds de diamètre par huit pieds de profondeur.
Il est à disposer autour des fondations pour éviter que l'eau s'infiltre au sous-sol. Avant tout, une tranchée doit être creusée. Au fond de celle-ci, le tuyau perforé de drainage est disposé, en respectant une légère pente. Ce qui permet à l'eau de circuler jusqu'au puisard ou à l'égout.
drainnage = fente vers le haut, au besoin, placer le drain plus bas. epandage = fente vers le bas.
Une terre drainante est une terre qui laisse suffisamment circuler l'eau de la pluie, vers le bas, pour ne pas se retrouver saturée (avec formation de flaques en surface), et asphyxier les racines des plantes qui y poussent.
Si vous recherchez un feutre géotextile pour l'effet drainant, un grammage de 80g/m2 est largement suffisant, il vous offrira une excellente capacité de filtration et de drainage. Attention, ce type de grammage n'est pas compatible pour un lieu de passage ou de circulation.
Sable dit « d'assainissement » pour la réalisation des lits filtrants : il doit être lavé de façon à éliminer les fines (<0.08 mm) qu'il contient et stable à l'eau. Il doit être siliceux « non calcaire », avec une tolérance maximale de 5% de calcaire.
Généralement, lorsqu'un terreau ne présente aucune capacité de rétention d'eau, c'est parce qu'il contient une terre sableuse. Celle-ci est très fine, meuble et légère. Par conséquent, l'eau passe et se retrouve directement sous le sol, sans forcément agir sur les racines des plantes.
Trèfle d'eau. Chez cette plante adepte des berges humides comme des pieds dans l'eau (jusqu'à -30 cm), les feuilles trifoliées servent d'écrin, en avril-mai, à des bouquets de fleurs étoilées, blanches et aux pétales joliment frisottés.