Le bail doit être conforme à un contrat-type qui diffère selon que le logement est loué vide ou meublé . Un logement mis en location doit respecter une surface minimum. Il s'agit d'un des critères de décence du logement. Le logement doit avoir une surface minimale de 16 m² pour 2 colocataires.
Chaque colocataire doit en effet disposer d'un espace privé (les pièces communes ne sont pas comptées) d'une superficie d'au moins 9 m2 et d'un volume habitable d'au moins 20 m3.
Pour louer en colocation vous devrez, propriétaire-bailleur, rédiger un bail de colocation qui devra être signé par toutes les parties. Ce bail de colocation peut prendre deux formes : Un bail unique de colocation signé par tous les colocataires. Un bail individuel de colocation pour chaque colocataire.
Partager son lieu de vie
Et si la colocation se passe mal, cela se répercute également sur la rentabilité du propriétaire : période de vacance, mauvaise entente avec les habitants, risque d'impayé… Pour des colocataires ayant des modes de vie incompatibles la colocation peut voler en éclat.
Paiement du loyer de la colocation
Lorsqu'il y a un bail commun ou unique pour la colocation, chaque colocataire signataire peut s'acquitter individuellement de sa quote-part du loyer directement auprès du bailleur, par chèque, virement ou prélèvement automatique.
En France, une chambre est louée en moyenne 455 euros, avec un budget moyen par colocataire de 490 euros. Le loyer est plus faible en Italie où les chambres se louent 385 euros.
Les locataires, colocataires, sous-locataires, propriétaires ou encore les résidents en foyer d'hébergement (EHPAD, résidence autonomie, résidence pour étudiants, etc.) peuvent bénéficier de l'APL. Vous pouvez louer un logement sans vivre dedans, en revanche l'APL n'est accessible que pour les résidences principales.
Vous voulez vivre avec votre fille (ou votre mère), et vous vous demandez si la colocation mère-fille est possible ? La réponse à cette question est positive. Et pour cause, l'ALF (Allocation de logement familiale), constitue une des aides au logement accordées aux colocataires par la CAF.
Pour être colocataire, chaque occupant du logement doit signer le bail : à la rubrique Désignation des parties, à l'emplacement prévu pour les locataires, vous allez indiquer le nom de chacun des colocataires. Ils deviennent ainsi colocataires.
La loi ne prévoit d'ailleurs aucune sanction en l'absence de contrat de bail écrit. Il suffit que le bailleur et le locataire donnent leur consentement mutuel sur le logement loué et le montant du loyer pour que le bail verbal soit valable d'un point de vue juridique.
Elle est toutefois de droit depuis la loi ALUR. Il suffira ainsi au partenaire non titulaire du bail de demander la cotitularité au bailleur. Dans ces deux cas, les deux partenaires ont les mêmes droits et les mêmes obligations vis-à-vis du bailleur et sont tous deux soumis au respect du contrat de bail.
Parce que le calcul de l'APL se base sur le montant du loyer plafonné, un forfait de charges, sur les ressources et la composition du foyer. Ce qui explique que l'aide au logement est plus faible pour des colocataires c'est qu'elle est égale à 75 % du plafond par rapport à un locataire seul.
Non seulement la passion et la convoitise l'un pour l'autre peuvent diminuer au cours d'une relation, mais le sentiment d'amour peut aussi se faufiler secrètement. Ce qui reste est un sentiment d'amitié profonde. Alors, votre vie de couple devient une colocation dans laquelle les deux partenaires sont insatisfaits.
Vous êtes en colocation si vous partagez un logement avec une ou plusieurs personnes autres que mon conjoint ou compagnon. Chaque colocataire doit faire sa propre demande d'aide au logement en indiquant sa part de loyer, ses revenus et le nombre de colocataire(s).
Vous pouvez les diviser en parts égales ou en fonction de l'utilisation faite du logement par chacun. Par exemple, un colocataire travaillant depuis chez lui aura tendance à utiliser plus le chauffage ou les parties communes de l'immeuble, il peut donc décider de prendre à son compte une somme plus importante.
Résidences publiques du Crous : 150€ à 250€ (chambre) Résidence étudiante privée : 500€ à 950€ (studio meublé), 480€ (chambre en colocation) Location entre particuliers : à partir de 500€ (studio meublé), min 500€ (chambre en colocation)
Vous pouvez prouver cela de différentes manières: témoignages, contrats de bail séparés, photos des espaces de vie, factures, extraits de compte, etc. Ces preuves sont appréciées différemment selon les bureaux de chômage et selon les tribunaux du travail.
La mise en demeure accordera un délai au « mauvais payeur » pour le paiement du loyer dû. Néanmoins, si après lui avoir envoyé la mise en demeure, votre coloc ne paie toujours pas son loyer, il faudra le conduire devant le tribunal d'instance et entamer une procédure pour récupérer les loyers dus.
Pourquoi une telle réticence ? 58 % estiment que le logement qu'ils mettent en location est trop petit pour accueillir des colocataires. Les petites et moyennes surfaces sont majoritaires dans le parc locatif privé", rappelle l'étude.
Le partage des tâches
Mais aussi des tâches partagées ! Il suffit de trouver la bonne organisation. L'inconvénient : vous n'avez plus l'excuse de la flemme pour faire le ménage. Vivre à plusieurs responsabilise chacun pour assurer le bien-être de l'ensemble de la colocation.