Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas. Exemple : Normalement, je devrais obtenir une bonne note à cet examen de mathématiques, bien que je ne sois pas sûr d'avoir tous les points au dernier exercice.
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s'agit d'une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l'illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé.
Alors que est considéré par certaines sources comme vieilli ou littéraire, dans le sens de « lorsque, quand, dans le moment où ». Il sert surtout, dans l'usage actuel, à marquer une opposition : Il se tourne les pouces alors que les autres sont débordés de travail.
Lorsqu'une phrase contient plusieurs verbes conjugués, elle est complexe. Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard. Le verbe conjugué est le noyau d'une phrase, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués.
- Seize jacinthes sèchent dans seize sachets secs. - La roue sur la rue roule ; la rue sous la roue reste. - Trois gros rats gris dans trois gros trous ronds rongent trois gros croûtons ronds. - Si six scies scient six cyprès, six cent six scies scient six cent six cyprès !
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
Invariable. Pourvu que (+ subjonctif) : je le verrai, pourvu qu'il veuille bien me recevoir. Pourvu qu'il ne pleuve pas !
Indique la concession. Synonyme : alors que, quoique, tandis que.
« Bien que », locution qui introduit une concession, est en général suivie du subjonctif. Exemples : Bien que tu sois malade, je dois te parler de cette affaire qui ne peut attendre. Je suis parti me promener avec gaieté dans la forêt, bien qu'il pleuve.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas.
adj. adv. avec certitude, bien, bien sûr, bravo, certainement, certes, d'accord, d'accord!, effectivement, en effet, justement, ok, oui, précisément, réellement, sûrement, tout de même, tout juste, véritablement, vraiment, d'acc, O.K.
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
L'expression « bien que » se trouve le plus souvent à l'écrit, mais elle peut aussi se trouver dans la langue parlée. Elle est toujours suivie du subjonctif (bien que + subjonctif). Cette locution conjonctive est utilisée pour introduire une proposition de concession. Elle a le sens de « quoique ».
Les modes de la conjugaison : le subjonctif
Il s'agit du mode de l'irréel. Il s'utilise avec des verbes exprimant l'envie, le souhait, le doute, les émotions et l'incertitude. Il faut qu'il lise ce livre. Dans sa construction, on ajoute "que" ou "qu'" devant le verbe pour indiquer le subjonctif.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant. Vous qui êtes si intelligents, connaissez-vous la réponse ? C'est ce à quoi je pensais.
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe.
Une phrase simple exprime une seule idée. Elle comprend toujours au moins deux éléments (sujet et verbe), et parfois trois (sujet, verbe et complément). Le sujet est la personne ou la chose qui fait l'action : Les députés voteront la loi. Le verbe est l'action : Les députés voteront la loi.