Coupez la fleur fanée et la paire de feuilles du bas. Ne gardez que deux folioles à celles du haut pour limiter la transpiration de la plante. Imprégnez la base de poudre de bouturage dont les hormones stimuleront l'arrivée des racines. Enfoncez la bouture de 3cm dans un pot rempli de terreau humide.
Éliminez toutes les feuilles du rosier, en ne conservant que les 2 feuilles du haut. Réduisez ensuite la tige de moitié en coupant juste en dessous d'un nœud. Coupez les 2 feuilles restantes en laissant uniquement le début de chaque feuille. Prenez le pot rempli de terreau humidifié à l'intérieur.
Ôtez toutes les feuilles en ne gardant que les 2 du haut. Enlevez les épines en bas de la tige (sur un tiers de la longueur, ce qui correspond à la longueur qui sera enterrée). Trempez la base de votre rameau dans de l'eau durant quelques minutes, puis dans de la poudre d'hormones de bouturage.
Bouturage du rosier : en pratique
Trempez la base de la bouture dans l'eau, puis dans de l'hormone de bouturage, dont vous ferez tomber l'excédent en tapotant avec un doigt (ou utilisez de l'eau de saule).
Supprimez les autres feuilles afin de limiter la perte d'eau par transpiration, ainsi que les épines de la partie de la tige qui sera enterrée (environ 5 cm du bas de la tige). Plantez la tige en l'enfonçant de 5 cm environ, dans un petit pot contenant un substrat fait d'un mélange 50/50 de sable et de tourbe blonde.
Choisir les fleurs en boutons, qui commencent à s'ouvrir ; Couper les tiges proprement de manière franche avec un sécateur bien aiguisé ; Placer les fleurs rapidement dans un vase rempli d'eau froide ou si c'est pour les offrir, enrouler un papier absorbant bien humide autour des tiges le temps du voyage.
Les graines de rosiers sont contenues dans un fruit sec qu'on appelle « akène ». Ces akènes sont protégés dans une structure charnue dénommée cynorhodon. Ce cynorhodon est ouvert en quatre (photo n° 1). Les semences sont extraites à l'aide d'un stylet en bois.
On supprime la tête de la tige où se trouvent les fleurs fanées et le feuillage sauf les deux dernières feuilles situées en haut de la tige de manière à diminuer l'évaporation. 3. Coupez les tiges de rosiers en biseau au-dessus d'un nœud afin d'obtenir des boutures de 10 à 20 cm.
Couper la tête d'une tige à environ 20 cm. Enlever les feuilles et n'en garder que quelques-unes au sommet de la tige. Plonger le bout de la tige qui sera dans le sol dans une hormone d'enracinement (facultatif, mais suggéré pour les tiges ligneuses). Mettre du terreau humide, mais non détrempé, dans le récipient.
Faites tremper votre bouture dans votre récipient d'eau et placez-la ensuite dans un endroit plutôt chaud et surtout lumineux, aux alentours de dix-huit à vingt degrés. Ensuite, patientez en surveillant régulièrement l'apparition des racines et leur évolution.
Prépare la tige
Elle va fournir de l'eau et de nombreux sucres essentiels à la pousse de la plante. C'est pourquoi les roses vont se nourrir de la pomme de terre, faire des racines et devenir des rosiers pour fleurir les années suivantes.
La fin d'été (août-septembre) est la meilleure période pour bouturer les rosiers. Vous pouvez même commencer un peu plus tôt dans l'été, dès le mois de mars.
En pratique, creusez légèrement une partie de la banane (comme si vous faisiez un trou de plantation) pour planter la jeune bouture et faciliter le développement de ses racines. Au bout de quelques semaines, vous pourrez rempoter votre bouture dans du terreau.
Coupez une tige en croissance (en juin ou juillet) d'environ 15 à 20 cm de longueur et supprimez les feuilles inférieures. Supprimez aussi toute fleur ou bouton floral. Plongez l'extrémité inférieure de la bouture dans le sol (on peut aussi faire le bouturage en pot) dans un endroit mi-ombragé. Arrosez bien.
Les signes de réussite. Pas de panique si au bout de deux semaines les feuilles tombent. La bouture n'est pas morte, au contraire, cela prouve que l'enracinement est en bonne voie.
Les avantages du bouturage dans l'eau
Le bouturage dans l'eau est la méthode la plus simple, efficace, économique, ludique et particulièrement adaptée pour les jardiniers en herbe, avec une simple extrémité de tige placée dans de l'eau pour déclencher l'apparition de racines.
Rien ne vaut l'hormone de bouturage pour encourager la production de racines. Vendue en jardinerie, en poudre ou en gel, elle s'applique en une fois à la base de la bouture. Vous pouvez aussi fabriquer vous-même ce bon fortifiant qu'est l'eau de saule.
On coupe juste en dessous du nœud (ou du renflement) où la feuille rencontre la tige principale. Une même tige peut donner plusieurs boutures – à condition de couper des branches munies d'au moins un nœud et une feuille de la tige originale.
Coupez une tige qui grandit (grimpant). Quand ? Vers juin/juillet.
À l'intérieur, entre 20 et 30 vrais fruits qui sont en réalité des akènes, souvent confondus avec les graines. Ces akènes sont prolongés par des poils irritants que l'on qualifie de poils à gratter. Les graines de rose sont situées à l'intérieur des akènes, à raison d'une semence par fruit.
Lorsque les conditions favorables reviennent, au printemps, la graine s'imbibe d'eau et la croissance de la plantule commence, c'est la germination. Grâce aux réserves de la graine, le premier organe à se développer et à sortir est la radicule, suivie de la tige portant les premières feuilles embryonnaires ou non.
La technique la plus simple est de prendre une petite coupelle et d'y mettre du coton/sopalin/essuie-tout imbibé d'eau. Il vous suffit d'y déposer une dizaine de graines, et d'attendre quelques jours pour voir si la graine va germer.
L'hydroponie est une forme d'hydroculture qui consiste à faire prendre racine aux plantes et à les laisser pousser dans l'eau, sans terreau. C'est simple : en incisant certaines plantes au bon endroit, des racines en sortiront et vous pourrez mettre ces plantes dans un vase avec de l'eau.