Cela peut se faire en perçant un trou dans le vitrage, il suffit ensuite d'insérer la gaine d'évacuation dans ce trou pour que l'air chaud sorte à l'extérieur du bâtiment.
Passez un peu de white-spirit sur les repères avec un pinceau. Positionnez la ventouse au centre du cercle, puis faites un tour complet en appuyant légèrement sur le découpe-verre et en maintenant la ventouse. Veillez à ne pas passer deux fois au même endroit, cela pourrait ébrécher la vitre.
Où poser l'entrée d'air ? On les pose généralement en haut des menuiseries. Si la fenêtre est doté d'un volet roulant, on évite la pose d'une entrée d'air sur la fenêtre, c'est un manchon d'aération sur le coffre du volet qui fera l'aération.
La ventilation naturelle repose sur un principe physique simple : l'air chaud, plus léger que l'air froid, monte et génère un tirage d'air naturel dans le logement. Un balayage permanent est ainsi créé dans le logement et l'aération naturelle est mise en place.
Son rôle est d'assurer aux occupants un air sain. Ça n'est donc pas un accessoire futile, loin s'en faut, puisqu'il permet un brassage de l'air ambiant. Ainsi, l'air vicié de l'intérieur s'évacue alors que l'air frais en provenance de l'extérieur pénètre dans la pièce.
Si vous disposez d'un simple vitrage, le vitrier va découper le trou avec du matériel adapté (risque de casse). Si la vitre se casse, il faudra la remplacer et dans ce cas le vitrier la fera fabriquer en usine avec le trou au diamètre souhaité dès la fabrication.
En règle générale, il n'est pas conseillé de percer une fenêtre en PVC. En effet, les fabricants de menuiserie menacent de retirer leur garantie, car ils estiment que lorsque la fenêtre est percée, elle perd ses propriétés d'isolation thermique.
Il faut prévoir une grille d'entrée d'air dans toutes les pièces de vie (chambres, séjour, bureau, salon) et surtout pas dans les pièces de service (WC, SDB, cuisine, buanderie) car dans ces pièces, en principe, il devrait y avoir une bouche d'extraction d'air vicié reliée à la VMC.
Les grilles de ventilation seront donc des grilles hygroréglables qui adapteront automatiquement le volume d'air entrant grâce à un curseur interne qui s'allonge ou se rétracte en fonction du taux d'humidité de l'air.
L'aérateur hygroréglable est doté d'une bande de polyamide qui détecte le taux d'humidité présent dans le logement. Quand l'humidité de l'air augmente, l'aérateur laisse entrer plus d'air. À l'inverse, lorsque l'humidité de l'air diminue, l'apport d'air diminue.
Le plus efficace consiste à réaliser un courant d'air en ouvrant une autre fenêtre située à l'opposé de la première. Mais attention, chaque utilisateur de la salle de bains doit s'attacher à ouvrir la fenêtre et à la refermer ensuite, afin d'éviter que la pièce ne se refroidisse trop.
Pour effectuer la mortaise, on trace l'emplacement de la barrette centrée sur la traverse, puis on perce le bois de part en part avec une mèche à bois (ø 12 mm) à chaque extrémité du tracé.
On perce le verre avec une perceuse avec variateur de vitesse ou un coupe-verre circulaire en fonction du diamètre et de l'épaisseur du verre. Pour percer du verre sans le casser : mèche à carbure de tungstène ou mèche diamant en bout de perceuse.
Appliquez de légers coups secs sur la rayure, en vous aidant du manche du coupe-verre. On appelle cela « détonner ». Positionnez ensuite la découpe le long du plan de travail et pliez d'un coup sec pour casser le verre et retirer la partie inutilisée. Procédez de même pour les autres découpes.
Positionnez la ventouse de votre coupe-verre circulaire au milieu du cercle et faites un tour complet. Réalisez le tracé en une seule fois pour éviter d'ébrécher la vitre. Ensuite, tracez un deuxième cercle plus petit (environ 2 cm) à l'intérieur du premier cercle. Appliquez les mêmes consignes avec le deuxième cercle.
Récupérez un gros bouchon en liège du diamètre du goulot. Percez-le de haut en bas, de façon à pouvoir faire passer le cordon. Insérez le cordon électrique dans le bouchon, puis dans le goulot de la bouteille. Faites-le ressortir par le fond et assemblez-le avec la douille.
Collez un morceau de papier cache adhésif sur le fond de la tasse. Cela permettra une meilleure adhésion de la tige et l'empêchera de glisser. Percez, lentement d'abord, jusqu'à ce qu'un petit trou apparaisse. Ensuite, continuez jusqu'à ce qu'un trou soit complètement formé au fond de la tasse.
On passe un petit coup de papier de verre pour que tout soit nickel (si comme moi vous êtes un peu maniaque). Vous maintenez la planchette en place, et vous repercez votre trou en y allant doucement avec votre scie cloche pour ne pas tout faire foirer (ça serait balot !).
Pour ventiler sans VMC, l'alternative la plus courante est l'installation d'une ventilation naturelle. Économique, écologique, et peu coûteuse, la ventilation naturelle est particulièrement recommandée pour les nouvelles constructions, et parfois même en rénovation.
Donc pour un compartiment habitable supérieur à 10 m², sans appareil non étanche, la surface minimale de ventilation haute est de 7 500 mm² (15 000 mm² si ce ne sont pas des aérateurs de toit) et 1 000 mm² pour la ventilation basse.
Si l'air ne circule pas correctement entre l'intérieur et l'extérieur et inversement, la pièce va se réchauffer et cela va créer un choc thermique entre l'air de la pièce et le niveau des fenêtres. Par conséquent, l'air chaud va se remplir d'humidité et les moisissures vont alors se développer.