L'algorithme de Facebook en 2024 s'appuie sur une approche intelligente pour personnaliser l'expérience de chaque utilisateur. Il analyse en profondeur les interactions passées, les préférences, les connexions, et les centres d'intérêt de chaque individu pour façonner un flux d'actualités unique.
L'algorithme attribue une note appelée “indice de pertinence” à chaque publication en fonction de ses prédictions sur l'interaction probable de l'utilisateur. Les contenus les plus pertinents obtiennent une note plus élevée et sont placés en haut du fil d'actualité. Les critères exacts de classement restent inconnus.
L'algorithme Instagram englobe les règles conçues pour identifier quels contenus présenter à un utilisateur et dans quel ordre. L'objectif de l'algorithme est de maximiser l'engagement des utilisateurs Instagram en leur proposant du contenu susceptible de les intéresser, pour les inciter à interagir avec in fine.
Ainsi, la meilleure heure pour publier sur Facebook se situait entre 13h et 16h, le mardi et le jeudi. C'était sans compter sur des utilisateurs très présents le week-end ! En effet, ce sont bien les derniers jours de la semaine où le niveau d'engagement sur Facebook est le plus élevé, notamment le dimanche à 15h.
Suivre des pages qui vont à l'opposé de ses propres opinions permet non seulement de déjouer les algorithmes, mais aussi de prendre connaissance des deux côtés d'une même médaille et d'en apprendre plus sur des opinions opposées aux nôtres. Le tout peut aider à vaincre certains biais cognitifs communs.
Ensuite, nous les déploierons progressivement sur tous nos sites en France, à la Fnac.com, puis sur Darty.com. En 2019, tous nos sites utiliseront ces algorithmes. » L'enjeu est même de les déployer dans les centres d'appels et dans les magasins du groupe.
Face à la toute-puissance des algorithmes, la Fnac propose un autre modèle dans lequel les algorithmes ne sont pas les seuls maîtres à bord, et l'humain conserve le premier rôle dans la démarche de recommandation.
Facebook fait partie des réseaux sociaux qui vous offrent la possibilité de consulter les posts selon un ordre chronologique. Pour autant, la plateforme ne rend pas la démarche particulièrement intuitive. Par ailleurs, il n'est pas possible de désactiver l'algorithme.
Si votre groupe compte moins de 250 membres, les publications sont marquées comme Vues dès qu'elles ont été lues. Si votre groupe compte 250 membres ou plus, vous ne verrez plus qui a vu les publications.
Les suggestions d'ami(e)s se fondent sur plusieurs critères, notamment : Le fait d'avoir des ami·es en commun. Vos réseaux, tels que la ville où vous vivez actuellement, votre école ou votre lieu de travail. Le fait de faire partie du même groupe Facebook.
C'est ce que l'on appelle le « classement personnalisé », car l'algorithme évalue et classe chaque publication, publicité, histoire et récit pour les classer par ordre décroissant, non chronologique, en fonction de l'intérêt des utilisateurs individuels.
L'automatique est la science qui propose de concevoir ces algorithmes de contrôle, mais aussi des algorithmes de surveillance, de diagnostic et d'estimation.
L'algorithme Facebook se base sur 3 grands principes pour classer ses contenus : l'auteur de la publication, le type de contenu, et l'interaction. Ainsi, le réseau sera plus favorable à proposer des posts de personnes ou pages avec lesquelles l'internaute a déjà interagi, sur des formats qui sont le plus consommés.
La méthode la plus utilisée actuellement est sans doute la méthode de tri rapide ou Quicksort, qui a été inventée par Sir Charles Antony Richard Hoare en 1960 – d'aucuns disent que c'est l'algorithme le plus utilisé au monde !
Le tri rapide - aussi appelé "tri de Hoare" (du nom de son inventeur Tony Hoare) ou "tri par segmentation" ou "tri des bijoutiers" ou, en anglais "quicksort" - est certainement l'algorithme de tri interne le plus efficace.
En effet, si votre post ne suscite pas de like, de commentaire ou de partage dans les 12 heures, il y a peu de chance qu'il soit vu après. L'engagement suscité par vos publications ne dépend pas seulement de l'heure de publication, de son nombre de caractères ou encore de sa pertinence.
En moyenne, il en coûte 0,89 euros par clic et 6,08 euros pour 1000 impressions pour diffuser de la publicité sur Facebook. Si vous êtes un annonceur cherchant à obtenir des likes ou des téléchargements d'applications, le coût moyen serait respectivement de 0,98 euros par like et de 5,03 euros par téléchargement.