Comment fonctionne un brasseur d'air ? Le brasseur d'air se compose d'une hélice à pales, montée sur une tête (rotor), parfois inclinable selon divers angles. Il se met en marche grâce à un bouton d'allumage qui actionne les pales en un mouvement de rotation plus ou moins important en fonction du réglage de la vitesse.
Son prix d'achat est abordable et sa consommation électrique est très faible également. Quand il s'agit d'un ventilateur de plafond, l'air de votre pièce est brassé par la rotation de grandes pales.
Ainsi, alors que les ventilateurs ne font que pousser l'air afin d'aérer une pièce, les brasseurs d'air, eux, génèrent une sorte de vortex, dans lequel se concentre un flux d'air si puissant qu'il se transforme en tourbillon. De plus, les ventilateurs ne peuvent pas fonctionner à vitesse maximale de façon continue.
Les entrées d'air sont disposées au-dessus des fenêtres d'une pièce de vie (salon, chambre…), et les bouches d'extraction dans les pièces contenant un point d'eau où l'humidité peut s'accumuler (salle de bain, WC, buanderie…). Les bouches aspirent l'humidité et les odeurs qui sont alors rejetées vers l'extérieur.
Le brassage de l'air
La rotation des pales d'un ventilateur de rafraîchissement, se substituant au mouvement saccadé de l'éventail, est la façon la plus simple de brasser l'air dans une maison. L'efficacité sur le plan thermique reste modeste, mais la sensation n'en est pas moins agréable.
Le prix d'un brasseur d'air dépend de sa puissance, des options et du fabricant. Comptez de 100 € environ à plus de 1 000 €.
En toiture, une faîtière ouverte avec paravent est le moyen le plus efficace pour assurer des sorties d'air avec l'effet cheminée, à condition qu'elle soit bien posée par rapport à la pluie et au vent dominant.
La ventilation naturelle repose sur un principe physique simple : l'air chaud, plus léger que l'air froid, monte et génère un tirage d'air naturel dans le logement. Un balayage permanent est ainsi créé dans le logement et l'aération naturelle est mise en place.
Le débit d'air exprimé en m³/h ou en m³/min , il indique la quantité d'air brassée . Un débit de 15 m³/min suffit pour un ventilateur sur table mais il faut 100 m³/min pour une pièce de 20 m², 150 m³/min pour une pièce de 30 m² et 350 m³/min pour 70 m².
Ventilateur éteint, on s'attaque aux longues pales avec un chiffon doux . Hissé sur une chaise haute bien stable (attention à la perte d'équilibre) on astique doucement le ventilateur, avant de laver soigneusement les pales avec une éponge imbibée d'eau chaude mélangée à du savon de Marseille.
Dans la plupart des foyers, le brasseur d'air est placé au centre de la pièce (salon, salle à manger, chambre…). De cette façon, le brasseur d'air procure une circulation d'air répartie uniformément dans presque toute la pièce.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
Ouvrir grand vos fenêtres pendant 5 à 10 minutes tous les jours est la manière la plus efficace de renouveler suffisamment l'air des pièces sans refroidir la maison. De cette façon, l'air est vite renouvelé et les murs et tous les meubles n'ont pas le temps de refroidir.
Dans une pièce chauffée entre 20 et 22 °C, un mètre cube d'air peut absorber 20 g de vapeur d'eau au maximum, alors qu'il ne peut en absorber que 5 g à l'extérieur lorsque les températures avoisinent 0 °C. On dit alors que l'air a atteint un taux d'humidité de 100% soit le maximum qu'il peut absorber.
La seule façon de tester le monoxyde de carbone consiste à installer des détecteurs de monoxyde de carbone dans chaque pièce. C'est le seul moyen de s'assurer que ce gaz dangereux n'est pas présent dans votre maison.
Un hygromètre vous permettra de mesurer le taux d'humidité de votre maison. En hiver, le taux d'humidité devrait se situer autour de 30%, 50% durant l'été. Le risque le plus souvent encouru est celui d'en avoir trop, ce qui contribue notamment au développement des moisissures.