Le gagnant d'une partie de cartes de Menteur est celui qui le premier, ne possède plus de cartes.
Le but du jeu est de se débarrasser de toutes ses cartes. Bien sûr au bout d'un moment, chaque joueur se retrouvera sans la couleur de carte qu'il faut donner. Il devra alors faire croire qu'il a encore des cartes de la bonne couleur. Mais si quelqu'un soupçonne un mensonge il doit alors dire "Menteur !".
La réalité du bluff
C'est une arme redoutable, comme le slowplaying. Pour gagner au poker, vous devez avoir une part d'imprévisible dans votre jeu. Miser avec rien et ne pas miser quand vous avez un jeu fort. Un joueur qui ne bluffe jamais, ne sera jamais relancé.
Le premier joueur distribue la totalité des cartes entre les différents joueurs.
Chaque joueur doit poser sur l'écart soit : une carte de même couleur que celle qui se trouve sur le dessus. une carte de couleur différente mais de même rang. un huit de n'importe quelle couleur.
Il faut arriver à bluffer les autres en leur faisant croire que vous avez vraiment posé une ou deux Mémés. Si un ou plusieurs joueurs ne vous croient pas, ils crient "MENTEUR !" Si vous n'avez pas menti, et que vous aviez posé la ou les bonnes cartes sur la case correspondante, vous la (ou les) retournez.
Le parieur annonce sa main en passant le plateau à son voisin. Le nombre de dés découvert et cachés est à la convenance du parieur et a une grande influence sur le bluff. Le joueur qui reçoit la main (receveur), doit l'accepter ou la refuser. S'il la refuse il déclare « menteur » et découvre l'intégralité de la main.
Le premier joueur doit jouer un ou plusieurs as, face cachée, au milieu de l'aire de jeu. Ensuite, le joueur à sa gauche doit jouer un ou plusieurs deux. Le joueur suivant doit jouer un ou plusieurs trois, le suivant, un ou plusieurs quatre, et ainsi de suite...
Savoir identifier l'éventail de mains de l'adversaire avec plus ou moins de précision, avoir de l'équité pour améliorer sa main au cas ou, tirer pour les nuts ou une couleur très faible, savoir avec certitude que son adversaire peut jeter... tout cela participe d'un bluff réussi mais avoir un plan reste primordial.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Le Tricheur un jeu-questionnaire stratégique au cours duquel les joueurs doivent répondre à des questions de connaissances générales et tenter d'accumuler le plus d'argent possible. Parmi eux, quelqu'un a reçu toutes les réponses : c'est le Tricheur. Les joueurs doivent tenter de le démasquer.
On pose une première carte face visible au centre du jeu. Les joueurs doivent tour à tour, déposer sur cette carte, une carte de la même famille (orange, vert, bleu, ou jaune), face cachée, en la nommant à voix haute. Mais ils peuvent mentir et déposer une carte d'une autre famille !
Le premier joueur pose une carte face visible sur la table, il annonce la couleur de sa carte (trèfle, cœur, carreau ou pique). Le prochain pose lui aussi une carte au dessus la carte déjà présente, mais face cachée cette fois. Il annonce la même couleur que la carte précédente. Ainsi de suite.
Zanzi : autre nom du brelan. On joue avec 5 dés. L'ordre dans lequel on joue est tiré au sort : chacun jette le dé. Celui qui obtient le total le plus élevé sera le premier à jouer, suivi de son voisin de gauche, etc.
compl. Le poker d'as est un jeu de société se jouant avec 5 dés à 6 faces représentant les valeurs des 6 plus hautes cartes des jeux de cartes traditionnels occidentaux (as, roi, dame, valet, 10 et 9). Le nom « poker d'as » en français vient de celui de la meilleure combinaison possible (5 dés montrant un as).
Le but du jeu
Le poker menteur est un jeu de dés, dice Game en anglais, qui utilise les mêmes valeurs de mains qu'au poker traditionnel. Chaque manche n'a pas de gagnant, mais un perdant : le menteur. On attribue au perdant un point et le joueur qui atteint en premier le nombre de points prédéfini a perdu !
En général, les mains initiales que vous choisissez de jouer dans un tournoi et dans une partie avec de l'argent réel. La seule différence est que vous vous sentez probablement plus aveuglé dans un jeu cash game, ce qui vous donne plus de choix et de liberté d'action.
1) Catégorisez vos adversaires
Définitivement pas peur. A un niveau le plus basique, beaucoup de joueurs de poker peuvent être rangés dans deux catégories : ceux qui ont peur, et ceux qui n'ont pas peur. Le constat est plutôt facile à faire en quelques tours de table.
Le jeu se joue à 4 et vous recevez 3 cartes. L'as vaut 11 points, les têtes valent 10 points et toutes les autres cartes valent leur valeur respective. Tous les joueurs tentent de collecter une main d'une valeur de 31 (ou la plus proche) dans la même couleur. 3 cartes identiques valent 30, 5 points en valeur.
C'est la pioche. On commence par piocher une carte de la pioche qu'on place sur la table pour initier la partie. On joue chacun son tour dans le sens des aiguilles d'une montre, en tout cas au début. Le sens peut ensuite être changé avec un Valet.