Comment traiter les maladies psychosomatiques ? Le traitement doit prendre en compte les aspects corporels et psychiques. un suivi médical avec la prescription des médicaments qui permettent de soulager la crise chez le patient, et une psychothérapie qui vise à rétablir l'équilibre psychique déstabilisé.
Une douleur psychosomatique est une douleur physique causée ou augmentée par des facteurs mentaux et émotionnels.
On parle de maladie ou de trouble psychosomatique lorsqu'un élément d'ordre psychologique est impliqué, au moins de manière partielle, dans l'apparition de symptômes physiques soit avec altérations biologiques objectivables (symptômes lésionnels) soit sans lésion organique décelable (symptômes fonctionnels).
Pour traiter la somatisation, la prescription d'antidépresseurs peut être utile et pour les patients conscients de leur pathologie, une psychothérapie (thérapie cognitivo comportementale) pourra être envisagée avec l'aide d'un psychologue ou d'un psychiatre.
Le principe de la somatisation
Le cortisol a tendance à détruire notre corps. Ce sont souvent les organes qui sont touchés, ou encore les articulations. Mais la somatisation possède aussi une origine verbale. Environ toutes les 90 minutes, notre cerveau entre en état d'auto-hypnose.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de l'hypocondrie sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents : proche décédé brutalement d'une maladie…
Le corps parle pour la tête. Concernant l'anxiété, on ne croit pas si bien dire. En effet, cet état psychologique engendre des symptômes physiques. Le cœur, les muscles, les intestins…
L'anxiété peut se déclencher avec le stress, suite à un événement personnel difficile ou à une expérience négative. Elle se manifeste notamment par une inquiétude diffuse, des douleurs musculaires, des problèmes de sommeil et de concentration.
L'hypnose. L'usage de l'hypnose peut diminuer la perception de la douleur en modifiant l'image mentale de la douleur. Elle a fait ses preuves dans le traitement de la douleur et presque toutes les pathologies douloureuses chroniques peuvent bénéficier de l'approche par l'hypnose.
Mal à la tête
Les maux de tête sont souvent directement liés au stress. Il peut s'agir de céphalées de tension. Les céphalées de tension se traduisent par une douleur au niveau de la nuque, des tempes ou du front. Elles couvrent une large partie de la tête (effet casque).
Il s'agit de symptômes répétés, durables ou invalidants, entrainant une demande de soins dont le retentissement majeur contraste avec l'absence d'anomalie clinique ou paraclinique pouvant les expli- quer entièrement. Les symptômes sont souvent multiples.
Les problèmes suivants peuvent être des signes physiques d'un déséquilibre au niveau de votre santé émotionnelle. Lorsque vous vivez des périodes difficiles, une mauvaise santé émotionnelle peut affaiblir votre système immunitaire et vous rendre plus vulnérable aux rhumes et à d'autres infections.
Mais pas nécessairement. Il y a aussi la douleur dite psychogène. Elle est générée par le psychisme, mais n'est pas imaginaire, elle est réellement ressentie par l'individu, mais existe en l'absence de lésion. Les mécanismes physiologiques de ces douleurs ne sont pas clairement définis.
Le plus souvent, les personnes hypocondriaques sont effrayées par la mort ou paniquées par les signes de vieillesse qui apparaissent. L'hypocondrie peut aussi s'expliquer par la peur de l'abandon ou un traumatisme dû à la maladie et la mort d'un proche.
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) est recommandée si les problématiques sont liées à des dysfonctionnements interpersonnels. La Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier notamment dans les troubles anxieux et les TOCs.
Selon lui, la peur de l'adversaire "cancer" fait des dégâts, alors que mieux comprendre ce qui se passe biologiquement et mobiliser ses ressources via des soins de support comme la phytothérapie ou le coloriage, permettrait de se poser les bonnes questions, et de s'engager dans le chemin de la guérison.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Les signes physiques du surmenage
Lorsque vous êtes surmené, vous pouvez ressentir des symptômes du surmenage comme des douleurs diffuses, des tensions musculaires, mal de dos (lombalgie), etc. D'autres symptômes du surmenage comme des vertiges ou des maux de tête peuvent apparaître.
Le côté droit du corps est souvent considéré comme le côté masculin, qui donne, avec lequel on s'exprime. Il représente, entre autres, le père. Le côté gauche du corps est souvent considéré comme le côté féminin, qui reçoit, avec lequel on assimile. Il représente, entre autres, la mère.
La somatisation de l'anxiété est un type de somatisation qui se produit normalement lorsque notre anxiété, prolongée pendant de longues périodes, s'exprime par une douleur physique qui n'a pas réellement de causes organiques apparentes mais est plutôt une représentation d'une condition psychologique altérée.
L'épuisement émotionnel est un état de surcharge face à l'effort. On ne parle pas uniquement d'excès professionnels, mais aussi de la charge d'assumer des conflits, des responsabilités ou des stimuli de type émotionnels ou cognitifs. L'épuisement émotionnel n'arrive pas du jour au lendemain.