La croissance est donc exprimée en pourcentage. Si la croissance d'un pays est de 1,2 % sur l'année N, cela signifie que le PIB du pays a enregistré une augmentation de 1,2 % entre la fin de l'année N-1 et la fin de l'année N.
C'est ce que les économistes appellent l'évolution du PIB en volume, exprimée en %. Par exemple, si la production a augmenté de 4 %, alors même que les prix ont augmenté de 3 %, la croissance a été de 1 % : 4 % de production moins 3 % de hausse des prix.
Le taux de croissance d'une grandeur (PIB, chiffre d'affaires, salaire, etc.) mesure son évolution d'une période à l'autre (mois, trimestre, année). Il est très généralement exprimé en pourcentage.
La croissance annuelle est mesurée par le taux de croissance du PIB d'une année sur l'autre. Cette évolution conditionne le rythme de la croissance. La croissance du PIB est calculée en additionnant la somme des valeurs ajoutées (secteur public + privé), la TVA et le produit des différentes taxes (TIPP, etc.).
Interpréter un taux de croissance annuel
Le taux de croissance annuel moyen d'un pays est de 4 % entre 2012 et 2015, cela signifie que : Entre 2012 et 2015, le PIB de ce pays a augmenté en moyenne chaque année de 4 % Le PIB de ce pays a augmenté de 4 % en 2015 et en 2012.
Les taux de croissance annuels moyens se lisent de la même façon, en ajoutant que l'augmentation est en moyenne et annuelle. Exemple : le PIB a augmenté en moyenne de 3,2% par an entre 1971 et 1980 aux États-Unis. Pour lire un taux de croissance, indiquez toujours l'indicateur qui augmente ou diminue.
Le taux de croissance évalue l'augmentation d'une donnée entre deux périodes différentes. Il mesure l'augmentation, la stagnation ou la diminution d'une grandeur d'une période à une autre. La grandeur peut être un salaire, un chiffre d'affaires, un PIB, une population, etc.
La croissance du PIB peut être décomposée en la somme des contributions de ses différentes composantes : dépenses de consommation des ménages, des institutions sans but lucratif au service des ménages et des administrations publiques, investissement, variations de stocks et solde commercial.
La hausse du PIB engendre un accroissement de l'emploi et des revenus réels, sous l'impulsion de la courbe de Phillips. L'emploi augmente de 1,4 % en 2010 et le revenu disponible réel de 3 %.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Les percentiles sont indiqués par des courbes. Par exemple, si votre enfant est dans le 70e percentile pour la taille pour l'âge, ceci signifie que 30 pour cent des bébés du même âge et même sexe sont plus grands, et 70 pour cent sont plus petits.
Le terme en volume supprime l'effet de l'inflation et donc cette donnée représente la véritable quantité produite en plus. Si l'augmentation du PIB est de 3%, on peut penser que cette augmentation est due : Soit à l'augmentation du volume de produits vendus. Soit à l'augmentation des prix.
Le PIB ne démontre pas la richesse d'un pays, mais bien, une quantité de la production des biens et services accomplis. Cet indicateur ne tient pas compte des industries plus lucratives que d'autres. Par exemple, le pétrole versus les autres domaines. Aussi, le PIB ne calcule pas la production sur le marché noir.
Il y a donc de la croissance, mais la croissance est de plus en plus faible. Cela signifie donc que le PIB augmente chaque année (en effet taux de croissance positif = PIB augmente), mais il augmente chaque année un peu moins que l'année précédente. → Dans le cas de la récession, le PIB baisse.
Un pays développé — aussi appelé «pays industrialisé» — présente une économie mature et complexe, généralement mesurée par le produit intérieur brut (PIB) ou le revenu moyen par habitant. Les pays développés bénéficient d'une infrastructure technologique avancée et présentent divers secteurs industriels et de services.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
Indicateur économique permettant de mesurer la production de richesses d'un pays, le produit intérieur brut (PIB) mesure la valeur de tous les biens et services produits dans un pays sur une année. La notion de produit national brut (PNB) n'est plus utilisée en comptabilité nationale.
Le produit intérieur brut est le principal agrégat mesurant l'activité économique d'un pays. Il correspond à la somme des valeurs ajoutées brutes nouvellement créées par les unités économiques résidentes de ce pays une année donnée, évaluées au prix du marché.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
La croissance économique présente des aspects positifs quant aux problèmes du chômage et de la pauvreté. Elle permet en effet, par le biais de la productivité, d'accroître les quantités de bien et services disponibles et réduire les inégalités. Le développement peut à son tour favoriser la croissance.
On peut mesurer le PIB selon trois approches, fondées respectivement sur la production, les revenus et les dépenses.
Parmi les nombreux indicateurs économiques très souvent utilisés figurent en premier lieu le Produit intérieur brut (PIB), dont on surveille le taux de croissance afin de mesurer la croissance économique, et le Produit national brut qui permet de comparer les puissances économiques des différentes nations.
Si le solde des échanges extérieurs est négatif (on importe plus qu'on n'exporte), le PIB diminue et inversement si le solde des échanges extérieurs est positif (on exporte plus qu'on importe).
PIB (Produit intérieur brut) : le calcul
PIB = sommes des valeurs ajoutées + TVA + droits et taxes sur les importations - subventions sur les produits.
Locution nominale. Croissance économique de 1 % déterminée par le rapport, dans un temps donné, entre l'ancien produit intérieur brut (PIB) et le nouveau PIB selon la formule : (nouveau PIB — ancien PIB) / ancien PIB x 100 = 1.