Pour ouvrir une franchise de hypermarché-supermarché il faut prévoir un apport de 7 à 300 k€, et envisager un investissement global variant entre 450 et 1500 k€. Le chiffre d'affaires prévisionnel est compris entre 200 et 9700 k€ selon les différentes enseignes.
Un apport financier de l'ordre de 50 000 euros est nécessaire au départ, pour un chiffre d'affaires pouvant dépasser le million d'euros, en fonction de l'emplacement et à condition d'avoir évalué avec soin au départ le budget pour ouvrir son commerce alimentaire.
« Au global, il faut entre 25 et 30 % de marge commerciale brute pour avoir une rentabilité. Vous devez mélanger des produits qui sont en dessous et d'autres au-dessus », conclut Cédric Ducrocq.
Privilégiez les rues piétonnes ou les surfaces nichées au sein des centres commerciaux. C'est d'abord l'emplacement qui compte. Cibler une rue animée, piétonne de préférence, est un gage de rentabilité, car le loyer sera élevé et le taux de vacance faible. Les surfaces dans un centre commercial sont aussi un bon choix.
En règle générale, une épicerie génère un chiffre d'affaires compris entre 60 000 et 150 000 euros par an. Nombreux sont les facteurs qui peuvent faire varier ce montant. Parmi ces derniers, on retrouve notamment l'emplacement de l'épicerie, le nombre de produits proposés et les horaires d'ouverture.
Pour les biens de consommation en mouvement rapide, 3 à 10 % peuvent convenir uniquement pour la distribution physique, mais si le distributeur doit également faire des efforts promotionnels, ce pourcentage devrait être beaucoup plus élevé.
La recherche de financement, dernière étape avant de lancer une supérette. L'apport personnel nécessaire à l'ouverture d'une supérette en franchise se situe entre 7 500€ et 150 000€ selon les enseignes (Observatoire de la franchise), mais l'investissement initial total est quant à lui beaucoup plus conséquent.
La Loi autorise les porteurs de projet à créer des entreprises sans effectuer d'apport. Plus précisément, elle n'instaure pas de montant minimal à consacrer au capital social pour certains statuts juridiques. Dans cette hypothèse, le capital social peut se limiter à l'euro symbolique (1 €).
Ainsi, si tous les propriétaires font partie de ce qui est appelé "Le mouvement Leclerc", chaque magasin est totalement autonome. En effet, chaque propriétaire devra avoir été salarié un nombre minimum d'années au sein du groupe et ne pourra devenir propriétaire que lorsqu'il sera directeur d'un magasin.
Une organisation coopérative : le supermarché est géré et dirigé par ses membres, qui en assurent le fonctionnement. Chaque coopérateur s'engage à donner 3 heures de son temps toutes les 4 semaines pour contribuer à la tenue du magasin : réception des commandes, mise en rayon, tenue de caisse…
Le centre de formalités des entreprises (CFE) compétent pour l'ouverture d'une épicerie est donc la Chambre de Commerce et d'industrie : c'est là qu'il faudra s'adresser pour les formalités de création.
Selon leur localisation et leur capacité d'accueil, les épiceries génèrent, chaque année, un chiffre d'affaires généralement compris entre 150 000 et 300 000 €. Également, l'investissement de départ pour une épicerie est plutôt faible, puisque compris entre 120 000 € et 250 000 €.
Pour rejoindre ce réseau, le candidat doit disposer d'un apport personnel minimum de 30.000€ (droit d'entrée 10.000€ - investissement global 50.000€).
La vente de vêtements d'occasion est probablement un des business lucratifs les plus courants et les plus faciles pour commencer.
La vente de PPN reste l'activité la plus rentable de toutes. Et pour cause, ces produits sont des consommables conçus pour une durée de vie limitée mais nécessaires au confort au quotidien. Nous parlons notamment de riz, de sucre, de farine, etc.