Le traitement de référence repose surtout sur les agonistes dopaminergiques : L-Dopa en première intention en discontinue si les symptômes sont intermittents, SIFROL ou ADARTREL dans les cas sévères ou d'échappement à la L-Dopa, et antiépileptiques de type NEURONTIN ou Opioïdes en cas de manifestations douloureuses.
En cas de syndrome des jambes sans repos, vous pouvez réduire vos impatiences en marchant, en vous massant ou en prenant un bain chaud. Privilégiez aussi une bonne hygiène de vie. Si les symptômes deviennent plus marqués, consultez un médecin et suivez bien ses prescriptions.
Les opioïdes de niveau I, essentiellement le tramadol (sous la dénomination Topalgic® ) peuvent être utilisés en première intention.
On appelle cela des « impatiences ». Pour s'en débarrasser, il n'y a qu'une solution : bouger ! C'est pour cette raison que cela empêche de dormir puisqu'il faut bouger les jambes ou se lever pour faire partir, ou du moins atténuer, ces manifestations pénibles.
La cause la plus fréquente du syndrome des jambes sans repos est une carence en magnésium, alors je vous suggère d'essayer un supplément de magnésium (de préférence en liquide ou en poudre pour une absorption rapide) environ une heure avant d'aller au lit.
Si le syndrome des jambes sans repos est lié à une anémie, le traitement consiste à traiter la cause, afin que les symptômes s'atténuent. Si les symptômes ne peuvent pas être atténués par ces étapes et retentissent trop sur la qualité de vie du sujet atteint, un traitement médicamenteux peut être prescrit.
la prise de certains médicaments (ex. : neuroleptiques, antidépresseurs, antihistaminiques, lithium) ; le surpoids et l'obésité ; la consommation d'alcool, de tabac, café, thé et/ou chocolat ; le stress et la fatigue.
3. Un peu plus haut. Une bonne façon de favoriser la circulation sanguine consiste à surélever vos jambes. Dans cette position, la gravité fait descendre le sang vers votre cœur, puis vers vos extrémités.
Dans ce cas, il est recommandé de dormir les jambes légèrement surélevées (8 à 10 centimètres), de façon à ce qu'elles soient légèrement plus hautes que la tête. Vous améliorerez ainsi le retour veineux vers le cœur et vous diminuerez les gênes occasionnées par une mauvaise circulation du sang.
Les médicaments de première intention sont la lévodopa et les dopamino-agonistes.
Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) se manifeste par des « impatiences », des sensations désagréables dans les membres inférieurs (mais aussi parfois dans les bras), principalement ressenties le soir au repos.
Le trouble des mouvements périodiques des membres est caractérisé par des crampes ou des coups répétitifs (habituellement toutes les 20 à 40 s) des membres inférieurs ou supérieurs pendant le sommeil. Les patients se plaignent habituellement d'un sommeil nocturne interrompu ou d'une somnolence diurne excessive.
Pratiquez également un sport qui active le retour du sang en faisant travailler le mollet, véritable « pompe » veineuse : marche, golf, ski de fond, natation, gymnastique, danse, vélo d'extérieur ou d'appartement. Avant de vous coucher, vous pouvez aussi effectuer quelques mouvements de pédalage, allongé sur le dos.
Surélever son lit est une des astuces qui permet d'améliorer la circulation veineuse dans les jambes. D'une facilité déconcertante, cette méthode est accessible à tous, mais nécessite tout de même de ne pas le faire n'importe comment.
Les poses avec les jambes levées sont pratiquées depuis longtemps dans le yoga pour faire circuler le sang, et dormir dans cette position peut vous aider à vous réveiller en vous sentant rafraîchi et revitalisé.
La vitamine D dernière aide le calcium à se fixer sur les os. Magnésium, calcium et vitamine D sont donc intimement liés, sans oublier l'apport du fluor dans la protection de l'émail des dents.
Le magnésium marin est une des formes les plus courantes de magnésium au sein des compléments alimentaires. Il possède énormément de bienfaits tels que le bon fonctionnement du système nerveux et du système musculaire. Le magnésium est aussi réputé comme étant un booster d'énergie car il contribue à réduire la fatigue.
Le syndrome des jambes sans repos est un trouble neurologique qui se manifeste par un besoin irrépressible de bouger les jambes, même la nuit ou durant les périodes où l'on est censé se reposer. C'est ce que l'on appelle également « avoir des impatiences dans les jambes ».
La trazodone (Desyrel® et ses formes génériques) appartient au groupe de médicaments appelés antidépresseurs. Toutefois, ce médicament est plus communément utilisé pour traiter les troubles du sommeil (insomnie).
Il est également possible que les impatiences soient le symptôme d'une autre maladie : insuffisance rénale chronique, diabète, anémie, hypothyroïdie, fibromyalgie, sclérose en plaque, maladie de Parkinson... Enfin, dans certains cas, le SJSR est idiopathique : on ignore totalement sa cause.
On part généralement du principe qu'en cas de fatigue dépressive, il est préférable de recourir à des antidépresseurs stimulants de type ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et IRSN (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline).
En dormant avec les pieds plus haut que le reste du corps on favorise naturellement le retour veineux des jambes, et très rapidement on retrouve ainsi des jambes légères. Cette position surélevée permet aussi de limiter le risque de phlébite, et permet une meilleure récupération musculaire après un effort.