En réduisant les coûts de production, la flexibilité sous ses formes interne et externe contribue à améliorer la compétitivité-prix des entreprises qui gagnent des parts de marché à l'exportation, à l'origine de créations d'emplois et donc de baisse du chômage.
La flexibilité peut conduire les travailleurs temporaires à redoubler d'efforts et à améliorer leur productivité, s'il existe des perspectives intéressantes (primes, embauches). Enfin et surtout, elle permet à l'entreprise d'économiser les coûts de licenciements lorsque la conjoncture devient moins favorable.
Enfin et surtout, il est nécessaire de flexibiliser le marché du travail à travers l'instauration d'une sécurité sociale professionnelle et d'un contrat unique, qui permettraient d'augmenter la productivité des entreprises et ainsi réduire le chômage.
La flexibilité du travail permet aux employeurs de varier la charge de travail d'une semaine à l'autre et même d'un jour à l'autre. Les atouts sont les mêmes que pour les contrats de travail aux horaires flexibles, les dirigeants peuvent alors faire face facilement à un pic d'activité ou au contraire à un creux.
Il est donc nécessaire, pour lutter contre le chômage, de mettre une politique de relance. Les caractéristiques de cette politique sont : – La baisse des taux d'intérêts Favoriser les emprunts et l'investissement. – Le déficit budgétaire Augmenter la demande globale grâce aux dépenses de l'Etat.
Selon les économistes libéraux, le manque de flexibilité du marché du travail serait donc une cause importante de chômage. Les rigidités de ce marché dressent en effet, selon eux, des obstacles réglementaires qui empêchent l'offre et la demande de travail de s'ajuster correctement.
Pour l'analyse libérale la flexibilité favorise l'emploi par la baisse du coût du travail, favorise les profits, qui, à leur tour, incitent à produire, à investir, donc à embaucher, et enfin la baisse des coûts entraîne la baisse des prix, ce qui stimule la consommation.
Agilité qui implique directement une remise en cause de l'organisation du travail de la part de l'entreprise. Elle permet de s'adapter aux évolutions et aux contraintes du marché tout en impliquant dans sa flexibilité l'ensemble des ressources de l'entreprise et plus particulièrement ses ressources humaines.
La baisse du coût du travail, si elle passe par une baisse des salaires nets, conduit les employés à réduire leur consommation. Dans une logique keynésienne, cela réduit les incitations des entreprises à produire et donc à embaucher, et augmente donc le chômage.
I – La croissance peut réduire le chômage.
- Plus il y a de demande, plus la production augmente et il y a donc création d'emplois. Mécanisme keynésien avec la demande effective. Exemple actuel : le PIB a diminué en 2009 et le chômage a fortement augmenté ou exemple du document 1.
Avec la flexibilité, l'entreprise a donc la possibilité de s'adapter à la conjoncture. L'emploi devient une variable d'ajustement avec cependant un risque accru : le développement de la précarité.
Le danger est donc que la rotation des emplois, si elle est accrue par la flexibilité, conduise à une baisse accélérée de la sophistication des emplois et du niveau global moyen de la productivité du travail.
Augmenter sa flexibilité offre de nombreux bénéfices: réduction des maux de dos, amélioration de la circulation, adoption de postures plus adéquates. Le chiropraticien Jake Mayes a parlé à Métro des vertus de la souplesse.
Mais la flexibilité du travail présente aussi des inconvénients, qu'il convient de ne pas négliger. Ainsi la baisse de productivité qu'ont connue divers secteurs des services entre 1994 et 1995 est-elle imputable, selon l'économiste Patrick Artus, à un recours excessif à l'intérim.
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
De plus la destruction d'emploi peut nuire à l'activité économique étant donné que les individus n'ont plus de revenus suffisant pour consommer comme auparavant cela fait baisser la production et peut donc entrainer une destruction d'emploi, ainsi cela entraîne un cycle s'en fin.
La première conséquence du chômage est la perte du pouvoir d'achat et l'endettement des ménages. En se retrouvant au chômage, le salarié perd 25 % de son revenu, qui décroît en fonction de sa durée. En fin de droit, le chômeur ne perçoit plus que le RSA (revenue de solidarité active).
Avec des horaires de travail flexibles, les employeurs bénéficient des avantages suivants : Amélioration du moral, de l'engagement et de l'engagement des employés envers l'organisation. Réduction de l'absentéisme et des retards. Capacité accrue de recruter des employés exceptionnels.
Qualité de quelque chose qui peut s'adapter aux circonstances particulières : Flexibilité des horaires. 3. Littéraire. Qualité de ce qui plie, de ce qui cède facilement : Flexibilité d'esprit.
La baisse des coûts de production et donc des prix peuvent être obtenues par une meilleure adaptation des besoins de main d'œuvre à la production. La flexibilité quantitative peut éventuellement inciter les entreprises à créer des emplois (même s'il s'agit souvent d'emplois précaires.