Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
On en oublie de vivre l'instant, et on ne profite plus de rien ! Inutile de se morfondre sur des regrets ou d'angoisser à propos du lendemain. Vivre le moment présent, c'est s'investir dans sa propre vie et s'ouvrir aux plaisirs quotidiens. Lâcher prise, c'est aussi apprendre à déléguer, à se décharger sur les autres.
Pour apprendre à lâcher prise lors de situations particulièrement difficiles ou en cas de stress important, il peut être utile d'utiliser la visualisation positive, en se concentrant, par exemple, sur une image apaisante, que ce soit un lieu ou une personne. Cet exercice simple peut être pratiqué partout.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
Distraire son esprit en discutant, entretenir le scepticisme et se donner une limite de temps comptent parmi les méthodes efficaces pour lutter contre la rumination, un réflexe susceptible d'augmenter le stress et les risques de dépression, selon Sonia Lupien.
La respiration est un outil formidable pour lâcher prise. N'avez-vous jamais remarqué comme une profonde respiration suivie d'un grand soupir peut vous soulager quand une situation stressante est achevée ? Pratiquez la respiration abdominale (ou ventrale).
Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement qui peut être excessif, les rassure.
La vie n'exige pas de nous des efforts permanents au maximum de nos forces. La vie nous porte naturellement vers la réalisation de nos objectifs. Pour faire et ainsi se réaliser, il suffit le plus souvent de laisser faire les choses à leur rythme et d'accompagner, avec douceur, ce flux de la vie en nous.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Faites le focus sur le présent, ici et maintenant !
Quand certaines pensées viennent à la surface, prenez-les en considération pour un petit moment et ramenez votre personne dans le présent. Il est parfois utile de le dire à haute voix avec des phrases telles que :« tout va bien, cela appartient au passé.
Lorsque vous réalisez que vous ne pouvez changer ni les événements ni les autres et que vous pouvez seulement changer votre façon de les percevoir, vous êtes dans le lâcher prise. Vous vous donnez alors une chance de vivre moins de stress.