Le fonctionnement du système nerveux peut donc être perturbé par la consommation de certaines substances telles que alcool, drogues, médicaments. Ces substances provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la commande du mouvement car elles modifient la transmission des messages nerveux.
L'intoxication éthylique aiguë comporte deux ordres de symptômes : à faibles doses, l'alcool a un effet psychostimulant excitant et entraîne une désinhibi- tion du comportement. À plus fortes doses, l'effet est sédatif. Les troubles de vigilance, à type de confusion, peuvent aller jusqu'au coma.
Ils bloquent l'action du messager chimique au niveau de certaines synapses ou au contraire va augmenter son action : ils perturbent donc les relations entre les organes récepteurs et les organes effecteurs. Ils vont ainsi stimuler certaines zones du cerveau et provoquer des hallucinations.
Les drogues agissent dans le système nerveux central en modifiant, amplifiant ou entravant l'action des neurotransmetteurs. Elles agissent plus spécifiquement sur le « système de récompense » et des zones qui interviennent particulièrement dans les émotions et la mémoire.
Les substances psychoactives libèrent la dopamine qui active différentes zones du cerveau reliées entre elles (circuit de la récompense). Cette libération de dopamine procure un afflux de plaisir et en contrepartie de ce plaisir, la substance va demander au cerveau de continuer de consommer.
À fortes doses, la drogue peut aussi occasionner des maladies mentales, telles que la schizophrénie, la paranoïa et la psychose. Elle rend aussi les personnes qui en consomment plus agressives, en plus de détruire un nombre considérable de neurones dans leur cerveau. La drogue peut causer la mort lors de surdose.
Il met en évidence les risques immédiats et à long terme de la consommation d'alcool. Ces risques vont des maux de tête et des troubles du sommeil à la démence, à la dépression et au suicide. La fiche d'information énumère cinq mesures que les gens peuvent prendre pour réduire ces risques.
La drogue, la fatigue et les nuisances sonores ou visuelles perturbent le fonctionnement du système nerveux|systeme nerveux. Les perturbations du système nerveux sont dues à des modifications de l'action des neurotransmetteurs des synapses du cerveau.
De nombreuses substances d'origine externe (appelées substances exogènes), comme l'alcool, les drogues (cocaïne, LSD) et la caféine, peuvent perturber le fonctionnement du système nerveux central. Ces substances exogènes empêchent, miment ou augmentent l'action des neurotransmetteurs.
Les stimulants accélèrent l'activité du système nerveux central. Ils agissent comme l'adrénaline, une hormone stimulante naturellement produite par l'organisme. Parmi les nombreuses drogues ayant des effets similaires, on peut citer la cocaïne, l'ecstasy et la caféine.
Le système nerveux est un réseau complexe de nerfs et de cellules nerveuses (neurones) qui font circuler des signaux et des messages provenant du cerveau et de la moelle épinière vers différentes parties du corps, et vice versa. Il est constitué du système nerveux central et du système nerveux périphérique.
Le système nerveux gère les informations sensorielles, coordonne les mouvements musculaires et régule le fonctionnement des autres organes.
Baisse de vigilance, de concentration, dépression, hypertension, cancers, accidents… Consommer des substances psychoactives, même occasionnellement, présente des risques pour la santé et la sécurité des usagers.
Alcool et cancer
Les cancers les plus souvent attribuables à l'alcool sont les cancers de l'œsophage (57,7 % des cas), mais bien d'autres localisations sont concernées : foie, bouche, gorge, cancer colorectal ou encore cancer du sein.
Toute intoxication à l'alcool a des conséquences neurologiques. Pris à faibles doses, l'alcool a un effet psychologique stimulant, excitant et même désinhibant. Consommé à plus fortes doses, son effet est sédatif et il s'ensuit des troubles d'ivresse banale, soit de vigilance, d'équilibre, de parole et de confusion.
L'impact de la polyconsommation sur la conduite
En associant différentes substances impactant leur capacité à conduire, les usagers peuvent perdre leurs moyens, risquant ainsi de ne plus être maîtres de leur véhicule. Ainsi, la polyconsommation multiplie le risque d'accident mortel par 29.
La nicotine
Il s'agit du principal ingrédient addictif du tabac. La nicotine est rapidement absorbée par les poumons et envoyée vers le cerveau. Les chercheurs prévoient que le tabac tuera 8 millions de personnes chaque année d'ici 2030. Il s'agit de la drogue la plus addictive accessible en vente libre.
Pourquoi la drogue déforme le visage ? Certaines drogues comme les dérivés des amphétamines peuvent se fixer sur les récepteurs de la peau, précisément au niveau des glandes sébacées et des kératinocytes, ceux sont des cellules qui constituent notre peau.
L'exercice.
L'activité physique est l'un des moyens les plus efficaces pour stimuler le système nerveux parasympathique. Il n'y a qu'à penser au bien-être ressenti après une bonne séance de course pour comprendre l'effet apaisant des hormones du bien-être qui sont libérées.
Des tremblements ou des frissons : signe que le système nerveux essaye de s'auto réguler tant bien que mal. Des étourdissements, des sensations de vertige ou de malaise : la peur est tellement intense que tout s'emballe, la personne a la sensation qu'elle va faire un malaise. Elle se sent étourdie voir vertigineuse.
Le tronc cérébral est le centre de commande des mouvements involontaires. C'est lui qui reçoit les informations des nerfs sensitifs, les traite et qui envoie des signaux aux différents muscles du corps par les nerfs moteurs.
La dépendance
L'alcoolo-dépendance est particulièrement toxique sur le système nerveux et provoque de nombreux troubles : encéphalopathies, résultant de carences vitaminiques. troubles cognitifs, comme les démences. crises d'épilepsie.
Il faut alors compter environ 1 heure 30 pour éliminer chaque verre d'alcool. L'alcool agit sur le fonctionnement du cerveau : il modifie la conscience et les perceptions et de ce fait, les comportements. À faibles doses, l'alcool procure une sensation de détente, d'euphorie, voire d'excitation.