Le roulage jusqu'au parking, L'arrêt des moteurs après être rentré sur l'aire de stationnement : c'est là que finit officiellement le "vol" de l'avion.
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
Lorsque l'avion est en mouvement, cette forme courbée provoque un rétrécissement de la zone de circulation de l'air au niveau de l'avant de l'aile (bord d'attaque). On appelle ce phénomène l'effet venturi. Il provoque alors une dépression qui aspire l'avion vers le haut et lui permet de tenir dans les airs.
Actuellement tous les avions "modernes" ont recours à l'hydraulique pour le circuit de freinage. Un réservoir de liquide hydraulique est soit unique pour les deux atterrisseurs soit réparti dans chaque maître-cylindre comme ci-dessus).
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
dans le cockpit. on retrouve des pédales qu'on appelle des palonniers. où on le but quand t'appuies dessus. c'est de faire tourner l'avion.
Poussée + Portance > Poids + Traînée
De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol. Les avions montent généralement jusqu'à ce qu'ils atteignent l'altitude et la vitesse.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
En effet, 80 % des vols commerciaux sont équipés de batteries Saft. Grâce aux systèmes électriques d'un avion, la perte d'un moteur n'induit pas la perte de contrôle, et un pilote qui garde son sang-froid peut réussir à faire planer l'appareil en toute sécurité jusqu'au sol.
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Bien sûr qu'un avion de ligne peut rester immobile à basse altitude. Il lui suffit de freiner. Même à très basse altitude, c'est plus facile, ainsi quand il arrête de bouger il brûle moins. AFR447 est immobile à très très basse altitude, sous le niveau de la mer.
Lorsqu'un avion atteint la fin de sa durée de vie opérationnelle ou qu'il n'est plus économiquement viable à exploiter, il est retiré du service et envoyé à la casse, un processus connu sous le nom de démantèlement.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
La rotation de la Terre n'a pas cet effet car les avions se déplacent par rapport à l'atmosphère, et l'atmosphère suit la rotation de la Terre en moyenne. En l'absence de vent, votre parcours dans l'air est identique, que vous alliez vers l'Est ou vers l'Ouest.
La raison principale, c'est pour consommer moins de carburant : Les avions de ligne volent en croisière entre 7.000 et 12.000 mètres d'altitude, car à cette hauteur, l'air est beaucoup moins dense et oppose moins de résistance à l'avion.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses de croisière maximales d'environ 900 à 950 kilomètres par heure (environ 560 à 590 miles par heure). Par exemple, le Boeing 747 à une vitesse de croisière maximale d'environ Mach 0,85 à Mach 0,89, ce qui équivaut à cette plage de vitesses.
Pour un petit avion de tourisme, la rotation et donc le décollage se font généralement vers 85–100 km/h, pour une vitesse de croisière de 160–210 km/h. Pour un avion de ligne, c'est plutôt du côté de 250–300 km/h.
Locution nominale. (Aéronautique, Militaire) Dispositif permettant, en cours de freinage à l'atterrissage, d'éviter tout blocage des roues d'un avion, et d'assurer ainsi une meilleure efficacité de ses freins.
Le réservoir du liquide de frein se trouve sous le capot, plutôt côté conducteur. Il est la plupart du temps fabriqué en plastique translucide et fermé par un bouchon dévissable. Il est placé au-dessus du maître-cylindre, une pièce métallique plutôt allongée, d'où partent quatre petits tubes de cuivre.
L'inverseur de poussée est un système d'aide au freinage. Son fonctionnement consiste à renvoyer vers l'avant le flux d'air issu du réacteur, provoquant ainsi une "inversion" de la poussée qui a pour effet de ralentir l'avion et de réduire les distances de freinage.