Le pays possède également un système d'alerte très performant face aux séismes, tsunamis et… attaques militaires, qui conduit automatiquement à l'arrêt des centrales nucléaires et des trains à grande vitesse.
Or, les bâtiments Japonais sont conçus en fonction des séismes qui peuvent agiter la population et sont très résistants. Les Japonais savent également faire preuve d'un grand sang-froid lors d'un tremblement de terre, ce qui peut être rassurant pour les étrangers.
Un programme de prévention entré dans les moeurs
Au cas où ils se retrouveraient prisonniers des décombres, indique-t-elle, certains achètent des kits de survie pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours, et les écoliers disposent d'un casque de protection dans leur casier.
Une situation géographique difficile (territoire montagneux, pluviométrie importante, zone de subduction de plaques tectoniques) couplée à une forte densité de population font du Japon un pays très exposé aux risques naturels, principalement les séismes, les tsunamis, les volcans, les typhons, les crues et les ...
La sismicité au Japon est particulièrement importante du fait des mouvements tectoniques qui se produisent à proximité de l'archipel.
De par sa situation géographique, l'archipel nippon est confronté à plusieurs risques naturels : séisme, tsunami, volcanisme, typhon. A ses aléas naturels s'ajoutent des risques liés aux infrastructures et activités humaines : que ce soient les centrales nucléaires ou les barrages.
La construction parasismique est un des meilleurs moyens de réduire les dégâts que pourrait produire un fort séisme. C'est une mesure de long terme qui nécessite une bonne évaluation de l'aléa sismique pour que les normes soient adaptées.
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
Pour protéger les populations des risques, plusieurs mesures sont mises en œuvre : On édifie des digues pour faire face aux inondations. On reboise pour lutter contre la désertification. Face aux séismes ou aux cyclones, on adopte des normes parasismiques ou paracycloniques pour la construction des bâtiments.
Au grand loto de la tectonique des plaques, l'archipel nippon a en effet tiré un très mauvais numéro : il est situé le long de la « ceinture de feu » du Pacifique, à la rencontre de pas moins de quatre plaques !
Etablir, avec les membres du logement, les mesures de protection et d'évacuation, un lieu de rassemblement et un abri ; Couper le gaz, l'électricité et l'eau ; Fixer les meubles et les appareils lourds au plancher ou au mur ; Eviter de poser des objets en hauteur.
Situé sur une zone de subduction, le Japon est secoué en moyenne par 30 séismes de magnitude supérieure à 7 par siècle. Il est également actif d'un point de vue volcanique. S'est ainsi développée une culture du « shikata ga nai » (signifiant « c'est ainsi ») : la catastrophe naturelle est acceptée, voire accueillie.
Les sociétés humaines sont toutes exposées à des risques dans des proportions plus ou moins importantes. Certaines sont particulièrement vulnérables, car elles disposent de moyens limités pour affronter les catastrophes qui aggravent leurs difficultés de développement.
Les risques majeurs se posent pour les grandes percées alpines, les stations de sports d'hiver et les grandes agglomérations, comme Grenoble, où existent en plus des risques industriels et technologiques. Enfin, le cas de la région Île de France.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
la construction de murs contre les inondations et de digues. le déplacement de certaines infrastructures pour s'éloigner des zones inondables. le choix de cultures plus résistantes à la sécheresse. la création de corridors terrestres permettant la migration des espèces.
Les actions face aux inondations
Dans le golfe du Bengale, les populations sont fortement exposées aux crues. Elles construisent des digues de boue pour se protéger face aux inondations.
Pour réduire les risques il est possible d'intervenir à la source afin de diminuer la probabilité de survenance et les effets des accidents ou bien de diminuer l'exposition et la vulnérabilité des enjeux situés à proximité (populations, environnement, infrastructures).
Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l'est moins ; Planifier la prévention en y intégrant technique, organisation et conditions de travail ; Prendre des mesures de protection collective ; Donner les instructions appropriées aux travailleurs.
Géorisques - Ministère de la transition écologique.
Les trois sphères ainsi définies vont être celles de l'amour, du droit, et de la solidarité.
– Information préventive de la population. Chaque citoyen doit se renseigner pour connaître sa vulnérabilité face au risque volcanique. – Prévoir un véhicule personnel ou le transport en commun, pour une éventuelle évacuation. – Gagner un endroit abrité et solide pour écouter les consignes de sécurité à la radio.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Les séismes peuvent avoir des conséquences sur la vie humaine, l'économie et l'environnement. Le séisme est le risque naturel majeur le plus meurtrier, tant par ses effets directs (chutes d'objets, effondrements de bâtiments) que par les phénomènes induits (mouvements de terrain, tsunamis, etc.).