Le plaisir est ressenti de façon viscérale alors que le bonheur est plutôt spirituel (ethereal). Le plaisir prend, le bonheur donne. Le plaisir peut être atteint avec des substances, mais ce n'est pas le cas du bonheur. Le plaisir se vit seul alors que le bonheur se vit en groupe social.
Pour que le bonheur consiste dans le plaisir, il faut donc que le plaisir puisse durer, ou qu'il existe un type de plaisir durable ; et que tous les plaisirs ne s'opposent pas au bonheur, état stable et permanent. C'est ce plaisir qu'il va nous falloir chercher.
Elle est indispensable à la survie de ces derniers car elle joue un rôle dans la motivation et la prise de risque les poussant à satisfaire leurs besoins vitaux de base et à quitter une situation qui leur est défavorable.
Les plaisirs sont de courte durée, le bonheur perdure. Mais ce qui les distingue avant tout est la sécrétion des neurotransmetteurs qu'ils libèrent l'un et l'autre dans notre cerveau : les plaisirs fabriquent de la dopamine et le bonheur, de la sérotonine.
Pour atteindre le bonheur, il faut donc parvenir à équilibrer tout ce qui a de l'importance pour nous. Il peut par exemple s'agir du bien-être personnel, mais aussi du bien-être en couple ou encore au travail.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même.
Chacun doit s'imaginer une conception de la vie heureuse tout en respectant les lois. Il faut donc tout de même acquérir une certaine vertu afin de désirer le bien et diffuser le bonheur. Ainsi l'on peut donc dire que le désir n'est pas toujours un obstacle au bonheur.
allégresse, béatitude, bien-être, contentement, euphorie, idéal, prospérité. – Littéraire : délectation, félicité.
Selon le psychanalyste Gérard Bonne, il existe : Le plaisir génital, né de la rencontre des corps. Le plaisir pulsionnel (vue, toucher) Le plaisir des idéaux (valeurs du couple, souvenirs, projets).
État de contentement que crée chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir : Cette musique lui procure un immense plaisir. Éprouver du plaisir à lire. 2. Ce qui plaît, divertit, procure à quelqu'un ce sentiment agréable de contentement : Le plaisir de la table.
Le plaisir s'obtient sans effort
Étant donné que le plaisir s'achète et se prend, il ne requiert aucun autre effort que celui de le payer et de le prendre. Oui, vous aurez peut-être fait l'effort d'économiser de l'argent pour vous procurer une source de plaisir.
C'est alors en effet que nous éprouvons le besoin du plaisir quand, par suite de son absence, nous éprouvons de la douleur ; mais quand nous ne souffrons pas, nous n'éprouvons plus le besoin du plaisir. Et c'est pourquoi nous disons que le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse.
Pour conclure, l'affirmation de la puissance du désir ne conduit pas nécessairement à la souffrance et au malheur. Dans la joie, le désir est créateur et sa force participe à un processus d'affirmation et de construction de soi-même. Il permet à l'homme de se dépasser et l'aide à accéder au bonheur.
Pour Epicure, "le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse". D'une part, il en constitue le point de départ car c'est à partir de lui que l'on détermine "ce qu'il faut choisir et ce qu'il faut éviter".
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonum).
bien-être, bonheur, contentement, gaieté, joie, satisfaction.
aboyeur, aiguilleur, ailleurs, asséieurs, avitailleur, bailleur, bâilleur, batailleur, baudroyeur, bégayeur, bombardier-torpilleur, boustifailleur, brailleur, brétailleur, broyeur, chamailleur, charrieurs, chasseur-cueilleur, co-bailleur, cobayeur, convoyeur, corroyeur, crieur, cueilleur, d'ailleurs, débroussailleur, ...
Une vie heureuse, conception dite hédonique : le fait d'avoir des émotions agréables fréquentes, peu d'émotions désagréables et une certaine satisfaction de vie.
*En se délivrant de nos désirs, nous prévenons la souffrance mais aussi la joie, le plaisir car on ne peut les éprouver que lorsque nous avons désiré. En étant insensible à tout, on l'est entre autre au bonheur.
En ce sens, on peut dire que le bonheur exige bien la satisfaction de tous nos désirs, mais non de n'importe quel désir, et pas de n'importe quelle manière ! Ou, en termes positifs : le bonheur exige une satisfaction rationnelle de nos désirs.
Le plus grand bonheur de la vie est la conviction que nous sommes aimés; aimés pour nous-mêmes, ou plutôt aimés malgré nous.
Selon Martin Seligman, il existerait trois chemins pour accéder au bonheur : la vie plaisante, c'est-à-dire, la poursuite des expériences et des émotions positives ; la vie engagée, relative à la poursuite de l'engagement ; et la vie signifiante, propre à la poursuite du sens.