Tous les faux bourdons qui arriveront à s'accoupler avec la reine perdront la vie. Après ce vol nuptial, les abeilles tenteront de se débarrasser des faux bourdons, soit en les piquant, soit en les chassant de la ruche. Ils mourront par la suite, car ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins.
Le faux bourdon meurt quelques minutes après son accouplement avec une reine. Son système reproducteur reste effectivement accroché à la reine à l'image d'une ouvrière qui perd son dard après avoir piqué.
Quand sonne l'heure de la fécondation, tous les faux bourdons d'une ruche et des ruches avoisinantes s'envolent vers des « zones de reproduction » où ils retrouvent les reines vierges. Ils vont s'accoupler en plein vol, une technique qu'ils n'auront l'occasion d'accomplir qu'une seule fois !
Les bourdons sont beaucoup moins agressifs que les abeilles. Ils n'attaquent généralement pas les humains, sauf si leur vie est menacée. Contrairement aux abeilles, le dard du bourdon ne s'arrache pas lorsqu'il pique. Il ne mourra pas suite à une piqure contrairement à l'abeille domestique.
Les autres rentreront à la ruche ; ils pourront rentrer dans n'importe quelle ruche et y seront acceptés, contrairement aux ouvrières qui sont inféodées à leur ruche. Les faux bourdons ne butinent pas, ne nettoient pas, ne peuvent pas défendre la ruche contre les envahisseurs. En revanche, ils mangent du miel.
La reine est fécondée en plein vol par les faux-bourdons.
Au bout de quelques jours, elle s'envole pour être fécondée : c'est le vol nuptial. La reine connaît plusieurs accouplements avec différents mâles, les faux-bourdons. Lorsque sa spermathèque est pleine, elle retourne dans la ruche, dont elle ne sortira plus.
Un faux bourdon (parfois appelé aussi abeillaud ou bourdon), est le mâle de l'abeille. Il est important de le distinguer du bourdon en tant que tel, un animal différent, du genre Bombus. Le faux bourdon est le produit de l'éclosion d'un œuf non fécondé.
La guêpe est plus agressive que l'abeille et peut piquer plusieurs fois à intervalles rapprochées. Son dard est rétractable et lisse, il ne s'accroche pas quand il pénètre dans la peau, il n'y a donc aucun risque de mort après la piqûre. Seule la femelle pique car son dard fait partie de son appareil de reproduction.
L'abeille africaine, Apis mellifera scutellata, est également appelée « abeille tueuse ». Originaire de Namibie, dans le sud-ouest de l'Afrique, elle doit sa mauvaise réputation à son extrême agressivité. L'abeille africaine, ou abeille tueuse, est une espèce originaire de Namibie.
En exerçant une forte pression sur l'abdomen du frelon, la mêlée d'abeilles le contracte et les spiracles ne sont plus à l'air libre. L'agresseur ne peut plus respirer et finit par mourir étouffé.
Première chose à savoir : toutes les abeilles ne piquent pas. Seules les abeilles femelles peuvent piquer. Les abeilles mâles, ou faux bourdons, n'ont pas de dard et ne peuvent donc pas piquer.
des mâles (ou faux bourdons) dont le seul rôle connu est la fécondation des futures reines. Ils meurent après l'accouplement. Le mâle (ou faux bourdon) vient au monde par un mode de reproduction appelé parthénogenèse gamophasique. Il naît donc d'un œuf pondu, non fécondé par la spermathèque de la reine pondeuse.
Comme toutes les jeunes abeilles, les larves de faux bourdons sont d'abord nourries de gelée royale trois jours après l'éclosion de leurs œufs. Ensuite, les nourrices vont changer cette nourriture en mélange de miel et de pollen.
Ainsi, les bourdons ne produisent pas de miel à proprement parler. Mais ils stockent dans des alvéoles un nectar sous une forme concentrée. Les besoins énergétiques de la colonie sont alors couverts à brève échéance et ce liquide sucré ne se conserve pas longtemps. Vous ne trouverez donc pas de miel de bourdons.
Les abeilles fabriquent du miel pour nourrir leurs larves tout au long de l'année. Elles transforment le nectar des fleurs en se le passant de bouche en bouche. Puis quand le miel est prêt, elles le rangent dans les alvéoles. Les abeilles fabriquent aussi du miel pour avoir des réserves de nourriture pour l'hiver.
Sensuelle chez les humains, elle est « sensée » et même éminemment sensée chez les abeilles, qui font vibrer leur abdomen pour s'échanger des informations.
Le frelon asiatique, un prédateur des plus virulents, surtout au sud de la France. Le guêpier d'Europe sévit dans les régions méditerranéennes et s'attaque aux reines à l'extérieur du rucher. À l'intérieur, il stoppe carrément l'activité des abeilles.
L'Abeille : L'abeille ayant davantage d'ennemis naturels parmi les mammifères y compris l'Homme, que la guêpe et le frelon, son venin est nettement plus efficace.
Le frelon asiatique possède un dard de plus d'1 cm et injecte une dose importante de venin et sa piqûre est plus profonde et plus douloureuse que la guêpe. « C'est une douleur horrible surtout au niveau de la tête.
Est-ce que le frelon asiatique est dangereux pour l'Homme et l'environnement ? Le frelon est indirectement très dangereux pour l'Homme, car il se nourrit des abeilles et ces dernières sont essentielles à la biodiversité et donc à notre survie. Le frelon peut aussi être dangereux, voire mortel directement pour l'Homme.
Se faire piquer par un frelon asiatique peut causer la mort dans certains cas, à savoir : Les piqûres multiples (40 piqûres) Une piqûre des muqueuses provoquant un choc respiratoire ou un choc anaphylactique.
Il s'agit de la fourmi Paraponera, l'insecte dont la piqûre cause le plus de douleur, selon l'échelle Schimdt, établie par l'entomologiste américain Justin Orvel Schmidt, qui va de 1 (plutôt indolore) à 4 (OUCH!).
La reine (abeille femelle fertile)
Seul individu fertile de la ruche, la reine est capable de pondre jusqu'à 2000 œufs par jour. Par la diffusion de signaux olfactifs (phéromones), elle "dirige" le travail des ouvrières. Une reine de bonne qualité est donc essentielle pour avoir des colonies fortes et productives.
D'abord blanche, elle va progressivement foncer. La durée du stade pupal varie entre 7 jours (reines), 12 (ouvrières) et 14 jours (mâles). Après une dernière mue, l'adulte est prêt à sortir. Avec ses mandibules, l'imago déchire l'opercule de cire et rejoint la colonie.
Les mâles sont assez facile à différencier des femelles. Ils présentent deux taches jaunes à l'extrémité ventrale de l'abdomen (sternites), ces deux derniers segments ont une échancrure, ils n'ont pas d'aiguillon, organe dérivé de l'ovipositeur servant à la ponte.