Après étourdissement, l'animal est levé par la patte arrière, afin d'accélérer la perte de sang suite à la saignée (ou section des vaisseaux sanguins) de l'animal qui doit être effectuée le plus rapidement possible après l'étourdissement, afin que l'animal se vide de son sang sans douleur.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
La mise à mort
La mort est provoquée par la saignée (section des vaisseaux sanguins). L'inconscience perdure jusqu'à la mort de l'animal, c'est-à-dire la fin de la saignée. En cas de dérogation à l'étourdissement, les animaux restent immobilisés avant d'être saignés.
Une truie reçoit des chocs électriques avec une vieille pince inadaptée. Elle ne s'écroulera qu'après 5 tentatives. Les jeunes cochons sont aussi étourdis avec une pince qui devrait provoquer un étourdissement instantané ce qui n'est clairement pas le cas.
Comment les vaches sont-elles tuées pour la boucherie ? Abattage : « Elles meurent pièce par pièce » Après avoir été déchargées, les vaches sont forcées à traverser une goulotte et reçoivent une balle dans la tête avec un pistolet à verrou captif destiné à les étourdir.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
Le but de cette technique est de drainer plus efficacement le sang du corps de l'animal, afin que la viande soit plus hygiénique, car selon les croyances de l'époque de l'institutionnalisation de la pratique, le sang est un vecteur de maladie.
Il est généralement effectué par des sociétés spécialisées, soit directement à la main, soit par une machine. Dans ce cas, les oiseaux sont engloutis à grande vitesse par une « moissonneuse à poulets », convoyés par tapis roulant, puis propulsés vivement dans les caisses.
L'abattage du porc se réalise par une saignée dans la poitrine. La section des artères et veines du tronc brachiocéphalique interrompt l'apport de nutriments et d'oxygène au cerveau, provoquant ainsi la mort de l'animal.
« Des veaux tués à coups de marteau ou jetés par-dessus des barrières »
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
Le sacrificateur tranche la gorge des animaux par de nombreux cisaillements douloureux. Il ne fait aucun test de contrôle de l'état de conscience des animaux avant de relâcher l'immobilisation. Les animaux sont sortis du tonneau encore conscients, certains tentent de se relever après avoir eu la gorge tranchée.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Abattage rituel (voir abattage rituel des animaux en France) Abattage par eau bouillante (comme l'est pratiqué sur les chiens et chats au festival de la viande de chien de Yulin, en Chine) Abattage par jugulation (voir Shehita, casheroute, dhakât) Abattage par noyade.
La viande halal comprend également certaines volailles comme le poulet et le canard. Le rituel halal de l'abattage ne doit être effectué que sur ces types d'animaux et aucun autre pour que le certificat halal soit valable.
Le processus peut être réalisé manuellement ou à l'aide d'un coupe-cou automatique (lame rotative). Les méthodes de saignée les plus respectueuses de l'animal sont celles qui provoquent une hémorragie rapide, afin que la mise à mort soit obtenue le plus rapidement possible.
Il peut aussi bien s'agir d'un mâle que d'une femelle, il ne sait pas encore s'il est voué à être une poule ou un coq. Il est abattu avant 3 mois).
« Au cours de ces quelques heures, le corps ne peut saigner vraiment ; il peut suinter, à la rigueur », explique-t-elle. Par ailleurs, le sang coagule et s'épaissit après la mort.
Le sang et ses dérivés sont interdits dans l'Islam, dans le Coran, sourate 5, al-Ma'dah, verset 3.
sans étourdissement : animal immobilisé puis égorgé conscient ; avec étourdissement : l'abattage se déroule de la même façon qu'en standard ; avec étourdissement après égorgement (« post-stunning ») : les animaux sont étourdis immédiatement après la section des jugulaires.
Une réalité méconnue alors que le prédateur est de plus en plus présent et visible autour des fermes. La prédation des renards n'épargne pas les élevages de moutons. A Saint-Vincent-Bragny, le Gaec Michel déplore la perte d'une dizaine d'agneaux par an tués par des renards.
Ainsi, selon la loi, un animal peut-être étourdi à l'aide d'un pistolet à tige perforante (un procédé légal qui est par ailleurs mis en cause dans la vidéo publiée par L214), par percussion à l'aide d'un pistolet d'abattage (un procédé également critiqué par L214 mais pourtant légal), par électrocution ou ...