En fait, les Inuits amoureux s'embrassent sur la bouche. Mais le nez sert dans une autre sorte de bisou: le kunik. Pour faire un kunik, on place nos narines près des joues ou du nez de l'autre personne et on inspire pour sentir son odeur. Les parents embrassent souvent leur bébé ou leurs enfants de cette façon.
Le baiser « esquimau »
Comme les Inuits sont généralement couverts de la tête au pied du fait des températures extérieures extrêmes sur la banquise, il ne reste souvent que le bout de leur nez qui dépasse. Ainsi, pour s'embrasser, au lieu du traditionnel bisou sur la bouche, ils frottent leur nez l'un contre l'autre.
La France est connue comme le pays du baiser : ici, on se fait la bise et on s'embrasse avec la langue, pratique généralement désignée comme française à l'étranger. Les américains appellent d'ailleurs ce baiser le "French Kiss".
Lorsqu'il défèquent sur de la glace recouverte de neige, ils élèvent rapidement un petit monticule de neige derrière lequel ils se cachent. Pour uriner, les hommes ne s'éloignent pas autant que les femmes, mais ils tournent le dos aux autres.
Le nom d'Eskimo, qui signifie «mangeur de viande crue», leur avait été donné par les Amérindiens que des siècles d'antagonisme ont opposés aux Inuit. Le terme a donc été jugé péjoratif. Le mot «Inuit», lui, dans la langue autochtone, l'inuktitut, veut dire tout simplement «êtres humains».
En Alaska, les femmes esquimaux ont une pratique ancestrale pour stimuler le sexe masculin. Elles glissent le sexe de leurs hommes dans un fourreau en peau de phoque gelé.
Au Pôle Nord, les amoureux s'enduisent le corps de graisse de phoque avant d'unir leurs corps. Ensuite, ils se lavent avec leur urine.
Protéger les organes vitaux
Dans le même temps, le corps accélère son rythme cardiaque. Le volume sanguin dédié aux organes essentiels (cœur, cerveaux, reins etc.) s'accroit aux dépens des autres parties du corps. Les reins vont alors devoir filtrer une plus grande quantité de sang et ils produiront ainsi plus d'urine.
On urine moins quand il fait chaud
Mais quand il fait chaud, on transpire et donc on évacue de l'eau autrement... ce qui diminue le volume urinaire. Donc plus on transpire, moins on urine, si on ne boit pas davantage.
Les termes peuples autochtones et premiers peuples sont interchangeables. Les Inuits ne sont pas des Premières Nations, parce que ces dernières sont des Indiens. Les Inuits ne sont pas des Indiens. Les Inuits et les Innus sont deux groupes différents.
Le baiser russe : en Russie lorsque deux personnes se rencontrent, elle s'embrassent sur les lèvres, la bouche fermée. Le smack n'est pas utilisé dans la sphère intime. Il s'agit d'un baiser cordial, symbole de paix.
La France, le pays où on embrasse le mieux
le fameux et célébrissime french kiss continue de placer la France sur la toute première marche du podium mondial.
Cette marque d'affection est souvent considérée comme une coutume occidentale et les baisers en public sont à éviter. C'est aussi le cas en Asie, sauf dans la ville de Aba, en Chine. Là-bas, les habitants s'embrassent sans restriction. Il existe même une cérémonie du bisou, un rituel qui existe depuis des millénaires.
Contrairement à ce que l'on peut prétendre, l'habitude d'embrasser pour dire «bonjour» n'est pas typiquement française. «On se fait aussi la bise dans les pays d'Europe du Sud, jusqu'en Russie, et dans certains pays arabes et d'Afrique subsaharienne», écrit Mathieu Avanzi dans pertinent ouvrage.
Amérique du Sud et Moyen-Orient. Dans les pays d'Amérique latine et du Moyen-Orient on s'embrasse pour se présenter. Il ne s'agit pas d'une véritable double bise mais plutôt d'un « joue contre joue ». Dans les pays arabes cette coutume est de rigueur entre les hommes mais interdite entre un homme et une femme.
Lorsque les premiers explorateurs de l'Arctique découvrent ce geste, ils le surnomment baiser d'esquimau. Dans son usage occidental, ce baiser consiste à frotter l'un contre l'autre le nez de deux personnes.
En temps normal, les intervalles entre deux mictions sont supérieurs à deux heures. Si on urine fréquemment avec des intervalles plus courts, cela est considéré comme pathologique", explique le docteur Ala Chebbi, urologue qui précise que "la pollakiurie est fréquente chez les femmes".
Bien qu'aucun nombre fixe ne soit considéré comme "normal", une personne en bonne santé urine en moyenne six ou sept fois toutes les 24 heures. Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne.
Une urine transparente ou « claire comme de l'eau », contrairement à ce que l'on pourrait croire, sont aussi à surveiller. Elle peut être le signe d'une sur-sollicitation des reins. Par exemple, la consommation de diurétiques (café, thé, tisanes) en quantité trop importante.
Voici comment faire pipi avec un body
Pour cela, il suffit de poser une jambe sur les toilettes ou de s'appuyer contre le mur. Cela évite de devoir se contorsionner pour le remettre.
Ce besoin irrépressible est dû à notre condition de mammifères, car l'Homme est un mammifère et son corps se doit de. Or, quand on se baigne généralement, la température de l'eau est plus froide que ses 37 degrés. Donc, pour maintenir notre corps à bonne température, l'organisme travaille.
Le saviez-vous? C'est ainsi que les igloos restent chauds : les murs de neige dure de l'igloo sont de bons isolants qui conservent la chaleur du corps et la chaleur générée par les lampes à l'huile (appelées qulliq). C'est pourquoi les igloos traditionnels sont faits de neige plutôt que de glace.
Le terme français le plus commun, esquimau (féminin esquimau, parfois esquimaude, pluriel esquimaux) est attesté pour la première fois en 1691 dans la Nouvelle relation de la Gaspésie de Chrétien Le Clercq (sous l'orthographe eskimau, pluriel eskimaux), où il désigne les « habitants des régions arctiques de l'Amérique ...
À bien des égards, la mythologie inuite étend un peu les limites de la mythologie. Quoique le système religieux dominant aujourd'hui parmi les Inuits soit le christianisme, beaucoup d'entre eux tiennent encore à quelques croyances traditionnelles.