À l'époque, et ce depuis des siècles, les seuls moyens de conserver les aliments étaient le séchage, le salage, le fumage, le saumurage, la fermentation, le «confit» dans la graisse ou le sucre, le caillage…
À la fin du XVIII e siècle, les procédés de conservation des aliments (par le froid, par fumage, par un agent conservateur tels que le sel, l'alcool, le vinaigre, la graisse, le sucre…)
Avant que les avancées technologiques permettent la mise en conserve et la réfrigération domestique, les principales techniques de conservation des aliments utilisées étaient le séchage, le fumage, les agents de conservation et le froid.
En fonction des régions, la première méthode de conservation des aliments fut le séchage ou la congélation. Par la suite, la salaison et le saumurage, le fumage, le bain dans la graisse, l'huile ou le miel et le sucre, la surgélation, l'ionisation, etc. , constituent d'autres procédés.
L'hygiène alimentaire n'était pas rigoureuse à l'époque. « Au Moyen Âge, il y avait déjà des moyens de conserver les aliments, que ce soit en les séchant, en les salant ou en les conservant dans de la graisse, du sucre ou du miel. » Plus étonnant encore, on disposait déjà de glacières.
Le fumage. Cette méthode consistait à suspendre les morceaux de viande et de poisson au-dessus d'une source de chaleur douce (feux de bois principalement) afin que l'eau s'évapore. En plus de rallonger la durée de conservation, cette méthode donne un goût tout particulier de fumé aux produits.
En Europe la viande la plus courante à l'époque médiévale était le porc et ses dérivés de charcuterie (jambons, saucisses, saucissons, pâtés, lard, etc.). Les gros gibiers (sanglier, cerf et chevreuil) étaient réservés aux nobles, le petit peuple se contentait de lièvres et lapins de garenne.
En 1810, le confiseur Nicolas Appert dévoile sa méthode de stérilisation et de conservation des aliments qui consiste à les placer dans des bocaux étanches chauffés à haute température. La même année, à Londres, un commerçant dénommé Peter Durand améliore ce procédé. La boîte de conserve était née !
En aout 1810, un commerçant anglais du nom de Peter Durand se voit accorder par le roi George III du Royaume-Uni le brevet 3372 pour une méthode de conservation d'aliments périssables dans des « vaisseaux » de verre, de céramique, de fer-blanc ou d'autres métaux appropriés.
La conservation des aliments sert à préserver leur comestibilité ainsi que leurs qualités organoleptiques (goût, odeur, saveur) et nutritives.
Parmi les méthodes de conservation hors réfrigérateur des aliments, il y a l'appertisation et la déshydratation. Leur but est d'éviter l'intrusion, la formation et le développement de micro-organismes, en agissant sur un des facteurs qui leur est favorable : température, eau et/ou air.
Comment faisait-on avant l'invention du frigo ? Avant cette ingénieuse découverte, il existait de nombreuses techniques pour conserver les aliments. Il était possible, tout simplement, de les entreposer dans les endroits les plus frais de la maison, comme le sous-sol ou des pièces orientées nord.
Les sources naturelles telles que les ruisseaux et les grottes formaient un excellent agent de refroidissement. Plus la caverne était profonde dans la terre, plus l'air était frais. Les cours d'eau fournissaient un moyen de refroidir les choses plus rapidement à travers l'eau courante autour de l'objet.
Conservation par la chaleur : les conserves
De la chaleur (>100°C) pour détruire les germes, en ayant, au préalable, placé l'aliment dans un récipient hermétique pour éviter les recontaminations : c'est la technique de l'appertisation, autrement dit, celle des conserves (bocaux en verre, boîtes en métal...).
Le premier homme a avoir révolutionné la conservation des aliments est Nicolas Appert dans les années 1790. On peut dire qu'il est l'inventeur de la boîte de conserve car il a trouvé la technique de conservation des aliments en les chauffant dans un récipient en verre et hermétique, c'est l' appertisation.
Concrètement, la technique consiste à laisser macérer des aliments dans une saumure et en absence d'air. Alors, se produit une fermentation : des bactéries vont secréter du gaz et de l'acide lactique (d'où lacto fermentation), ainsi que divers enzymes.
l'origine, l'invention de Nicolas Appert
De ce point de vue, la découverte d'un nouveau procédé de conservation des aliments en 1795 a assurément constitué une révolution. Pensez : cette méthode, l'appertisation, permet aujourd'hui la production annuelle de quelque 80 milliards de boîtes !
C'est le Français Claverie Leon Bernard coutelier à Paris Galerie Vivienne 58 qui dépose le premier brevet connu. Le 17 juin 1850 , il fait une demande de brevet de 15 ans au ministère de l'Agriculture et du commerce (N° 10042).
Le format A10 est couramment utilisé pour l'impression de petits timbres et coupons. Bien qu'il offre un espace limité, vous pouvez toujours y imprimer votre logo ou des étiquettes.
La boîte 4/4 est la boîte de référence : sa contenance est de 850 ml, soit une portion pour 4 personnes.
1810. En 1810, Pierre Durand reprend les travaux de Nicolas Appert et dépose le brevet de la boîte de conserve en métal.
Les châteaux médiévaux disposent également de plusieurs latrines, les unes destinées au seigneur, les autres, aux soldats et aux domestiques. Elles étaient voûtées, en pierre, avec ventilation et conduit pour l'évacuation. Elles se trouvent très souvent dans une tour ou un bâtiment séparé réservés à cet effet.
Pain blanc de froment, pain de seigle, pain de seigle au raisins, jambon cuit, fromage de tête, fromage, œuf à la coque, miel, moutarde, saindoux et grattons, et beurre. Une consommation comprise: café, thé, lait battu, jus de pomme, bière de table, vin rouge ou trappiste.
Le vin, la boisson préférée de l'époque
Clovis buvait aussi beaucoup de vin, ce qui était très commun dans le Moyen Âge. Le vin était probablement fait à la manière des Romains parce qu'on se situe vraiment à la charnière entre la Gaule romaine et le royaume des Francs, entre le Ve et VIe siècle.