Approuvez le travail fourni, il aura envie de recommencer. C'est l'âge où vous faire plaisir est aussi une motivation puissante. Entretenez sa curiosité, il est dans l'effort spontané, toujours disposé à apprendre, comprendre. Apprenez-lui à aller jusqu'au bout d'une activité.
Les parents doivent faire confiance à leurs ados, mais aussi se faire confiance, pour les laisser vivre leurs expériences en restant persuadés qu'ils pourront faire appel en cas de besoin. Rester attentif, impliqué, en arrière plan, un peu comme le souffleur au théâtre…
Cette inquiétude peut devenir paralysante quand l'estime de soi du jeune est trop basse, et provoquer des comportements d'évitement. L'adolescent se met lui-même en échec en ne travaillant pas. Ainsi, il pourra dire que son échec est la faute de son manque de travail, pas de son manque de talent.
Pourquoi mon fils ne veut-il pas travailler ou étudier ? Les jeunes sans motivation ont au moins deux facteurs qui affectent leur façon de voir la vie. Le premier est la surprotection des parents et le second, la société.
La « crise » adolescente peut se manifester par des comportements extrêmes : fugues, mise en danger (alcool, drogue, anorexie…), violence tournée vers les autres (délinquance, jeux dangereux) ou retournée contre soi-même (tentative de suicide).
Comment Inciter Son Enfant à Travailler ? Dans un premier temps, verbalisez. Portez de l'intérêt à ses occupations, à ce qu'il réalise à l'école, ce qu'il aime et ce qu'il aimerait. Montrez-lui que ce qu'il fait vous intéresse lorsqu'il n'est pas à la maison, et instaurez un dialogue avec votre enfant.
«Il existe plusieurs punitions efficaces pour se faire entendre de l'adolescent : il peut réparer la faute qu'il a commise, effectuer des tâches dans la maison ou être encore privé d'activités inutiles à son développement comme tout ce qui concerne les écrans.
Si la rémunération demeure le levier le plus efficace pour attirer les jeunes, l'ambiance et les relations humaines arrivent juste derrière. À noter également : ils placent la confiance que leur accorde l'entreprise avant la réputation de celle-ci.
Quoiqu'il en soit, l'important est de ne juger ni l'attitude de l'enfant ni son émotion. Une attitude efficace est plutôt une attitude douce, empathique et rassurante sans chercher à forcer un enfant ou à prendre en charge son problème avec des “Mais pourquoi tu te sens comme ça ?” ou des “Parle-moi” insistants.
Dites Je t'aime.
Souriez, établissez un contact visuel et dites-lui Je t'aime. Le moment choisi pour la déclaration n'a pas besoin d'être parfait et cela ne doit pas être suivi d'un geste grandiose. Cela doit simplement être sincère.
Mettre des mots sur les émotions aide l'enfant à les traverser. Dire : “Tu es en colère, tu n'es pas content parce que…” contribue souvent à l'apaiser et à accepter que son désir ne soit pas exaucé.
Il a le droit de travailler, et donc aussi de disposer de ses revenus, en ce qui a trait à ses besoins dits «usuels»: loisirs, repas, vêtements, cellulaire, etc. Même avant 14 ans, un adolescent peut contracter un prêt étudiant.
Autonomie d'un mineur à partir de 15 ans
Les mineurs d'au moins 15 ans, peuvent, sous l'accord des parents ou du tuteur, intégrer un dispositif d'initiation aux métiers en alternance (DIMA), conclure un contrat d'apprentissage, obtenir un permis de chasser, voyager en avion sur des vols internationaux.
Soyez positive
Pour aider quelqu'un à retrouver sa motivation, il est essentiel de l'encourager afin de renforcer sa confiance en lui. Soyez attentive, et faites-lui remarquer ses petits succès. Sans tomber dans la flatterie, n'hésitez pas à souligner ses qualités.
Vous pouvez demander de l'aide > à votre assistante sociale dont vous trouverez les coordonées sur le site du Conseil Général (www.cg43.fr pour le département de la Haute-Loire), rubrique « Santé-Social » puis « service social départemental » > ou directement auprès de la CASED (cellule d'aide et de soutien pour l' ...
Entre 11 et 19 ans, il n'est pas rare de voire apparaitre des changements chez son enfant. Il entre dans une période tant compliqué pour lui que pour le parent : la crise d'adolescence. C'est un passage inévitable, durant lequel le rôle parental est mis à rude épreuve.