L'ingestion de produits végétaux alimentaires cultivés sur des terres polluées. L'ingestion d'eau, conséquence d'un transfert d'un produit présent dans le sol vers la nappe phréatique. L'inhalation de poussières émises par les sols pollués.
Les causes principales de la pollution des eaux sont les nombreux rejets de produits chimiques générés par les usines, des rejets comme l'azote ou les phosphates. Des rejets de produits ménagers et d'entretien comme les aérosols, les engrais et les déchets de toutes sortes.
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Les rejets de l'industrie, des ménages, des transports, ou de l'agriculture contribuent à la contamination diffuse de métaux dans les sols. Toxiques à des doses variables pour l'homme, la faune et la flore, ils peuvent contaminer les écosystèmes via les chaînes alimentaires (élevage) et la ressource en eau.
La pollution des sols provoque une réaction en chaîne. Elle altère la biodiversité des sols, réduit la matière organique du sol et la capacité des sols à agir comme un filtre. Elle contamine l'eau stockée dans les sols et les eaux souterraines, et provoque un déséquilibre des éléments nutritifs présents dans les sols.
L'érosion par l'eau qui provoque la perte de la partie supérieure du sol par ruissellement superficiel. La dégradation chimique : Perte des éléments nutritifs, pollution, acidification, salinisation ... La dégradation physique : Compaction, croute de batance, engorgement , aridification.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
On dit qu'un sol est pollué lorsqu'il contient une concentration anormale de composés chimiques potentiellement dangereux pour la santé, des plantes ou des animaux.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à effet de serre, mais pas le seul. Pour mesurer l'effet des différents polluants (méthane, dioxyde d'azote…), les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en « équivalent CO2 ».
Il existe deux sortes de pollutions : les pollutions organiques d'origine naturelle (gaz, substances minérales ou organiques, bactéries, virus, plancton, particules d'argile, déchets végétaux) et les pollutions chimiques ayant comme origine les activités humaines.
Par ses choix de politiques industrielles et commerciales, l'homme influe directement sur le peuplement des milieux. Par exemple lorsque l'homme pratique la déforestation pour l'agriculture, il modifie l'environnement et supprime ainsi des milieux de vie de nombreux animaux.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Elles peuvent provenir de catastrophes naturelles ou résulter de l'activité humaine. Les pollutions peuvent être aussi bien les marées noires, les pollutions chimiques, les accidents nucléaires, l'introduction d'espèces invasives, les déchets deversés dans la nature...
Les origines sont d'abord agricoles par la fertilisation, les apports de lisiers et de boues, et les pesticides, puis urbaines et industrielles par voie atmosphérique et industrielles directes pour les « sites pollués ». Une pollution due à la fertilisation des sols provient de l'apport des phosphates.
La pollution de l'air peut notamment causer des problèmes cardiovasculaires, des allergies, des crises d'asthme, des conjonctivites, des maladies des bronches, des cancers du poumon ou de la peau, des problèmes de vision, des maladies du sang, des problèmes dans le développement mental de l'enfant, entre autres.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
L'agriculture peut aussi agresser le sol en provoquant son tassement par le passage d'engins de plus en plus lourds. Le sol compacté ne laisse passer ni l'eau, ni l'air et la faune des recycleurs du sol (par exemple, les vers de terre) diminue.
Les activités humaines fragilisent le sol : appauvrissement de la biodiversité, destruction de la matière organique, contamination, imperméabilisation, érosion, tassement, salinisation etc.