Prenez un livre, un journal, un magazine, un rapport, un manuel, un blog ou lancez Google news. Ne vous dites pas « je n'ai pas envie de lire », prenez simplement de quoi lire. Puis, ouvrez le, et commencez à lire, rien que 30 secondes. Si cela ne vous rebute pas encore, continuez à lire un peu plus.
Adoptez la lecture par blocs
Lire mot à mot ralentit considérablement la vitesse de lecture et nuit à la concentration. Vos yeux sont capables d'attraper plusieurs mots en même temps. C'est la lecture par « blocs » . Si vous lisez par blocs de mots, vous doublez instantanément votre vitesse de lecture !
"Environ 15 % des difficultés de lecture sont dues à des troubles neurovisuels. Dans ce cas, c'est l'organisation du regard qui n'est pas assez efficace", informe Hervé Glasel. D'autres troubles ont pour origine des problèmes liés à la phonologie (du mal à travailler les sons de la langue).
Vous lisez trop lentement. C'est une des raisons pour laquelle vous ne retenez pas ce que vous lisez. Pourquoi ? Lorsque vous lisez lentement, avec application ou pas, votre cerveau est en mode spectateur.
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
Fiez-vous à d'autres médias que les livres.
Si vous n'aimez pas lire des livres, essayez des publications plus petites comme des magazines ou des journaux. Une lecture plus courte pourrait vous encourager à lire plus. Si vous voyagez beaucoup, essayez d'utiliser une liseuse électronique.
Stratégies de gestion de lecture:
Détecter une perte de compréhension. Récupérer le sens du texte après une perte de compréhension. Faire le lien entre ses connaissances et l'information lue. Demander de l'aide.
Pour gérer efficacement son temps, il est conseillé de recueillir méthodiquement l'information amassée au cours de la lecture sous forme de fiches. Les fiches de lecture servent non seulement à retrouver un document ultérieurement, mais aussi à prendre des notes en vue de la rédaction du travail de recherche.
Lire à voix haute : facilite la concentration et la mémorisation. Prendre des notes/surligner : aide à faire ressortir l'information importante à retenir. Reformuler ce que vous venez de lire : on retient davantage ce qui est formulé dans nos propres mots.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
Liseur est le nom donné à une personne qui lit énormément, qui aime lire.
Si vous avez abandonné la lecture, il y a sans doute une raison : trop de travail (voir le numéro 5), mais surtout trop de distractions à n'en point douter. Alors, commencez par le smartphone : désactivez les notifications, désinstallez Clash Royale, matchez pour la dernière fois sur Tinder...
Idéalement, une formation à la lecture à voix haute est nécessaire. Vous pouvez prendre des cours de théâtre ou de chant pour apprendre à poser votre voix, gérer votre respiration et acquérir des notions de jeu. Car plus vous allez jouer le texte lu, plus il sera agréable à écouter.
La vitesse de lecture moyenne, estimée autour de 300 mots par minute, serait largement surestimée, explique Marc Brysbaert, chercheur en psychologie expérimentale à l'université de Gand, en Belgique, et auteur d'une étude sur le sujet.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
La fatigue chronique résultant de différentes causes peut entraîner un problème de concentration persistant pendant une longue période. Le stress et l'anxiété peuvent aussi être les coupables. Tout type de traumatisme à la tête ou une maladie touchant le cerveau peut entraîner un problème de concentration.
Le meilleur moyen d'augmenter la capacité de concentration consiste à renforcer le contrôle de la volonté en pratiquant, comme pour les muscles du corps, une gymnastique régulière et répétitive du cerveau : des exercices de méditation de pleine conscience (mindfulness) .
Les symptômes de la glossophobie
« Le problème de cette phobie c'est que la personne a des symptômes avant, pendant et après. Avant, elle rumine, a une appréhension, comme si elle était obnubilée par cette prise de parole.
L'enfant confond les sons qui se ressemblent comme les lettres "t" et "d", le "p" et le "b" ou encore le "f" et le "v" ; L'enfant confond les écritures qui sont proches telles que "m" et "n", "b" et "d" ainsi que "ou" et "on" ; L'enfant éprouve des difficultés dans la fusion des sons et des syllabes.