La Terre "avale" son eau. Chaque année, ce sont environ 1,12 milliards de tonnes d'eau qui disparaissent des océans par ce phénomène qui s'exerce depuis déjà 750 millions d'années. C'est en réalité un minerai, appelé lawsonite, qui est le transporteur de cette eau engloutie.
Ces séismes se trouvent au contact des deux plaques tectoniques qui subissent donc un mouvement de rapprochement : la plaque de Nazca d'origine océanique passe sous la plaque sud-américaine d'origine continentale et plonge dans l'asthénosphère. De la lithosphère océanique disparaît donc au niveau de cette fosse (doc.
À partir de 6 000 mètres, presque tous les océans ont disparu. Il ne reste que certaines fosses océaniques, des dépressions profondes et étroites. La plus profonde d'entre elles est la fosse des Mariannes, située au nord-ouest de l'océan pacifique (à presque 11 000 mètres de profondeur).
D'après les chercheurs, ce déclin est directement lié à l'activité humaine. En haute mer, le changement climatique, dû aux gaz à effet de serre, est le principal responsable.
De tous les océans, l'Atlantique est le plus salé et possède le courant le plus fort du Gulf Stream. Il a donc longtemps réussi à rester le plus propre grâce à son autonettoyage.
Et pour cause, avec un taux de salinité d'environ 27,5% contre 4% pour la salinité moyenne de l'eau de mer, la Mer Morte porte bien son nom puisqu'aucun poisson ou végétal ne peut y survivre. Pour autant, il est tout de même possible de s'y baigner ou plutôt d'y flotter.
Les conditions de vie dans les profondeurs de l'océan sont extrêmes : pas de lumière, peu de nourriture, une température glaciale et une pression écrasante ! Elles n'empêchent pas la vie de s'y développer : on y trouve des poissons, des bactéries, des méduses, des invertébrés, des requins.
En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre (près de 21 % de l'atmosphère terrestre) provient des océans. Il s'est accumulé dans l'atmosphère grâce à des micro-organismes marins (par exemple cyanobactéries et micro-algues planctoniques) capables de réaliser la photosynthèse.
Les océans : réserve de plancton et de CO2 dissous
Ce sont les océans. Pour deux raisons : c'est là que vit le phytoplancton, ou plancton végétal, formé de minuscules algues. Celui-ci constitue une biomasse bien plus importante que celle des forêts. C'est lui le premier producteur d'O2 et recycleur de CO2.
Tout se détériore dans les océans en raison du dérèglement climatique et des activités humaines, notamment la production d'énergie et l'exploitation minière qui bouleversent le monde des cétacés.
En bref : les gaz volcaniques auraient formé les nuages. Ces derniers, remplis de condensation, auraient provoqué un « déluge primitif ». On parle de centaines voire de millions d'années d'intempéries qui auraient permis de former les océans tels que nous les connaissons aujourd'hui.
L'eau pourrait provenir des comètes, qui, après la période d'accrétion, se sont écrasées sur Terre. En effet, les comètes sont des corps célestes issus de la ceinture d'Edgeworth-Kuiper ou du nuage d'Oort ; elles ont un diamètre en général inférieur à 20 kilomètres, et sont composées à ~80 % de glace.
Il y a des milliards d'années, énormément de météorites sont tombées sur la Terre, apportant ainsi beaucoup d'eau. Les scientifiques pensent aussi qu'une partie de l'eau provient des roches qui ont formé la Terre. Cette eau emprisonnée serait sortie du sol quand la Terre était couverte de volcans.
Le sel de mer provient de l'action des eaux de ruissellement et des eaux souterraines sur la croûte continentale. Les ions (Na+, Cl-...) apportés par les rivières se concentrent dans l'eau de mer car ces éléments sont peu réactifs avec les particules et les minéraux marins.
Réduire l'utilisation du plastique, réglementer la pêche et réensauvager les fonds marins sont des options essentielles pour développer une économie soutenable. Mais modérer notre consommation de poisson et opter pour une alimentation d'origine végétale pourrait avoir un impact important également.
L'arbre représente un véritable atout pour notre environnement. Lui et son écosystème associé possèdent bien des bénéfices.
Ce plancton est un « poumon » de la planète, comme le sont les forêts terrestres : il absorbe le CO2 et rejette du dioxygène (O2). Au fil du temps, il a conduit à l'oxygénation de notre atmosphère. À sa mort, quand il n'est pas consommé, le plancton tombe au fond des mers où il s'accumule sur de grandes épaisseurs.
Des chercheurs annoncent avoir découvert une espèce animale qui présente la particularité de ne pas avoir besoin d'oxygène pour vivre. Il s'agit du parasite Henneguya salminicola, qui fait partie de la même famille que les méduses, indiquent les scientifiques dans une étude publiée ce lundi dans PNAS.
En fait, on pense généralement que la biosphère terrestre prendra fin dans les 2 milliards d'années à venir en raison de la combinaison de la surchauffe et de la pénurie de CO2 due à la photosynthèse. On s'attend à ce que les niveaux atmosphériques d'O2 finissent également par baisser dans un avenir lointain.
L'atmosphère de Mars, en majorité composée de dioxyde de carbone (96 %), d'argon (1,93 %) et de diazote (1,89 %), contient des traces de dioxygène, d'eau, et de méthane.
Ce que nous appelons « air » se compose de…
L'air sec se compose d'environ 78 % d'azote, 21 % d'oxygène et 1 % d'argon. L'air contient également de la vapeur d'eau qui représente entre 0,1 et 4 % de la troposphère. L'air chaud contient généralement plus de vapeur d'eau que l'air froid.
Comme le lion dans la savane, le grand requin blanc, le plus impitoyable de ses congénères, est vu dans la croyance populaire comme le roi des mers et des océans.
Quand l'eau se retire elle se retrouve de l'autre côté de l'océan à angle droit (à 90° par rapport au lieu où l'on se trouve). On peut dire que quand il y a une marée basse quelque part, il y a une marée haute ailleurs.
La salinité des océans est en moyenne de 35 grammes de sel par litre (Pacifique). Sauf régionalement, elle varie peu : Mer Baltique : 7 grammes de sel par litre.