Le traitement du manque de confiance / estime de soi est principalement psychothérapique par la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) ou la thérapie interpersonnelle. La psychothérapie peut se faire par le psychiatre ou le psychologue.
Judo, karaté, boxe française, etc : il y a en a pour tous les goûts. Le fait de s'engager physiquement et de remporter - parfois - des combats, s'avère extrêmement satisfaisant et permet de prendre conscience de ses capacités physiques et mentales.
La peur de la critique.
C'est l'une des peurs les plus répandues à l'origine d'une déficience de la confiance en soi. La principale cause de cette peur est que vous êtes trop concentré et préoccupé par le regard des autres et leur opinions . Du coup, vous ressentez un sentiment d'insécurité.
Laisser les croyances limitantes les dominer
Mais vous le savez très bien : « qui ne risque rien n'a rien ». Alors, pour contrer le manque de confiance en soi, commencez par réorganiser vos pensées. Arrêtez de vous trouver des excuses pour ne pas avancer. Bousculez la chance.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Un traumatisme subi durant l'enfance peut également être à la source de la perte de l'estime de soi : un abus ou un abandon par exemple génèreront un sentiment d'insécurité et d'infériorité.
En effet, une éducation trop permissive ou au contraire trop stricte, la surprotection des parents, la peur d'échouer ou de mal faire sont autant de facteurs qui peuvent altérer la confiance en soi. Sans oublier la peur de se mettre en valeur, le sentiment d'être incompris(e), un état d'esprit négatif.
L'une des clés de la confiance en soi est le réalisme : vous devez connaître vos capacités et surtout vos limites ! Éventuellement, segmentez votre objectif en petites étapes intermédiaires. Réussir à passer ces petites étapes vous aidera à atteindre vos buts, à condition que ceux-ci soient raisonnables.
Comment vaincre le doute, étape par étape
Identifier précisément pourquoi vous doutez et l'origine du doute. Accepter vos imperfections et vos défauts. Accepter la possibilité d'échouer et adopter une attitude positive et optimiste. Prendre la décision d'agir et de résoudre votre problème.
Entrent dans cette classification, toutes les activités de sprint que l'on peut pratiquer aussi bien dans l'athlétisme, la natation, le cyclisme, également au rugby, au handball ou au basket mais aussi dans des sports de combats comme la boxe. Ces pratiques leur permettront de décharger l'énergie négative.
Elles savent déjà ce qu'elles pensent; elle veulent savoir que Vous pensez. Donc, elles posent des questions ouvertes qui donnent aux autres personnes la liberté d'être réfléchies et introspectives.
Accepter les compliments et en donner
La prochaine fois que vous recevez un compliment, acceptez-le en disant simplement « Merci ». Prenez aussi l'habitude de donner des compliments aux autres. C'est le meilleur moyen d'en recevoir à votre tour et c'est un excellent exercice pour augmenter sa confiance en soi.
En cas d'échec, il est donc important de rester bienveillante avec soi-même. La technique du meilleur ami est alors très utile. Elle consiste à s'adresser à soi-même de la même manière qu'à un ami afin de faire la part des choses entre ses qualités profondes et un petit échec ponctuel.
Vous développez de la nervosité, de l'anxiété et dans les cas les plus graves de la dépression ou une dépendance à ce qui vous rassure. Vous ne savez plus quels sont vos besoins, vos désirs, vos rêves ni quel est le sens de votre vie.
Faire du sport. Celui qui est physiquement en forme se sentira automatiquement plus fort mentalement. Danser, faire du yoga, des exercices cardio ou soulever des haltères, tout cela vous aidera réellement. Ces entraînements vous permettront de fabriquer de l'endorphine et exerceront vos muscles.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Lorsqu'on se sent agressé par les autres, c'est généralement qu'on a peu confiance en soi. Il n'est pas possible de faire face aux autres quand on n'a pas une construction solide de soi-même. ➜ Par conséquent, il est plus facile de ressentir une agression. On va être aussi plus facilement vexé à la moindre critique.
L'estime de soi, c'est la reconnaissance de sa propre valeur. La confiance en soi, c'est la reconnaissance de ses propres compétences.