Au nombre des méthodes courantes de traitement des traumatismes, on peut citer la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) (include link to CBT page), la thérapie psychodynamique, la thérapie sensorimotrice, l'intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires (EMDR) et la pharmacothérapie.
D'autres symptômes peuvent survenir : troubles du sommeil, irritabilité, détresse, difficultés à se concentrer, crises d'anxiété, etc. Parfois, les sensations physiques ressenties au moment du traumatisme resurgissent à l'improviste.
Définition du choc psychologique
Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
L'épanouissement qui suit un traumatisme peut prendre bien des formes, y compris une plus grande appréciation de la vie, l'ouverture à de nouvelles opportunités, des relations sociales plus satisfaisantes, une vie spirituelle plus riche et une impression de transcendance doublée d'une sensation de force personnelle.
Deux médicaments possèdent une autorisation de mise sur le marché pour le traitement du syndrome de stress post-traumatique. Il s'agit d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) : la paroxétine et la sertraline.
Lors d'un choc traumatique, la personne conserve une empreinte psychologique indélébile d'un évènement traumatisant qui s'est passé au cours de sa vie. Il peut s'agir d'un attentat, d'une attaque, d'un viol, d'un accident de voiture ou d'un vol, dont la personne a été victime ou témoin.
Les personnes qui ont vécu un traumatisme psychique gardent une trace des événements dans leur psychisme, comme une cicatrice, laquelle est susceptible de se rouvrir plus tard dans la vie, par exemple sous l'effet d'un autre événement douloureux, ou d'un anniversaire.
Les choses sont très différentes en cas de psychotraumatismes répétés. «Ils attaquent la capacité du cerveau à fabriquer du sens, c'est-à-dire à intégrer les différents processus cognitifs, émotionnels, physiques, en un tout cohérent.
Elles peuvent être déclenchées par un stimulus externe tel qu'une odeur, la vue d'un objet ou encore un son. Le flashback est le plus souvent associé à une expérience passée traumatisante et est l'un des symptômes du stress post-traumatique.
Il faut avant tout que les personnes traumatisées soient informées et protégées de toutes formes de violences et de stress trop important, cela permet de les faire sortir de leur état de dissociation et de limiter les réactivations de la mémoire traumatique.
D'abord il s'agit de prendre conscience de son état émotionnel, de le ressentir et de l'accepter. Ce travail de conscience de soi et d'écoute de l'intérieur est la première étape nécessaire à l'identification de ses besoins non satisfaits et à la démarche de changement.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Il est possible de surmonter certains traumatismes liés à une enfance douloureuse. L'aide d'un psychothérapeute permet de verbaliser ses souffrances et de les dépasser. L'enfance est une période de fragilité. Si elle est douloureuse, elle peut provoquer de nombreux blocages dans la vie d'adulte.
Le trauma est une réalité subjective interne, d'ordre psychologique, tandis que l'événement traumatique s'opère dans une réalité externe et objective.
Stress dépassé
Il apparaît lorsque la situation vécue est trop intense, trop prolongée ou répétée à courts intervalles. Les manifestations peuvent être bruyantes mais aussi plus silencieuses : agitation, fuite panique, ex.
1.2.
Classiquement, quatre éléments permettant l'évaluation de la gravité ont été individualisés en traumatologie : le patient, le traumatisme, les variables physiologiques, les lésions anatomiques.