Par ailleurs, pour moderniser une maison des années 70, il est indispensable de l'isoler. C'est ainsi que ces habitations sont de véritables passoires énergétiques (déperdition thermique au niveau des murs et la toiture, parois froides, infiltrations d'air au niveau des huisseries…).
Les années 70 se caractérisent plutôt par l'essor de la maison individuelle. Les maisons construites dans ces années présentent généralement deux niveaux avec un rez-de-chaussée qui sert indifféremment de garage, d'atelier ou de chaufferie. L'entrée s'y fait souvent par un escalier extérieur.
Quasiment toutes les maisons des années 70 étaient construites en parpaing. Ce matériau fétiche de ces années là a un inconvénient principal : il laisse passer le froid. Et sans une isolation adéquate et performante, votre logement restera la maison des courants d'air !
La solution de chauffage principale est le chauffage central gaz ou fioul en forte majorité. On compte parfois des convecteurs électriques (les fameux "grille-pain"). L'eau chaude sanitaire est produite avec un chauffe-eau électrique ou couplée à la chaudière.
Parmi toutes les chaudières présentes sur le marché, la chaudière biomasse est l'une des plus économiques en fonctionnement. Celle-ci fonctionne comme les autres : la chaleur produite après combustion va chauffer le circuit de chauffage central. Il est même possible de produire de l'eau chaude sanitaire (ECS).
de la laine de roche ou de la laine de verre qui sont des laines minérales. Elles résistent très bien à l'humidité et offrent une bonne isolation acoustique (12 €/m²). de la ouate de cellulose, appréciée pour ses performances phoniques et sa résistance à l'humidité (20 €/M²).
Pour isoler les murs d'une maison ancienne, deux solutions existent : l'isolation par l'intérieur ou par l'extérieur. Le coût est moins élevé dans le premier cas et permet de conserver l'aspect extérieur de la maison.
On estime que la durée de vie des immeubles résidentiels est de 70 à 100 ans.
Il est possible d'obtenir un second éco-PTZ pour financer de nouveaux travaux dans un même logement dans un délai de trois ans à compter de l'émission du premier, mais la somme des deux prêts ne doit pas dépasser le plafond des 30 000 euros.
Isolez les murs par l'extérieur : la priorité
Afin de pallier ce problème et réaliser des économies d'énergie, des travaux de rénovation énergétique sont importants et débutent par l'isolation par l'extérieur des parois opaques. Si la structure ne le permet pas, vous pouvez opter pour une isolation intérieure des murs.
Une solution tout en un
Le panneau « Uniso » (Myral) est fait de mousse polyuréthane, un isolant très performant qui permet d'atteindre la résistance thermique exigée pour obtenir le Crédit d'impôt pour la rénovation énergétique (CITE) avec un minimum d'épaisseur.
Le polyuréthane : il se présente comme une bonne façon d'isoler un mur intérieur tout en limitant la perte d'espace. En effet, à résistance thermique égale, les panneaux de polyuréthane sont beaucoup moins épais que ceux composés d'autres matériaux, La laine de verre est également une bonne solution.
La question à se poser est : faut-il isoler un mur en pierre ? Étant donné que c'est un matériau sensible à l'humidité, l'isolation d'un mur en pierre de 50 cm est recommandée.
L'isolation thermique des murs par l'extérieur présente plus d'avantages que l'isolation par l'intérieur. Elle est donc à privilégier car elle limite grandement les ponts thermiques, contribue significativement au confort d'été et protège mieux le bâti des risques hygrothermiques.
Si vous souhaitez améliorer l'isolation des combles aménagés sans casser l'existant, une option simple est l'utilisation de plaques de plâtre avec isolant (aussi appelé doublage isolant). Cette solution consiste à coller des plaques isolantes sur vos murs, pour renforcer leur isolation.
Le poêle à bois (qu'il soit à bûches ou à granulés) est le chauffage qui consomme le moins, donc le plus économique grâce notamment à un moyen de 40 euros/MWh.