Tenez le guidon près du cintre. Baissez les coudes et gardez le haut de votre corps détendu. Cette position vous permet de respirer librement. Ne vous balancez pas d'un côté à l'autre sur la selle et ne serrez pas trop les poignées du guidon, cela vous fatiguera sans vous donner plus de force ou d'élan.
Pour la montée : Utiliser le petit plateau avant et les pignons de gauche. Pour la descente : Utiliser le grand plateau et les pignons de droite sur la cassette. Pensez toujours à utiliser une bonne cadence de pédalage c'est à dire entre 60 et 90 tours/minute.
Si vos bras bougent rapidement, vos jambes suivront. Ce truc vous permettra de garder une bonne fréquence de foulée et d'avoir une image positive de vous-même en train de monter la côte. Un autre truc pourrait être de garder vos yeux vers le haut de la côte et non juste devant vous.
Lorsqu'il se met en danseuse, le cycliste pédale debout sur les pédales, en décollant les fesses de la selle. Il n'a plus que 4 points d'appui (les 2 mains sur le cintre et les 2 pieds sur les pédales), supprimant le 5ème appui de la position traditionnelle (fesses sur la selle).
Inspirez par le nez, sentez l'oxygène arriver et le bedon se gonfler. Laissez l'air écarter tout doucement les côtes puis monter progressivement vers le haut des poumons, entraînant le soulèvement de la cage thoracique. Expirez lentement par la bouche en laissant s'échapper un filet d'air.
Ainsi, après l'effort, cette réaction permet de stabiliser la quantité d'oxygène dans le corps et également le rythme cardiaque. Par conséquent, si vous n'utilisez qu'occasionnellement les escaliers, ressentir un essoufflement après cet effort est une réaction normale.
Apprenez à bien respirer. Pendant l'effort, respirez le plus naturellement possible en inspirant par le nez et la bouche en même temps (expiration par la bouche). Plus l'intensité de l'exercice augmentera, plus le rythme de vos inspirations va s'accélérer pour faire jeu égal avec celui des expirations.
Une cadence de pédalage trop faible de 50 ou 60 tr/min maintenue sur toute une montée ne vous permettra rien d'autre que de profiter d'une sortie tranquille à vélo." Il faut jouer avec la cadence. Grimpez lentement mais avec une cadence élevée.
En montée, la vitesse moyenne est de 15 à 20 km/h. Si vous êtes un cycliste expérimenté, vous pouvez sans doute atteindre une vitesse supérieure. Mais si vous êtes un débutant ou si vous avez des difficultés à monter les côtes, il est recommandé de choisir un vélo électrique urbain ou un VTT électrique.
Faites des sorties où vous augmentez votre fréquence de pédalage moyenne, faites des sorties spécifiques où vous essayez de pousser votre fréquence de pédalage, et après, petit à petit votre fréquence moyenne va augmenter de 80, 83, 85, 87 pour arriver à 90 ; vous serez mieux forcément qu'à 80 dans le temps.
Commencez chaque poussée de puissance en tournant à une cadence et une vitesse très basses. Passez à la vitesse supérieure (par exemple, 50 x 11) et, en position assise, pédalez aussi fort que possible jusqu'à ce que vous atteigniez 80 tr/min. Cela devrait prendre environ 15 secondes.
Pour cela, commencez par travailler des séquences plutôt courtes sur 30s à 45s à reproduire plusieurs fois durant la sortie dans les côtes du parcours. Il faut que le bassin soit stable pour que le balancement du corps permette le maximum d'énergie sur les pédales.
Si vous êtes cycliste confirmé, un braquet 52/36 associé à une cassette de 11/30 devrait également suffire pour grimper n'importe quelle ascension du type : Mont Ventoux, Galibier, Alpes d'Huez, Tourmalet…
À évitez si vous montez un 52-36, la cassette Sram 10-26 qui présente deux dédoublements; pas la fin du monde, mais quand même. Le pédalier Sram semi-compact 50-37 offre également de bonnes combinaisons avec toutes les cassettes de la même marque, sauf le 10-26 qui présente elle-aussi deux dédoublements de braquets.
Autre astuce : lorsque la chaîne est sur le grand plateau, il suffit de tirer légèrement sur un maillon au niveau du plateau. Si elle se décolle de plus de 5 mm environ, il est alors temps de la changer. C'est la technique la plus simple pour s'en rendre compte.
La position
Il faut que la selle ne soit ni trop haute, ni trop basse, pour que la jambe soit suffisamment tendue pour développer un maximum de force, tout en laissant la cheville libre pour tourner autour de l'axe de la pédale, et sans vous déhancher.
Roulez normalement, relâché, bien assis sur la selle et les mains sur le cintre. Décollez doucement les mains des poignées et relevez le buste. N'allez pas trop vite, ressentez la réaction (ou non du vélo) pour pouvoir corriger éventuellement le mouvement.
Un 39×24 est un petit braquet, pour passer des côtes assis en tournant les jambes par exemple … Plus le braquet est grand, plus la distance parcourue en un tour de pédalier est importante. Ainsi un plateau de 53 et un pignon de 11 dents permet en un tour de pédalier de faire 10m10.
ÉVITER LA FATIGUE À VÉLO
Adoptez une fréquence de pédalage de 60 tours par minute, en utilisant des braquets souples pour conserver cette vitesse de jambes. Cette cadence exige un effort modéré tout en vous assurant une bonne vitesse de croisière.
Au niveau de la circulation sanguine, mouliner plus vite aura également ses avantages. Tout d'abord, cela vous permettra de réduire les risques d'hypertension artérielle.
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .
Durant un test de la capacité de diffusion pulmonaire, vous inspirez une petite quantité de gaz par un embout buccal fixé à un tube. Vous retenez votre souffle pendant environ 10 secondes, puis vous expulsez le gaz. L'air est collecté dans le tube et examiné.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.