Les sous-ensembles de E forment un ensemble appelé ensemble des parties de E et noté P(E). Exemple - Si E = {1, 2}, alors P(E) = {∅, {1}, {2},E}. Remarque - Les trois assertions x ∈ E, {x} ⊂ E et {x} ∈ P(E) sont équivalentes.
Exemple. Soit l'ensemble E = {0, 2, 4, 6, 8, 10} et l'ensemble A = {2, 4, 8}. L'ensemble A est un sous-ensemble de l'ensemble E parce que tous les éléments de l'ensemble A appartiennent à l'ensemble E et on écrit : A ⊂ E.
Une partie H ⊂ G est un sous-groupe de G si : – e ∈ H, – pour tout x, y ∈ H, on a x⋆ y ∈ H, – pour tout x ∈ H, on a x−1 ∈ H. Notez qu'un sous-groupe H est aussi un groupe (H,⋆) avec la loi induite par celle de G. Par exemple si x ∈ H alors, pour tout n ∈ Z, nous avons xn ∈ H.
N* ⊂ N, 2N ⊂ N, 2N ⊄ N*. On peut remarquer que, comme il existe des entiers naturels non nuls qui ne sont pas pairs, 1 par exemple, N* n'est pas non plus inclus dans 2N : N* ⊄ 2N. On dit alors que ces deux ensembles ne sont pas comparables pour l'inclusion.
Les nombres entiers (Z) forment un sous-ensemble des nombres réels (R) et ils incluent l'ensemble des nombres naturels (N). ( N ) . On peut utiliser cette notation pour le représenter. N⊂Z N ⊂ Z Cela se lit : « l'ensemble des nombres naturels est inclus dans l'ensemble des nombres entiers ».
Un intervalle est un sous-ensemble de ℝ contenant tous les nombres réels compris entre deux nombres réels distincts et .
sous-ensemble n.m. Partie de l'ensemble considéré ; subdivision d'un ensemble quelconque.
L'ensemble ℕ vient de l'appellation naturale attribuée à Peano. Il désigne l'ensemble des nombres entiers naturels (exemples : 0 1 2 3 7). Si l'on note ℕ*, cela signifie que l'on exclut le zéro. L'ensemble ℤ vient de l'allemand zahlen qui signifie compter.
On dénote par ∅ l'ensemble vide, celui composé d'aucun élément. Le symbole ∈ indique qu'un élément appartient à un ensemble. À l'inverse, le symbole ∉ identifie un élément qui n'appartient pas à un ensemble. L'ensemble est dit un sous-ensemble de si et seulement si tous les éléments de sont aussi des éléments de .
Nombres : • (N, +) et (N, ·) ne sont pas des groupes car l'opposé et l'inverse d'un nombre naturel ne sont pas des nombres naturels ; • (Z, +), (Q, +), (R, +) et (C, +) sont des groupes abéliens avec élément neutre = zéro 0 ; • si on note Z∗ = Z \ {0} (et même chose pour Q, R et C), l'ensemble (Z∗, ·) n'est pas un ...
L'ensemble {¯0, ¯3, ¯6, ¯9} est inclus dans Z/12Z, est stable par l'addition et par le passage à l'inverse, donc c'est un sous-groupe de Z/12Z.
L'ensemble des nombres entiers, muni de la multiplication (Z, ×), ne forme pas un groupe. La loi est bien interne, associative, et il existe un élément neutre (le nombre 1), mais pas d'inverse en général : par exemple, l'équation 3 · b = 1 n'admet pas de solution dans Z.
Les sous-ensembles de E forment un ensemble appelé ensemble des parties de E et noté P(E). Exemple - Si E = {1, 2}, alors P(E) = {∅, {1}, {2},E}. Remarque - Les trois assertions x ∈ E, {x} ⊂ E et {x} ∈ P(E) sont équivalentes.
Une partie F de E est appelée un sous-espace vectoriel si : • 0E ∈ F, • u + v ∈ F pour tous u, v ∈ F, • λ · u ∈ F pour tout λ ∈ et tout u ∈ F. Remarque. Expliquons chaque condition. La première condition signifie que le vecteur nul de E doit aussi être dans F.
Les nombres naturels représentent tous les nombres entiers positifs, incluant le 0. 0. Les nombres entiers sont les nombres qui n'ont pas de partie décimale ou dont la partie décimale est nulle.
0 est un nombre réel, donc il appartient à R.
Définition : Il existe un ensemble de nombres, noté ℂ, appelé ensemble des nombres complexes qui possède les propriétés suivantes : - ℂ contient ℝ. - Dans ℂ, on définit une addition et une multiplication qui suivent les mêmes règles de calcul que dans ℝ.
On dit que K est le corps de base de A. L'opérateur binaire est souvent désigné comme la multiplication dans A. ∀x, y ∈ A, ∀a ∈ K, f(x × y) = f(x) × f(y) et f(x + ay) = f(x) + af(y).
L'ensemble ayant pour éléments tous les sous-ensembles ou parties d'un ensemble E est noté de la façon suivante : P(E). Si Card(E) = n, alors : Card(P(E)) = 2n. Une partie d'un ensemble E différente de E et non vide est appelée une partie propre de l'ensemble E.
L'union est commutative, c'est-à-dire que, pour des ensembles A et B quelconques, on a : A ∪ B = B ∪ A. L'intersection est distributive sur l'union, c'est-à-dire que, pour des ensembles A, B et C quelconques, on a : A ∩ (B ∪ C) = (A ∩ B) ∪ (A ∩ C).
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R*+ --> R est la définition d'une application qui prend ses valeurs dans l'ensemble des nombres réels positifs non nul(l'étoile) et dont l'ensemble d'arrivée c'est-à-dire le résultat de l'application ou la fonction est un réel (appartient à R). source mes connaissances.
Remarque : L'ensemble des nombres réels ℝ est un intervalle qui peut se noter ] − ∞ ; +∞[.