En immergeant le foin dans une grande quantité d'eau, les particules respirables (<5µm), amassées lors de la coupe, du séchage ou du stockage, sont entraînées par percolation dans l'eau de trempage (même principe que la lente traversée de l'eau à travers les grains moulus dans une cafetière).
Pour être purifié le foin a besoin d'être chauffé à une température de 80°C pendant 50 min. Remplissez le réservoir d'eau et mettez en route la décolleuse préalablement branchée sur la prise programmable. Programmez le temps à 1h (10 min de temps de chauffe + 50 min de « cuisson »).
Selon les recommandations d'affouragement courantes, la quantité minimale de foin par cheval et par jour est de 1,5 kg de matière sèche pour 100 kg de masse corporelle. Cela correspond donc à 1,7 kg de foin.
Il faut donner du foin tous les jours, quelle que soit la litière (paille, copeaux, lin, etc…). Dans l'idéal, c'est « à volonté », il faut qu'ils en aient toujours à disposition, souvent on distribue le matin et le soir. Ils vont se rationner eux-mêmes, généralement aux alentours de 10 à 14 kg par jour.
les fibres poussent le contenu de l'estomac , donc pour une bonne assimilation de la ration de complément il faut donner le foin avant le grain .
Bonjour: non il ne fait pas grossir: c'est l'essentiel de son alimentation, plein de fibre. Foin a volonté est une bonne devise.
Le cheval mange lentement
Mais, lorsque l'herbe est plus courte ou que ses besoins sont plus importants, il peut y passer 14 à 16 heures. Bref, il bouffe tout le temps. Par comparaison, le ruminant fait les 3 x 8 (8 heures à brouter, 8 heures à ruminer et 8 heures à se reposer).
Arrêtez immédiatement de donner du pain à votre cheval ! Le blé est mauvais pour les chevaux. Il peut causer un déséquilibre minéral, des troubles et des blocages de la digestion, des problèmes d'intestin et des diarrhées.
On estime en moyenne que les chevaux ont besoin de 5,2 litres d'eau/100 kg/jour, ce qui revient à fournir 10 – 15 litres par jour à des poneys de 200-300 kg, 15 – 25 litres à des chevaux de 300-450 kg, 25 – 30 litres à des chevaux de 450-500kg et plus pour les chevaux de plus de 500kg.
La carotte est très appréciée des chevaux, on peut la donner simplement à la main (coupée) ou en morceaux dans la ration (tout comme les pommes). On peut y cacher le vermifuge et les médicaments s' il y en a à administrer. Plus de bagarre pour les avaler ! En fin de compte, c'est tout simple une carotte.
On peux donner à son cheval ou son poney ET avec modération: fruits frais (pommes, poires, bananes), bâtonnet de carottes ou de céleri, pop-corn (nature ou légèrement sucré), corn-flakes ou muesli (nature), jus de pomme, eau plate (éventuellement additionnée d'un peu de sirop), biscottes et pain sec (en petite quantité ...
Les fruits et légumes
L'artichaut, la betterave, les carottes, les pommes ou les poires sont des aliments habituellement offerts aux chevaux pour les récompenser. Ils ont l'avantage d'être source de sucre, de fibres, de vitamines et d'eau.
lutte contre les problèmes respiratoires, notamment l'emphysème, car le trempage élimine les poussières contenues dans le foin. lutte contre le surpoids et l'obésité car le trempage élimine aussi des nutriments d'où une perte en sucres efficace pour faire faire un régime à son cheval.
Le trempage fait diminuer la teneur en sucres solubles du foin ou/et le nombre de particules respirables dans l'air, mais présente des risques de prolifération bactérienne.
Moins connu et moins utilisé, l'enrubanné est pourtant un très bon aliment pour le cheval. Ses valeurs nutritionnelles le classent comme un fourrage de très bonne qualité lorsqu'il est récolté tôt. Exempt de poussière et de mycotoxines lorsqu'il est bien conservé, il est très apprécié par les chevaux.
Il prend des attitudes hébétées : tête basse, oeil fixe, désorientation, état de stupeur. Ses muqueuses sont congestionnées (très rouges). Si aucun traitement n'est mis en place, les symptômes s'aggravent : le cheval titube, perd connaissance et s'écroule au sol. La mort peut alors survenir très rapidement.
Le barbotage se présente sous forme quasi liquide et peut être réalisé en ajoutant une quantité assez importante d'eau à la ration habituelle. Cela permet d'apporter de l'eau à un cheval qui n'a pas soif mais qui est déshydraté.
En prenant ces précautions et en surveillant l'animal, un abreuvement à l'eau de pluie est possible. Cette eau est néanmoins déconseillée pour les animaux fragiles et nécessite de pouvoir donner rapidement une autre source d'eau en cas de problème. Découvrez Gérer les parasites avant le vermifuge de votre cheval.
Ne rien faire pour mieux faire
Pour développer une bonne relation avec votre cheval, il est important parfois de NE RIEN FAIRE quand vous êtes avec lui, par exemple passer du temps avec lui sans rien lui demander et en le laissant libre d'interagir avec vous ou non. Passez du temps à l'observer au pré.
Les choix judicieux sont : la luzerne, l'avoine verte, la paille d'orge, l'herbe et les granulés de minéraux avec du calcium et du phosphore dans le foin. Ce type d'alimentation libère l'énergie progressivement tout en donnant à votre cheval la résistance nécessaire.
Les fourrages
Bien qu'il puisse aussi manger de la paille, le foin est le fourrage le plus consommé par le cheval. Avec l'herbe pâturée, le fourrage est l'un des aliments de base qui constituent le régime alimentaire du cheval.
La nuit, ils dorment environ six fois, leur cycle de sommeil le plus long durant un gros quart d'heure. Sinon, ils somnolent aussi pendant environ trois heures et demie par jour. À l'écurie, les chevaux restent éveillés environ 75% de la journée et passent seulement 4% de leur temps en sommeil paradoxal.
Un cheval mange en moyenne 15 heures par jour, aussi bien le jour que la nuit. Il passe le restant à dormir, à se promener et à jouer. On remarque que les chevaux en troupeau sont souvent tous occupés à la même chose : ils mangent tous ou se reposent tous.
La pomme est un aliment qui doit toujours être donné coupée en morceaux pour éviter au cheval une obstruction œsophagienne que l'on appelle aussi « empommage ». Des désordres digestifs sont possibles si la pomme est donnée en trop grandes quantités.