A 6 ans, vous appreniez à lire, Mozart, lui, composait des
En 1767, à l'âge de onze ans, Mozart compose son premier opéra Apollo et Hyacinthus (K.38), une comédie latine destinée à être interprétée par les élèves du lycée dépendant de l'université de Salzbourg.
Mais Mozart est surtout fortement influencé par le style d'écriture d'un des fils de Bach, Johann Christian Bach, rencontré lors de son voyage à Londres. Ces symphonies sont encore conçues comme des divertissements, non comme la pièce maîtresse d'un concert.
Plus de deux cents ans après sa mort, la musique du grand compositeur autrichien continue de fasciner. Et pour cause, ses partitions comptent parmi les plus jouées dans le monde entier, et ce, aujourd'hui encore. Symphonies, opéras, concertos, sérénades, musique religieuse ou de divertissement...
Mozart est le premier compositeur indépendant
En effet, pour pouvoir exprimer son génie et créer les œuvres qu'il imaginait, le compositeur a choisi l'indépendance totale. Car à cette époque, les musiciens étaient avant tout employés par les pouvoir politiques et religieux.
1. L'air de la reine de la nuit, dans "La Flûte enchantée" de Mozart. Il a fait consensus : vous avez été plus d'une cinquantaine à le mentionner.
40 en sol mineur (K. 550) C'est probablement la symphonie de Mozart la plus connue au monde, elle est souvent appelée “Grande symphonie en sol mineur” pour la distinguer de la “Petite symphonie en sol mineur” (qui n'est autre que la symphonie n°25 en sol mineur).
Né le 17 décembre 1770 à Bonn, Ludwig van Beethoven mène jusqu'à ses 56 ans, âge de sa mort, un combat contre ses origines modestes et sa surdité précoce.
Tomas Luis de Victoria, Requiem
Il composa cette Missa pro defunctis (« Office des morts » en français), en 1583 et le dédicaça plus tard à la défunte impératrice d'Espagne. Cette œuvre pour chœur à six voix est emblématique du style polyphonique de la Renaissance.
Son père Leopold Mozart, (1719-1787), compositeur, est vice-maître de chapelle du prince-archevêque de Salzbourg. Il est un professeur de violon prisé.
Près de deux cents ans après sa mort, la surdité de Ludwig van Beethoven (1770-1827) et son impact sur son oeuvre musicale continuent de passionner les chercheurs.
Saviez-vous que Mozart a composé plus de 40 concertos ? Le plus étonnant, cependant, est la variété d'instruments pour lesquels il a écrit. Piano, violon, cor, flûte, flûte et harpe, basson, hautbois, clarinette et trompette… Ils sont tous dans son répertoire !
Sur son acte de mariage avec Constance Weber, il a signé "Wolfgang Amade Mozart". Mais Amadeus n'était qu'un surnom. Si ce surnom est désormais indissociable de Mozart, du vivant du compositeur, seuls quelques documents officiels portent la marque de ce surnom.
Virtuose du clavecin et du violon, l'enfant enchante les souverains et leur cour : l'impératrice Marie-Thérèse à Vienne, la famille royale à Versailles, le roi Georges III à Londres. Mais lorsque Mozart entreprend un second voyage en 1778, il ne rencontre plus le même succès.
À 17 ans, le jeune Beethoven rencontre Mozart, qui dira de lui à des amis : « Faites attention à celui-là, il fera parler de lui dans le monde. » Quelques années plus tard, c'est à Joseph Haydn* qu'il est présenté.
Il est proposé que la composante principale de la surdité neuro-sensorielle de Beethoven était une complication immunopathologique de sa maladie intestinale inflammatoire, une dégénérescence primitive de l'organe de Corti ayant entraîné une atrophie du nerf auditif.
Beethoven, qui se montre alors élève appliqué lorsqu'il s'agit de musique, reçoit dès l'âge de cinq ans des cours de violon et de piano par son père, dans l'optique d'une opération "singe savant". Le géniteur du petit prodige aimerait en effet bien en faire un nouveau Wolfgang Mozart.
La Marche n°1 de Pomp and Circumstance, d'Elgar.
Les représentations les plus connues de Mozart jeune sont un dessin au Musée Carnavalet le montrant à l'âge de 7 ans au piano avec sa famille, ainsi qu'un tableau de lui à 6 ans, attribué à Lorenzoni et appartenant au Mozarteum à Salzbourg, sa ville de naissance.
L'opéra de Sydney
Symbole de la ville de Sydney et de toute l'Australie, le Sydney Opera House est certainement le théâtre moderne le plus célèbre du monde.
A New York, tout est plus grand et le Metropolitan Opera ne déroge pas à cette règle. 3800 spectateurs sont accueillis à chaque représentation dans une acoustique incroyablement bluffante. Sur scène, c'est toujours le grand show avec luxe de décors, de costumes et avec des distributions impressionnantes.
Carmen la sulfureuse, l'opéra le plus joué au monde.