Il faut fermer les yeux et tourner la tête jusqu'à sentir le vent sur son visage. Puis il faut pivoter la tête de chaque côté, droite/gauche, (légèrement) pour vérifier que le vent souffle avec la même force de chaque côté de votre visage et pour entendre le même "bruit" du vent dans chaque oreille.
pour lancer le VDB, poussez la barre doucement et non d'un coup franc (contrairement à ce qui peut être fait en dériveur) dès que le foc est à contre, choquez la GV et tirez-la rapidement et profondément de votre côté afin de la choquer en grand et, avec un effet de girouette, forcer le bateau à virer.
Un catamaran est équilibré sur deux coques, avec les voiles au milieu. C'est aussi simple que ça. Selon la taille du bateau, l'espace séparant les deux coques peut être rempli par un cockpit, une cabine principale et généralement un filet (ce qui peut être un excellent endroit pour se détendre au soleil).
Il faut un harnais et il faut être debout sur la coque du bateau. Une personne doit aller au trapèze lorsqu'il y a du vent, pur faire contre poids, face à la voile gonflée. Comment faut-il s'arrêter ? Il faut lâcher la grande voile et pousser la barre à fond vers la voile.
bien se mettre au grand largue, limite vent arrière, et ne plus changer de direction pendant quelques secondes. tirer fort la GV vers le bas afin de l'étouffer. empanner de seulement quelques degrés : maintenir le bateau au vent arrière sur l'autre amure quelques secondes, résister à l'auloffée.
La solution consiste à choquer l'écoute et le hale-bas de grand-voile en grand et à « pomper » sur la barre pour abattre. Lorsque le bateau repart, veillez à vite compenser à la barre et à l'écoute sous peine de finir à l'abattée dans le mouvement inverse.
Comment maintenir la vitesse :
Naviguez à des angles plus élevés pour augmenter la vitesse du vent apparent (AWS) et la vitesse du bateau. Surfez sous le vent alors que l'angle du vent apparent (AWA) augmente avec l'accélération.
Conseils en plus :
En catamaran, ton bateau va à sa vitesse maximale quand la coque au vent est à fleur d'eau. Si tu la lèves plus, tu vas augmenter la surface immergée de la coque sous le vent, et donc ralentir. En dériveur (lesté ou non) ou quillard, l'objectif est de traîner le moins d'eau possible.
Sur la plupart de nos multicoques de croisière, le premier ris se prend autour de 20 nœuds de vent réel.
Pour atteindre une destination qui se situe vers le vent, il faut avancer d'un côté puis de l'autre, toujours le plus près possible de vent. Changer de direction et passer les voiles d'un côté à l'autre en continuant d'aller vers le vent, c'est ce qu'on appelle un virement de bord.
On vire de bord, en général, quand on remonte au vent, au louvoyage. Le principe est de passer le lit du vent pour modifier son cap, de 90 degrés environ, en passant par le vent debout. Après la manœuvre, le bateau est toujours au près, mais sur l'autre bord. Voyons les étapes à suivre pour éviter le manque à virer.
Les catamarans à moteur
Si le catamaran qui vous intéresse est muni d'un moteur d'une puissance supérieure à 6 cv, il vous faudra un permis côtier pour le conduire en mer ou sur un lac fermé. Pour les moteurs inférieurs à 6 cv, pas besoin de permis !
Un bateau ne tourne pas à l'arrêt et ne freine pas comme une voiture. Selon le type d'embarcation, la manœuvre moteur est plus ou moins complexe. Dans tous les cas, il faut privilégier une vitesse d'arrivée modérée et finaliser la manœuvre sur l'inertie.
Choquer revient à laisser filer doucement une manœuvre qui permet le réglage des voiles (les écoutes). "Choque le foc" revient laisser un peu de mou dans l'écoute de foc. Quand on choque, on donne du mou. Attention, à ne pas confondre avec "larguer" qui lui signifie qu'on lâche toute la tension d'un coup.
3. Quelle est la vitesse moyenne d'un bateau ? Les bateaux à voiles (voiliers monocoques ou catamarans de croisière habitables) avancent généralement à une vitesse de 5 à 8 nœuds en fonction de la force du vent (cela correspond à une vitesse de 9 à 15 km/h).
Il faut choisir un cap suffisamment serré, sans pour autant trop affecter la vitesse. On admet couramment qu'il faut naviguer à 45-50° du vent (selon les catamarans...).
Qu'est-ce qui empêche un voilier de se renverser ? Associée à d'autres poids, la quille ou la dérive est principalement ce qui empêche un bateau de chavirer. C'est ce qu'on appelle essentiellement le lest. Il y a du lest dans la quille, et il y a aussi généralement du lest dans la coque elle-même.
Comment prendre une vague d'arrière ? En se formant, la déferlante vous aspire d'abord pour ensuite s'abattre sur vous donc il est prudent d'avoir un moteur puissant. Si la vague est plus haute que la hauteur de votre tableau arrière alors accélérez à fond pour vous retrouver au bas de la vague.
- choquer l'écoute jusqu'à amener le point d'écoute au niveau des haubans. - mollir la drisse et la bordure pour ramener le creux vers le milieu de la voile. - si la bôme a tendance à osciller de haut en bas, reprendre très légèrement du hâle-bas pour brider ce mouvement et stabiliser la voile.
Cette position varie donc en fonction des mouvements du navire. Si maintenant le navire s'incline sous la force du vent, le poids qui s'exerce d'un côté et la poussée d'Archimède qui s'exerce de l'autre vont créer une force de rappel qui va s'opposer au vent et stabiliser le bateau dans une position d'équilibre.
Un voilier en route a une tendance naturelle, lorsque sa vitesse augmente, à partir « au lof » ou « à l'auloffée », c'est-à-dire de remonter vers le vent. On dit alors qu'il est « ardent ».
On commence par choquer doucement le spi pour amener le point écoute jusqu'au niveau de l'étai. On vient alors le choquer en grand en reprenant la contre-écoute rapidement. On passe ensuite la grand-voile sur l'autre bord. L'empannage est terminé.
Le pilotage se fait debout sur une planche (type skate board) avec une voile de planche à voile. On change de direction en appuyant avec la pointe des pieds ou les talons. Le réglage de la voile se fait en tirant la voile vers soi à l'aide d'un wishbones.