Comment ne pas se laisser bouffer par le travail ?
La règle d'or : ne jamais se justifier, au risque de donner le sentiment de chercher à se convaincre soi-même. «Contentez-vous de partager votre enthousiasme et résumez votre stratégie en trois points», conseille Sylvaine Pascual.
Forcez-vous à prendre un peu de distance avec vos missions, pour vous protéger, mais aussi pour mieux travailler. ... Acceptez vos limites et celles des autres
Acceptez de ne pas tout contrôler. ...
Renoncez à la perfection en toutes circonstances : elle n'est pas toujours possible, ni même indispensable.
Pour se libérer du stress du bureau, une certaine discipline s'impose. A l'heure de la sortie du bureau, il faut savoir dégonfler ses soucis professionnels. D'abord pour ne pas noyer ses proches en rentrant. ...
Le salarié qui souhaite contester l'inégalité de traitement ou la mesure discriminatoire dont il s'estime victime peut saisir le conseil des prud'hommes afin d'obtenir, le cas échéant, un rappel de salaire ou la réparation du préjudice subi.
Dans de tels moments, le risque de craquer sous la pression existe, même si l'on est extrêmement doué et compétent dans la tâche à accomplir. Un bref instant de pleine conscience peut aider à se concentrer et à ramener son attention sur la tâche à accomplir, pour se placer dans une zone de performance optimale.
Renforcer son estime de soi peut être un bon moyen d'atténuer cette pression. Prendre confiance, affirmer ses choix, sa vie, son corps, son tempérament, ses besoins... En s'écoutant et en écoutant les autres, on peut aisément mettre une distance saine sur cette pression sociale.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Le mot ergophobie se décompose en ergo, du grec « ergon » qui signifie travail, et phobie, du grec « phobos » qui signifie « peur panique ». L'ergophobie est caractérisée par la crainte irrationnelle et exagérée du travail.
Un management devient toxique dès lors qu'il place une personne dans l'incapacité de réaliser ses missions et qu'il la soumet à une pression émotionnelle supplémentaire.
Il n'existe pas de réponse unique à cette question. Les causes sont étroitement liées à notre personnalité et à la façon dont nous l'avons construite au fil des ans. En effet, c'est un savent mélange de causes diverses qui, en fonction de chaque situation, vont nous pousser à nous mettre la pression.
Quelles sont les causes du favoritisme? Parmi les principaux facteurs qui expliquent ce phénomène, on retrouve la crainte de perdre l'employé, la relève ou l'associé si celui-ci est confronté à certains problèmes.
Un salarié peut saisir le conseil des prud'hommes pour régler tout conflit sur un cas de discrimination. Par exemple, pour contester un refus de promotion. Un candidat à un emploi peut aussi saisir les prud'hommes pour contester son refus d'embauche.
Le délit de favoritisme est constitué dès lors que l'avantage injustifié procède d'un manquement aux dispositions législatives ou réglementaires garantissant la liberté d'accès et l'égalité des candidats aux marchés publics.
Les techniques pour ignorer ses collègues tout en discrétion
La plus classique, la technique des écouteurs. Dès qu'on ne supporte plus d'entendre son collègue jacasser, on les enfile. Pour ceux qui ont du mal à écouter de la musique en travaillant, on opte pour des sons relaxants, sans parole ou du classique.
Biaiser un débat. En réunion, vous donnez la parole en dernier au seul qui ne soutient pas votre projet : il lui faudra du cran pour s'élever contre trois premiers avis dithyrambiques !
Ignorer les réserves d'un salarié sur une mission. ...