Relevez votre regard. Ensuite, afin de trouver la bonne place sur la chaussée, il faut impérativement travailler le regard et savoir où le porter. En formation, les élèves ont tendance à regarder juste devant la voiture, c'est une erreur très classique, alors qu'il faut regarder au loin.
Pour bien se positionner sur les voies, il est conseillé aux usagers de regarder le plus loin possible, plutôt que de se focaliser sur la droite ou la gauche du véhicule.
Le conducteur doit laisser une distance minimale de 1 m lors d'un croisement avec les deux roues et les piétons. Lors d'un croisement hors agglomération les véhicules doivent ralentir et serrer à droite sur les routes étroites.
Pour une prise du volant optimale, les bras doivent être légèrement fléchis alors que le cou et les épaules doivent être détendus. En effet, tenir le volant est une action qui demande de la souplesse plutôt que de la crispation. De plus, les mains ne doivent pas s'y croiser.
Respirer. Cela peut paraître tout bête, mais la respiration joue un rôle essentiel dans la gestion de la peur et du stress. Lorsque l'angoisse commence à monter, concentrez-vous sur votre respiration en essayant de la contrôler, de la ralentir. L'idéal est de respirer par le ventre en le gonflant à chaque inspiration.
Pour les passagers, la peur en voiture vient souvent d'un manque de maîtrise de la situation (sensation de faiblesse) mais aussi, parfois, d'un manque de confiance en la personne qui conduit. Ces pics d'anxiété peuvent être apprivoisés grâce à une gestion du stress optimisée et à un travail sur soi.
- Lorsque vous êtes à l'arrêt, placez vos mains à 9H15 sur le volant. Calez-vous bien au fond de votre siège. - Inspirez, en contractant les épaules et en serrant le volant. - Expirez en vidant totalement l'air de vos poumons relâchez-les !
Nos conseils pour la conduite à gauche
« Ce n'est vraiment pas aussi difficile qu'on l'imagine. Certes, les premiers kilomètres seront un peu stressants, car vous vous demanderez toujours si vous êtes du bon côté. Vous serez toutefois très vite apaisé.
Vous devez ralentir c'est-à-dire cesser d'accélérer. Mettez donc votre pied devant le frein pour anticiper tout besoin de freinage ; L'environnement n'est pas clair et vous n'avez pas une bonne visibilité : Vous freinez jusqu'à adopter une allure au pas si nécessaire en repassant en 1ère vitesse.
La jambe du conducteur doit être légèrement fléchie. L'automobiliste ne doit utiliser sa jambe gauche que pour la pédale d'embrayage. Lorsqu'il appuie à fond sur cette pédale, sa cuisse doit rester posée à plat sur le siège. L'usager doit également rester bien droit dans son siège.
Premièrement, il faut appréhender le gabarit de la voiture et prendre conscience que la position du conducteur est décentrée sur la gauche. En effet, si le conducteur était en position centrale dans la voiture, vous n'auriez sans doute aucun problème pour trouver le bon positionnement sur la chaussée.
Deuxièmement, faire tourner son moteur à l'arrêt peut entraîner des défaillances mécaniques.
Si l'auto commence à se diriger vers la gauche ou la droite, il s'agit clairement de cela. Pour corriger le tir, il faut régler le parallélisme des roues. Une opération rapide et relativement bon marché. Le problème peut également provenir de l'usure d'un amortisseur, des roulements de roues, ou des silent bloc.
Sinon, il faut se garer avec les roues droites, car en cas de choc arriere (lorsque votre voiture est garée, y'a toujours des cons qui savent pas conduire) il ne faut pas que la voiture aille se balader sur la voie, ni sur le trottoir.. Pareil pour le cas de la boite de vitesse...
Abordez le virage à une vitesse d'environ 60 km/h.
C'est la vitesse idéale pour prendre un virage. Avec une boite manuelle, passez votre virage en deuxième (cela risque de faire rugir le moteur !) ou en troisième.
On appelle "amaxophobie" la peur de conduire. Une phobie bien spécifique, qui se traduit généralement par des crises d'angoisse à l'idée de devoir prendre le volant, et dont les causes sont multiples.
D'un point de vu purement psychologique, certains thérapeutes imputent cette peur au manque de confiance en soi. Le positionnement que le conducteur tient face au reste du monde est aussi largement évoqué (s'imposer, se soustraire à, se faire comprendre …)