Ta famille, tes amis, ton travail, tes vêtements, tes livres, ton lieu de vie ? Respire calmement, ferme les yeux et redécouvre les choses de ton quotidien qui te font du bien. En effet, il n'est pas rare quand on est déprimé d'oublier ce qu'il y a de bon dans notre vie et ça fait du bien de s'en rappeler.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Pour avoir une idée de ce que vous voulez faire, vous devez d'abord avoir un point de référence, quelque part où commencer. Ce point de référence est basé sur vos expériences passées. Donc si vous n'avez pas accumulé assez d'expériences, alors vous n'obtiendrez pas le résultat que vous escomptiez.
C'est pourquoi il est essentiel de comprendre que pour agir sur sa vie, il faut développer sa confiance en soi. Parce que développer sa confiance en soi, c'est comprendre qu'il est normal de douter de soi, mais qu'on doit agir sur sa vie quand même. Malgré la peur, malgré les doutes.
Souvent, si on n'arrive pas à avancer dans la vie, c'est tout simplement parce qu'un élément appartenant à notre passé est suffisamment fort pour entraver notre développement personnel. C'est une erreur que de penser que le passé reste derrière nous, et qu'il ne compte plus.
Si vous n'avancez pas, revenez. Lorsque vous vivez l'une des ces étapes de stagnation, vous ressentez sûrement au fond de la tristesse, de la colère, ou bien les deux à la fois. Le fait de stagner signifie que, même si vous ne vous en rendez pas compte, il y a quelque chose à résoudre dans votre vie.
Selon Martin Seligman, il existerait trois chemins pour accéder au bonheur : la vie plaisante, c'est-à-dire, la poursuite des expériences et des émotions positives ; la vie engagée, relative à la poursuite de l'engagement ; et la vie signifiante, propre à la poursuite du sens.
La passion demande de l'engagement – vous n'avez pas seulement besoin d'aimer ce que vous espérez faire, vous devez aussi avoir la volonté de le faire et continuer à le faire. Si vous ne trouvez pas encore votre passion, alors dites vous que vous ne l'avez pas encore bien cherché.
Changer de focus :
Une autre idée pour oser changer de vie à 40 ans (ou plus tard) consiste à changer de focus. Nous avons souvent tendance à nous focaliser sur le négatif, sur tout ce qui pourrait mal se passer… Ici, nous vous invitons plutôt à porter votre attention sur deux choses : Ce que vous souhaitez atteindre.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
Semez le bonheur autour de vous
Egoïsme et bonheur font rarement bon ménage. Mettez votre énergie au profit des autres et faites de bonnes actions. Votre famille, vos amis, mais aussi ceux qui, moins bien lotis, ont besoin de soutien : votre vieille voisine, les enfants malades, les sans-abri…
Mais pourquoi ? La réponse est simple : lorsqu'on place les attentes trop hautes, on risque de ne pas voir les conséquences apparaître en peu de temps. Cela vous rend démotivé, pensant que rien ne s'améliorera jamais et, sans le vouloir, cela finit par contribuer à vous maintenir dans un état de stagnation mentale.
Oui, avant de retrouver la motivation, ce qu'il vous faut c'est de bien comprendre le mécanisme inhérent. Déjà, être motivé à faire quelque chose signifie avoir un but ou des objectifs à réaliser. La personne qui à de la motivation est une personne qui à donc l'envie et la force d'avancer vers son but.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).