Demandez-vous si la personne défend vos intérêts et veut vous aider ou bien elle veut simplement vous insulter. Par exemple, un excellent camarade peut dire « ces derniers temps, vous avez l'air d'être dans les nuages et vous n'êtes pas comme d'habitude ». Vous pouvez donner de l'importance à un tel jugement.
Le plus important est de ne pas vous laisser démoraliser par les choses négatives. Vous pouvez vous soucier de ce que les gens pensent de vous, ne pas changer, vous accepter comme vous êtes et être quand même heureux ! Apprendre à ne pas s'en faire prend du temps. Ne pensez pas y arriver du jour au lendemain !
Trouver la motivation pour "en avoir rien à foutre"... et gagner confiance en soi ! Lâcher-prise, arrêter d'essayer à tout prix de plaire aux autres, s'écouter, assumer ses défauts... C'est un travail de longue haleine. Et même la plus déterminée peut souffrir d'une petite rechute.
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Cultiver la conscience de soi
Mais si on veut être à son meilleur niveau et moins sensible au regard d'autrui, il est nécessaire de renforcer et d'approfondir la connaissance de soi. Commencez donc par élaborer une devise personnelle : un mot ou une phrase qui exprime vos convictions et vos valeurs fondamentales.
Une fois que votre voix normale est capable d'arrêter la pensée, essayez de murmurer « stop ». Avec le temps, vous arriverez à simplement imaginer un « stop » dans votre tête. À ce moment-là, vous arriverez à arrêter une pensée à n'importe quel moment.
Pour avoir une idée de ce que vous voulez faire, vous devez d'abord avoir un point de référence, quelque part où commencer. Ce point de référence est basé sur vos expériences passées. Donc si vous n'avez pas accumulé assez d'expériences, alors vous n'obtiendrez pas le résultat que vous escomptiez.
Commencez par ne rien faire ! Il ne s'agit pas de demeurer dans une attente passive et dépressive, mais d'exercer sa réceptivité. D'accueillir le monde, de l'observer, de le goûter… Ce temps de contemplation et d'ouverture à ses sensations est absolument nécessaire pour retrouver le contact avec soi-même.
Peur de décevoir, peur d'être jugée, peur que l'on se moque de vous… Les raisons pour craindre le regard des autres sont multiples. Ces angoisses peuvent être aggravées par un contexte familial difficile, et faire resurgir un manque de confiance en soi qui remonte à l'enfance.
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
Si vous ressentez un vide lorsque vous êtes seul, c'est un signe que vous perdez votre individualité et que vous dépendez des autres pour faire et ressentir. Cela peut nuire à votre estime de soi et à votre sécurité personnelle.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Vous parlez d'anxiété, de stress, de ruminations (les pensées qui tournent en boucle dans la tête sans trouver de réponse). Ce sont des éléments qui sont très souvent associés à une perte de motivation, avec un "pas envie". La question est donc de savoir quelles sont ces pensées, ainsi que les émotions associées.
S'il vous fait sourire et vous rend heureux, alors c'est déjà bon signe. La passion et le bonheur marchent toujours main dans la main. L'un a toujours besoin de l'autre. Une passion sans bonheur n'existe que dans les mots.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Indépendamment du fait que vous attirez réellement les regards, il est probable que votre sentiment que tout le monde vous regarde soit dû à une perception subjective erronée. Ceci est courant chez les personnes souffrant de phobie sociale ou celles qui souffrent d'une extrême timidité.
Certaines personnes n'ont pas d'amis parce qu'elles manquent de confiance en elles. Les personnes timides, celles qui ont peur du rejet ou d'être jugées de façon négative ont tendance à éviter les contacts sociaux.