le nombre de protons et de neutrons qu'ils contiennent. précédemment. sont des isotopes. Les atomes d'hélium -3 et d'hélium -4 sont également des isotopes.
L'hélium 3, noté 3He, est l'isotope de l'hélium dont le nombre de masse est égal à 3 : son noyau atomique compte deux protons et un seul neutron, avec un spin 1/2+ pour une masse atomique de 3,016 03 g/mol .
Il peut exister sous deux formes stables : l'hélium 4 (noté 42He), dont le noyau est formé de deux protons et deux neutrons, et l'hélium 3 (noté 32He), qui a deux protons mais un seul neutron.
En physique nucléaire, le noyau d'hélium 4 est souvent appelé particule α. Sur Terre, l'hélium 4 provient de la radioactivité α des éléments lourds présents dans la planète depuis sa formation. Dans les étoiles, il est produit par nucléosynthèse à travers la chaîne proton-proton.
L'hélium 4, noté ⁴He, est l'isotope de l'hélium dont le nombre de masse est égal à 4 : son noyau atomique compte deux protons et deux neutrons pour une masse atomique de 4,002 6 u et un spin 0+.
Le plus abondant est l'Hélium 4 qui contient 2 protons et 2 neutrons dans son noyau. L'hélium 3 quant à lui ne possède qu'un seul neutron.
L'hélium-3 n'existe quasiment pas sur Terre. Une quantité relativement faible se forme via l'interaction entre des rayons cosmiques et du lithium. D'une part, cela requiert une température très élevée : plus de 500 millions de degrés contre 150 millions pour la fusion deutérium-tritium.
Un atome est une petite particule constituée d'un noyau autour duquel se déplacent des électrons. Les atomes s'associent en molécules ou se modifient en ions. Le noyau est lui-même composé de nucléons : les neutrons et les protons. Comme leur nom l'indique, les neutrons sont neutres d'un point de vue électrique.
L'atome et ses constituants : nucléons (neutrons, protons), électrons - éduscol STI.
Doc.
Quelques secondes après le Big Bang, les particules élémentaires fusionnent pour former les premiers noyaux d'atomes d'hydrogène, d'hélium et de lithium. Ces noyaux fusionnent ensuite pour former les deux isotopes de l'hydrogène (deutérium et tritium), l'hélium 3 et 4, le lithium 6 et 7, ainsi que le béryllium 7.
Le numéro atomique (Z) représente, en chimie et en physique, le nombre de protons d'un atome. Ce dernier peut être schématisé, en première approche, par une agglomération compacte (noyau atomique) de protons (p+) et de neutrons (n), autour de laquelle circulent des électrons (e−).
Les nucléides d'un élément qui ont le même nombre de protons mais un nombre différent de neutrons sont appelés des isotopes de cet élément.
Les électrons se déplacent autour du noyau. Entre le noyau et les électrons, il y a du vide, beaucoup de vide ! C'est pour cela qu'on dit que la matière est lacunaire. Ce modèle d'atome date de 1932 avec la découverte du neutron qui s'est ajouté aux connaissances apportées en 1911 par Ernest Rutherford.
L'hydrogène est le seul élément disposant de noms et de symboles différents pour ses différents isotopes, encore en usage de nos jours. L'isotope 2H (ou H-2) est ainsi appelé « deutérium » (symbole D), et l'isotope 3H (ou H-3) « tritium » (symbole T).
Deux types de réactions nucléaires : la fission et la fusion
Il existe deux grands types de réaction nucléaire : La fission nucléaire est le résultat de la rupture d'un noyau atomique.
Ces trois types de réactions, la fission, la fusion, et la radioactivité, ont un point commun : ce sont des transformations nucléaires.
L'atome est le constituant de base de la matière.
Dans le noyau de l'atome se trouvent les protons (chargés positivement) et les neutrons (non chargés), tandis que les électrons (chargés négativement) sont localisés autour du noyau.
Le nom « molécule » provient du latin scientifique molecula, diminutif du nom latin moles, se traduisant par « masse ».
Une molécule est un ensemble d'atomes (au moins deux) identiques ou non, unis les uns aux autres par le biais de liaisons chimiques. Ces dernières sont les résultats de la mise en commun d'un certain nombre d'électrons gravitant sur la couche externe des atomes.
L'hélium est, après l'hydrogène (76 % en masse), le 2e élément le plus répandu de l'univers (23 % en masse). Sur terre, il provient des particules alpha (He2+) produites par la désintégration d'éléments radioactifs comme l'uranium et le thorium ainsi que des rayons cosmiques soit une production annuelle de 3 000 t.
C'est la fission nucléaire. La seconde consiste à unir des noyaux d'atomes différents. On parle alors de fusion nucléaire.
Transformation de l'hydrogène en hélium dans le Soleil
Comme toute étoile, le Soleil est un gigantesque réacteur nucléaire. En son cœur, des réactions nucléaires de fusion ont lieu, au cours desquelles l'hydrogène est transformé en hélium en libérant de l'énergie.
En 1808, John Dalton reprend l'idée d'atomes afin d'expliquer les lois chimiques. Dans sa théorie atomique, il fait l'hypothèse que les particules d'un corps simple sont semblables entre elles, mais différentes lorsque l'on passe d'un corps à un autre.
L'uranium, élément chimique le plus lourd à l'état naturel
L'isotope 238 du plomb, avec 82 protons et 126 neutrons, est lui le plus lourd de tous les nucléides stables existants.