Ségou est une cité culturelle du Mali. La ville compte 501.447 habitants avec une population hétérogène composée de Bamanans, peuls, bozos, soninkés, somonons et dogons.
Biton Coulibaly structure les tons en véritable armée de métier composée de volontaires, les « tondjons » (serviteurs du ton) mais où sont également incorporés d'office les captifs de guerre et les habitants qui n'arrivent pas à payer l'impôt obligatoire sur le dolo.
La région est peuplée de trois ethnies principales : les Peuls (principalement éleveurs), les Dogons (principalement agriculteurs) et les Bozos (principalement pêcheurs). À ces populations s'ajoutent les Songhaï, les Bambaras, les Touaregs et les Maures.
Les Bambaras (bambara : Bamanan ; pluriel, Bamananw, Bamana ou Banmana) sont une ethnie d'Afrique de l'Ouest faisant partie du groupe mandingue, établis principalement dans le Sud de l'actuel Mali, dans la région de Ségou et Koulikoro au Burkina Faso, au sud et à l'ouest.
Du fait notamment de leurs trajets migratoires, les hommes sont largement plurilingues. Ils sont quasiment tous originaires du sud du Mali, qu'ils soient Bambara, Senoufo ou Minyanka.
Á ní sɔ̀gɔma ! Bonjour ! (littéralement : Vous et le matin)
Le véritable fondateur du royaume est Mamari Koulibali, connu sous le nom de Biton (1712-1755), qui crée l'armée avec laquelle il bat les Soninkés et les Massassis, refoulés au Kaarta. Sa mort est suivie d'une période de troubles jusqu'à l'avènement de Ngolo Diara, fondateur de la dynastie de ce nom en 1770.
On compte une soixantaine d'ethnies au Mali. Près de 40 % des habitants du pays (38,7 %) appartiennent à la grande ethnie mandingue; ce sont majoritairement des Bambara (23,9 %) vivant principalement dans le district de Bamako.
La variante normative la plus importante du mandingue est le bambara (bamanan), la langue la plus importante du Mali, souvent considéré par les habitants de ce pays comme « la langue malienne » par excellence. Le bambara s'est établi comme une langue distincte à l'époque du royaume de Ségou (XVIIIe-XIXe siècles).
Touaregs. Bambaras. Arabes (Kounta, Lamhar, Tajakant) Peuls (Gabéro, Sidibé, Wani, Baazi, Fafa...)
Mopti, surnommée « la Venise du Mali », est située au confluent du Niger et de son affluent le Bani. C'est à ce titre un port fluvial actif par lequel transitent personnes et biens. C'est également un grand chantier naval sur le fleuve où plusieurs fabriques de pirogues emploient de nombreux artisans.
Situé au sud Mali, le cercle de Sikasso couvre une superficie de 15 375 km2 soit 21,41% de la superficie de la Région. La population du cercle est estimée à 725 494 habitants (RGPH – 2009). Les différents groupes ethniques sont : les senoufo, les gana, les samogos, les bambaras, etc.
Le vrai fondateur du royaume de Ségou est Biton COULIBALY Mamary COULIBALY dit Biton (1) 1672-1755.
Biton Coulibaly, de son vrai nom Mamary Coulibaly, né vers 1689, est un roi du Royaume bambara de Ségou de 1712 à sa mort en 1755.
Coulibaly : Essentiellement malien, le nom est celui d'une famille qui fonda le royaume bambara de Ségou au XVIIe siècle. Une étymologie populaire veut qu'il signifie "sans pirogue" (kulun-bari en bambara). Variante : Koulibaly."
Après avoir été membre de la fédération de l'Afrique-occidentale française (A-OF) jusqu'en 1958 et fait partie de l'éphémère Fédération du Mali depuis quelques mois, le Mali, jadis connu sous le nom de Soudan français, proclame son indépendance le 22 septembre 1960.
Les armées de Sonni Ali Ber puis d'Askia Mohammed diffusèrent l'islam dans la région. L'empire songhaï correspondait alors à peu près au territoire actuel du Mali. Il disparut après une expédition marocaine en 1591.
Selon les chiffres du ministère des Affaires religieuses et du Culte, les musulmans représenteraient environ 95 % de la population. Ils sont presque tous sunnites et la plupart suivent les préceptes du soufisme ; toutefois, un important imam chiite a déclaré que jusqu'à 10 % des musulmans seraient chiites.
M'bi fe, mbifè sont les meilleures traductions de "je t'aime" en bambara.
kɔ̀rɔ́ 'sibling aîné, frère/sœur aîné(e)' (consanguin, cousin, etc.). Ce terme est d'emploi très élargi : on peut dire ń kɔ̀rɔ́ à n'importe quelle personne aînée qui n'est pas d'une autre génération.
Argent. Au Mali, 5 CFA est considéré comme unité. kelen est donc 5 CFA.
En 1863, Louis Faidherbe, gouverneur du Sénégal, confie à Eugène Mage le soin d'aller rencontrer le conquérant toucouleur El Hadj Omar (Umar Tall) à Ségou. Ce dernier défait les derniers combattants du royaume bambara de Ségou en mars 1861 et s'empare des biens de ses prédécesseurs.
Ségou est une ville importante du Mali, organisée en 15 quartiers et où sont établis différents services déconcentrés de l'État. Sa population est essentiellement composée de bambaras, de bozos, de bobos, de malinkés, de sarakolés, de peulhs, de somonos, de miniankas, de dogons, de mossis, de sonrhaï et de samogos.
I bɛ mɛn Mali la wa ?