L'hypertrichose touche à la fois les hommes et les femmes, et se trouve être héréditaire !
La présence d'une barbe chez la femme est liée à un dérèglement hormonal entraînant un hirsutisme.
Qui aime les barbes ; qui fait honneur aux barbes.
L'hypertrichose
Chez la femme, cela entraine une pousse excessive de poils au visage et qui forme peu à peu une barbe. Il ne s'agit aucunement d'une présence d'hormones masculines dans un corps féminin. Le corps est ici soumis à une mutation génétique qui entraine une grande pilosité dans des zones déjà poilues.
Les poils au menton peuvent apparaître de manière naturelle avec l'âge, surtout à la ménopause. La prise de poids, et certains médicaments perturbants nos hormones, peuvent aussi avoir un rôle à jouer dans notre pilosité.
Comme les amateurs ou collectionneurs de timbres (les philatélistes) les fans de barbes ont un nom: les pogonophiles.
Définition "misandre"
n. Personne qui hait ou méprise les hommes.
imberbe adj. Qui n'a pas de barbe.
L'âge de pousse
En général, cet âge varie entre 14 et 17 ans ! Cependant, certains jeunes hommes voient pousser leurs premiers poils de barbe avant 14 ans, et d'autres devront attendre la vingtaine.
Ce n'est peut-être pas avant la fin de la vingtaine que vous aurez une barbe bien fournie. La vitesse de pousse est avant tout une question de génétique. Si votre père, votre oncle ou votre grand frère avait une barbe fournie à la fin de l'adolescence, il y a de grandes chances que vous aussi.
En réponse à la hausse des niveaux d'hormones androgènes (la testostérone essentiellement) pendant la puberté, la peau de l'abdomen commence à produire des poils plus épais, plus longs et plus pigmentés (poils terminaux).
La barbiche ou bouc est une barbe ou petite barbe constituée exclusivement d'une touffe de poil sur le menton. Lorsque la barbiche est courte, on parle de barbichette.
Lisse, nu, se dit d'une personne qui n'a pas de poils, qui est imberbe, qui a la peau douce. Exemple : Il n'était pas encore entré dans l'adolescence et sa peau du visage glabre ne portait pas encore un seul poil.
Les favoris ou rouflaquettes
Plus ou moins fournies, ces petites touffes sur les joues se portent effilées avec des poils relativement courts. À la mode pendant la période sixties, elles refont leur apparition sous une forme plus discrète et parfaitement sculptée.
genderqueer: « au-delà de la binarité de genre », souvent synonyme de non-binaire. Le terme est plus utilisé à l'international qu'en France. neutrois : L'expression « neutrois » qualifie une identité de genre qui est neutre. C'est une troisième catégorie à part du féminin et du masculin.
La gérontophilie (du grec : geron, qui signifie « vieillard » et philie, qui signifie « amour ») est une paraphilie (comportement sexuel atypique) de type chronophilie (excitation due à la différence d'âge) dans laquelle un individu est sexuellement attiré par un partenaire sexuel très âgé.
polygamie ex. 1 : La polyandrie est très rare en tant qu'institution établie. Beaucoup de tribus primitives permettent, il est vrai, à la femme d'avoir des relations sexuelles avec plus d'un homme.
La barbe vieillit, oui, mais donne surtout l'air plus mystérieux, plus attractif.
Selon une étude réalisée par Kantar World Panel*, environ 5 % des femmes françaises (en total ; 13% des femmes entre 17 et 24 ans) trouvent que la barbe complète est le style le plus attrayant. On note aussi que 13 % d'entre elles (17% des jeunes) apprécient la combinaison de la barbe complète et de la moustache.
Cela fait maintenant des années que l'on considère que la barbe rend plus beau et qu'un homme poilu est un homme viril. Les poils sont liés au taux d'œstrogène présent dans le corps et plus les hommes en ont, plus ils ont de poils.
Il existe des preuves de qualité limitée de l'efficacité des contraceptifs oraux dans l'hirsutisme léger. Le flutamide 250 mg deux fois par jour et la spironolactone 100 mg une fois par jour semblent efficaces et sans danger, même si les preuves étaient de qualité faible à très faible.
L'hirsutisme résulte généralement d'un taux d'androgène anormalement élevé par production accrue d'androgènes (p. ex., de troubles de l'ovaire ou des glandes surrénales) ou conversion périphérique augmentée de la testostérone en DHT par la 5alpha-réductase.