La prostatite peut être causée par une infection bactérienne, virale ou fongique. Les interventions chirurgicales comme une biopsie de la prostate ou la pose d'un cathéter risquent d'exposer la prostate ou l'urètre à une infection.
Une prostatite peut être due à une infection bactérienne qui se propage à la prostate par les voies urinaires ou à la présence de bactéries dans la circulation sanguine. Une bactériémie peut être la conséquence d'actes ordinaires (comme le brossage des dents), de soins dentaires...
Les pépins de courge ont en effet une activité anti-inflammatoire et limite la croissance des tissus prostatiques. La racine d'ortie freine également la croissance du volume de la prostate. Pour ces médicaments, il est conseillé de faire deux cures de trois mois par an.
Inflammation chronique de la prostate, la prostatite chronique peut survenir après une prostatite aigüe mal soignée ou s'installer insidieusement, à bas bruit. Sans danger au sens médical du terme, elle provoque des douleurs et des troubles urinaires.
La prostatite est une inflammation de la prostate, souvent due à une infection bactérienne. Le plus souvent, c'est la bactérie E. Coli qui est en cause (plus de 80 % des cas).
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
Les symptômes sont généralement non équivoques : fièvre, douleurs et brûlures lors des mictions, envies fréquente d'uriner, présence de sang dans les urines et même parfois dans le sperme…
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
La prostatite
D'habitude, cette maladie aiguë produit les symptômes suivants : forte fièvre, frissons, douleurs dans le bas du ventre et dans le dos, envie fréquente d'uriner, difficultés et brûlures à la miction et à l'éjaculation. Quelquefois, on retrouve aussi du sang dans le sperme.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes au début de son évolution. Des troubles urinaires peuvent ensuite apparaître. Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage des PSA dans le sang.
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Toutefois, ces résultats positifs n'ont pas été observés par toutes les études scientifiques. En ce qui concerne le jus de citron, à ma connaissance, aucun lien n'a été démontré.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
Le patient peut donc avoir des rapports sexuels normaux (érection normale, orgasme normal) mais sans éjaculation.
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
"La capsaïcine a eu un profond effet anti-proliférant sur les cultures de cellules humaines de cancer de la prostate", a souligné l'un des chercheurs ayant participé à l'étude. La découverte est de taille lorsqu'on sait que 680 000 hommes sont atteints chaque année d'un cancer de la prostate dans le monde !
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.