Mais pour populaires qu'elles soient auprès des Occidentaux, en Afrique elles sont aujourd'hui l'image d'une époque révolue qui, selon l'un de mes interlocuteurs abidjanais, fait « gaou », autrement dit plouc en nouchi.
Goualô ! bonjour en koulango, et... - Côte d'Ivoire Tourisme | Facebook.
Le Sénoufo dit:" Fo gnin nann a kpaa man?"
Agni = Moh. Attié = Nancin.
Autour d'un poulet sauce ou d'un poisson braisé, d'alloco (bananes frites) et d'attiéké (semoule de manioc), tout le monde sirote des bières : la 66 (en référence au nombre de centilitres) est l'une des plus prisées, mais les grands buveurs s'arrachent la Drogba, du nom de la superstar du football ivoirienne, qui est ...
Mais losque /kɤ̍ ɾɤ̄/ détermine le nom /ju̍ / bébé ou enfant, le syntagme [jú kɤ̄ɾɤ̄] désigne plutôt un bébé ou un enfant potelet et plaisant voire un chérubin.
yako — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Adjoukrou : Ôw'r. Agni : Adoua / Tchoua. Ahizi : Veh. Alladjan : Inêtou.
Les critères que l'on va regarder pour valider la mission sont : que les missions relèvent de la formation ModIA (modélisation en intelligence artificielle , voir le syllabus pour le contenu précis), et qu'elles tendent à donner des compétences ingénieur.
Les citoyens de la Côte d'Ivoire devraient s'appeler "Ivoirois" pour les hommes et "Ivoireines" pour les femmes, selon un projet de loi déposé à l'Assemblée nationale.
La langue sénoufo (276 000 locuteurs) est une langue parle au nord le malinké communément appelé le dioula reste la langue la plus parle dans le pays après le français avec (6 000 000 locuteurs), tandis que le baoulé (300 000 locuteurs) et le bété (250 000 locuteurs) sont des langues parlées dans le centre et l ouest.
Une traduction approximative en français serait « Je compatis ». On dit « yako » à un enfant quand il s'est fait mal en tombant par exemple, et qu'on veut le consoler. On dit « yako » à une amie quand il lui est arrivé un coup dur ou un grand malheur. On dit « yako » à une famille à la suite d'un décès.
En français, ça veut dire tu es intelligent. en Côte d'Ivoire, nous si, si, on te dit ton maudia, tout le monde sait que ton maudia, c'est 1 insulte, mais personne ne connaît la signification de ton maudia. Ton maudia n'a aucune signification en français.
La Côte d'Ivoire a aussi communément été appelée la « terre d'Éburnie », qui désigne la partie forestière du pays. À l'indépendance, des propositions avaient suggéré de remplacer le nom de Côte d'Ivoire, considéré comme trop colonial, par celui d'« Eburnea ».
On parle de mots comme “brouteur” (un peu comme un arnaqueur), “s'enjailler” (s'amuser à fond), “boucantier” (un genre de fêtard) et plein d'autres encore. En Côte d'Ivoire, de la rue à la maison en passant par les bureaux, partout on parle nouchi.
Le mot "Akwaba"
Cette expression est communément utilisée pour souhaiter la bienvenue et exprimer son hospitalité aux visiteurs. Au fil du temps, l'expression Akwaba se généralise et tout Ivoirien l'utilise désormais pour souhaiter chaleureusement à ses convives venus d'ailleurs la bonne arrivée.
Prenant le français comme base, le nouchi y ajoute mots et expressions tirés des nombreuses langues parlées à travers la Côte d'Ivoire. "Faut blè-blè", qui signifie "calme-toi", associe français et baoulé, langue d'une des principales ethnies du pays (centre).
(AYO) MERCI en langue Bété, originaire de la Côte d'Ivoire. MERCI SEIGNEUR 🙏
Pour preuve, Les Sofas suivi de l'œil (1983) de Zadi Zaourou est un creuset d'expressions nouchi où l'écrivain n'hésite pas à employer les termes tels que « le gnon » pour désigner l'argent et « les balles » pour signifier le franc Cfa.
Frère: min honsin.
Il y a aussi des lexèmes provenant de la rue comme kpohoun kpassa (fou, malade). Ces faits déterminent les particularités lexicales du nouchi.
Ma mère m'a appris quelques mots, des phrases du quotidien comme ayoka (bonjour, ndlr) ou na li ga ké (comment tu vas, ndlr) que j'ai soigneusement noté dans un cahier. Pour avoir les bases en bété, j'ai aussi regardé les vidéos de Kevin Dallo, un jeune métis franco-ivoirien qui a appris sa langue en autodidacte.
c. kpàtá « demander pardon » → ŋ̀ɡbàtâ « pardon » c'.
Piɛli klɛli ndɛ sɔ'n i fluwa nɲɔn su'n nun.