Pas d'accent, pas d'apostrophe, donc les graphies il y à et il y'a ne sont pas admises. On n'écrit pas non plus il ya en collant les deux derniers mots.
Ne dit-on pas : il y en a qui ont de la chance ; il y en a qui sont chanceux. ──► Il y a des gens qui ont de la chance.
Locution qui signifie qu'il existe quelque chose ou quelqu'un dans une situation donnée. Exemple : Il y a deux chaises à la cuisine. Locution qui introduit une notion de temps passé.
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
On écrit « a » sans accent : « a » sans accent est tout simplement la conjugaison du verbe avoir à la troisième personne du singulier du présent de l'indicatif. Une astuce consiste à le remplacer par « avait ». Si le sens de la phrase ne change pas, alors il faut bien écrire « a » sans accent.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
a = a est le verbe avoir conjugué à la troisième personne de singulier. Donc, voici un truc si vous pouvez remplacer -a- par -avait- dans votre phrase et que la phrase conserve son sens et bien c'est ce type de a qu'il faut. à = à est pour montrer quelque chose comme par exemple : Je vais à la montagne.
On écrira donc toujours « y a-t-il » et non « y a t-il » ou « y-a-t-il ».
Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?
Pour indiquer l'existence de quelque chose, les équivalents de il y a sont il existe , il se trouve , plus rarement il est . Pour décrire ce qui est apparent, on peut employer on observe , on voit , on perçoit .
Présent de l'indicatif de y avoir.
Le son [ t ] qu'on entend quand on prononce est-il ne doit pas être noté par un t supplémentaire ! Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d .
Locution-phrase
(Familier) Il n'y a pas moyen de nier, il n'y a pas de refus, de résistance à faire. Il n'y a pas à dire, cet ouvrage est plein de mérite.
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
Le pronom y représente le plus souvent des noms de choses ou d'animaux. Il correspond généralement à un complément introduit par à : je vais à la poste, j'y vais ; il n'a pas répondu à ma question, il n'y a pas répondu. (Mais on dit, avec un complément nom de personne : il a répondu à son client, il lui a répondu.)
Les personnes qui font l'action de souhaiter sont les personnes désignées par le mot ceux . Ceux est un pronom de la troisième personne du pluriel, tout comme ils , et quand il s'accorde avec lui, le verbe se met au pluriel. C'est la raison pour laquelle on écrit pour ceux qui le souhaitent .
M'a-t-elle dit avec des traits d'union serait la graphie correcte.
La règle qui s'applique
Dans elle a été envoyée , le participe passé envoyé est utilisé avec l'auxiliaire être ( a été correspond effectivement à une conjugaison du verbe être !).
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
> à est une préposition invariable. Pour les distinguer: Si l'on met la phrase à l'imparfait 'a' devient avait alors que 'à' ne change pas .
Comme nous pouvons remplacer le déterminant démonstratif par « le », l'orthographe acceptée est « ce soir ».
« a » s'écrit sans accent car il s'agit du verbe « avoir ». Il peut toujours être remplacé par le même verbe au passé (« avait », « avais ») pour vérifier qu'il s'agit bien du verbe et pas de la préposition. « à » s'écrit avec un accent quand il est une préposition.