« Je ». On écrit donc « je ne peux plus », et non « je ne peut plus ».
« Je peux » est la seule forme correcte
On écrit toujours « peux » avec un « x » lorsqu'il s'agit du verbe « pouvoir » à la première (je) au présent de l'indicatif et à la deuxième (tu) personne du singulier. On n'écrira jamais « je peut ».
On écrit : j'ai dit. Le participe passé du verbe « dire » est : « dit ».
Il peut s'utiliser mais uniquement lorsque le verbe « écrire » est conjugué au présent et qu'il s'agit de la 1ère ou de la 2nde personne du singulier. J'écris ou tu écris. Le mot « écris » avec un « s » existe aussi, mais c'est la forme conjuguée du verbe « écrire » au présent.
Dans je vous aime , le verbe aime s'écrit avec un e à la fin, sans rien de plus. Exemples de phrases avec cette formule : je vous aime très fort , je vous aime mes filles , Maman et Papa je vous aime , etc.
La réponse simple. On écrit toujours « je vous aime ».
On écrit toujours « je me suis dit ».
"Dit" est le participe passé du verbe "dire". On peut écrire "dis" uniquement s'il s'agit de la première personne du singulier du verbe conjugué au présent simple ou au passé simple : "je dis".
Comment écrire le verbe, dans une phrase qui commence de cette façon ? Avec un t ou avec un s ? Dit ou dis ? Une seule orthographe possible : je vous dis avec la terminaison -s .
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
le verbe pouvoir a, en effet deux formes : je peux et je puis, plus littéraire et peu usitée sauf lorsque le pronom sujet est inversé :" puis-je vous aider ? On ne dit pas : peux-je vous aider? La raison est purement euphonique.
On emploie le futur Pourrai-je quand on parle d'une action à venir. On emploie le conditionnel Pourrais-je quand on fait une hypothèse ou dans une formule de politesse.
On écrit « je pourrai » ou « je pourrais », selon le contexte. Quelle que soit la forme employée, elle est suivie d'un verbe à l'infinitif. Exemple : Je pourrai passer prendre un café à 8 heures.
Formule interrogative moins familière et plus polie que "ça va ?". Leur sens est pourtant le même puisqu'on s'enquiert de la santé physique ou morale d'une personne. On s'attend à la réponse "Bien" ou "Mal". Exemple : Comment vas-tu ce matin ?
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
On écrit toujours je lui ai dit avec un t à la fin et avec le mot ai en deux lettres.
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
Bonjour, Je vous dirai quand elle sera effective. Je vous dirais quand elle sera effective.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».
Papa aime et maman aussi. Ils dispensent le même amour tous les deux. Les deux sujets papa et maman sont coordonnés par et.
Le pronom on
On écrit sans t le pronom indéfini on. Il occupe toujours la place de sujet. Si on vous en parle, faites-le moi savoir. On peut s'assurer que l'on a affaire au pronom quand on peut le remplacer par un autre pronom.
Tes enfants qui t'aiment : aiment est le verbe qui s'accordent avec le sujet « tes enfants » (repris par « qui »).