À partir du Bureau Windows, ouvrez le menu Démarrer, puis sélectionnez Outils d'administration Windows > DNS. Sélectionnez votre serveur et maintenez la sélection (ou cliquez avec le bouton droit), puis sélectionnez Propriétés. Sélectionnez l'onglet Redirecteurs, puis sélectionnez Modifier.
Pour trouver votre serveur DNS sur votre ordinateur, ouvrez l'application de ligne de commande sur votre ordinateur et tapez ipconfig/all et appuyez sur Entrée. Sous les serveurs DNS, la première adresse répertoriée est votre serveur DNS principal et la suivante, votre serveur DNS secondaire.
Les serveurs DNS par défaut sont ceux du fournisseur d'accès à Internet, également appelé FAI. Il n'est pas obligatoire d'utiliser ceux-ci et il est possible de les remplacer par un tiers comme CloudFlare, Quad9 et Google DNS.
Le DNS permet à votre message d'atteindre son destinataire et non quelqu'un d'autre possédant un nom de domaine similaire. Il vous permet également de taper «www.nameshield.com» sans avoir à saisir une longue adresse IP et d'accéder au site web approprié.
Le Domain Name System (DNS), ou système de nom de domaine, est le service assurant le lien entre le nom de domaine et l'adresse IP d'un serveur.
Vous pouvez vérifier le serveur Windows dans la console DNS sous l'onglet Avancé de la page de propriétés du serveur. En plus de la zone Activer la liaison des secondaires, cette page inclut la liste déroulante Vérification de nom.
On ne peut pas non plus lister les meilleurs DNS sans parler de celui de Google : Google Public DNS.
Par défaut, les ordinateurs se calent sur le DNS de l'opérateur. Mais il est tout à fait possible et légal de changer ses DNS pour utiliser une solution alternative.
Méthode 1 : via les paramètres réseau
Étape 2 : ouvrez le menu des propriétés de votre connexion Internet actuelle en cliquant sur « Propriétés ». Faites défiler jusqu'à « Attribution du serveur DNS ». Par défaut, l'attribution DNS est automatique. Cliquez sur « Modifier » et passez à « Manuel ».
Avec ipconfig
La commande ipconfig de Windows affiche la configuration IP de chaque interface réseau. C'est donc la méthode la plus adéquate pour trouver les serveurs DNS de chaque carte réseau.
On citera bien sûr ceux de Google (8.8.8.8 et 8.8.4.4) et celui de CloudFlare (1.1.1.1).
Plus précisément, lorsqu'un navigateur utilise un serveur DNS personnalisé ou des technologies de blocage avancées, on peut empêcher Bitdefender de bloquer correctement les publicités en ligne ou les trackers.
Savoir vider le cache DNS est très utile lorsque vous souhaitez accéder à un nom de domaine quelques instants après avoir effectué une mise à jour DNS, sans devoir attendre que votre ordinateur récupère la dernière zone DNS automatiquement.
Bien qu'il puisse exister d'autres hiérarchies de système de noms de domaine (DNS) avec des serveurs racine alternatifs, « serveur racine du DNS » est généralement utilisé pour désigner l'un des treize serveurs racine du Domain Name System d'Internet géré sous l'autorité de l'ICANN.
Cliquez sur l'onglet « Avancé » puis sur l'onglet « DNS ». Cliquez sur le bouton « + » pour ajouter un nouveau serveur DNS et entrez l'adresse IP de celui que vous souhaitez utiliser. Enfin, cliquez sur « OK », puis sur « Appliquer ».
Le message d'erreur « serveur DNS ne répond pas » peut-être lié à une défaillance du réseau. Dans ce cas, les utilisateurs ne peuvent pas charger les pages web qu'ils souhaitent consulter ni effectuer de requêtes sur un navigateur web.
Nous avons conçu le résolveur 1.1.1.1 de manière à ce qu'il soit le répertoire DNS le plus rapide d'Internet. Toutefois, vous n'avez pas à nous croire sur parole. DNSPERF, l'organisme indépendant de surveillance DNS, qualifie notre résolveur 1.1.1.1 de service DNS le plus rapide du monde.
Cliquez sur “Paramètres”, puis “Réseau et Internet”, et enfin “Wi-Fi”. Sélectionnez le réseau auquel vous êtes connecté. Cliquez sur « Propriétés ». Faites défiler l'écran jusqu'au bas de la fenêtre : votre adresse IP sera affichée à côté de « Adresse IPv4 ».
Vider le cache est souvent la solution qui s'impose lorsqu'une application Android ne répond plus, plante à de multiples reprises ou est victime d'une série de bugs.